Mes fantasmes

Bonjour à tous… Le scénario de self-bondage présenté dans l’article précédent m’a donné tellement envie, que je l’ai réalisé… Et comme promis, je viens vous faire profiter de cette expérience.

La taille de ma chambre ne me permettant pas de déplacer suffisamment mon lit, je me suis donc replié sur le salon, dans lequel je me suis décidé à déplacer la table, certes moins lourde, mais sur un revêtement de sol rugueux ne facilitant pas le déplacement.

Après avoir déposé la clé au sol, je me suis allongé pour estimer la longueur de ficelle (je n’avais pas de corde) nécessaire entre la table et mes chevilles, puis j’ai attaché celle-ci à un pied de la table. Je commençais déjà à être très excité par la situation, et je me suis empressé de passer un anneau autour de mon sexe, pendant que la taille de celui-ci le permettait encore, afin de retarder à accentuer plus tard un éventuel plaisir.

J’ai ensuite passé une ficelle autour de ma taille, puis après l’avoir fait contourner et enserrer mon sexe sous le string que j’avais mis pour l’occasion, je l’ai nouée à hauteur du bas de mes fesses, afin de pouvoir plus tard passer les menottes dans la boucle ainsi formée.

Mes menottes étant pour poignets et chevilles, j’avais décidé de me compliquer encore un peu la tâche en déposant au sol la clé pour les chevilles et en fixant celle pour les poignets à une des menottes de chevilles, de telle sorte que je ne pouvais donc la récupérer sans avoir libéré mes chevilles. J’ai donc accroché cette clé, puis refermé les menottes sur mes chevilles, avant de fixer celles-ci à la ficelle reliée à la table.

J’ai ensuite attrapé mon cadenas de vélo, qui m’a servi à serrer fortement mes jambes l’une contre l’autre en faisant 3 tours au niveau de mes mollets et genoux. Une ceinture a terminé mon ligotage des jambes en les enserrant en haut des cuisses. Je commençais alors à être très excité par la situation, et mon sexe commençait déjà à me faire mal dans mon string. J’ai alors passé la partie poignets des menottes dans la boucle de la ficelle qui enserrait mon sexe, et j’ai placé une ceinture autour de ma poitrine, de telle sorte que je puisse encore difficilement y glisser mes bras. J’y étais presque, et la tension était à son comble.

Je me suis alors allongé, un dernier petit coup d’œil à la clé, et je me suis placé mon masque sur les yeux, de telle sorte que j’étais plongé dans le noir absolu. Il me restait alors à passer mes bras dans la ceinture, ce qui ne fut pas chose aisée, et je me demandais d’ailleurs à ce moment-là si j’arriverais à me libérer même sans les menottes. J’ai ensuite passé ma main gauche dans la première menotte que j’ai refermée sans trop de difficultés, ce qui ne fut pas le cas de la seconde. En effet, la longueur de chaîne entre les menottes de chevilles et de poignets et la position de la boucle dans la ficelle à ma hanche maintenaient les menottes de poignets très bas, et j’arrivais tout juste à atteindre la seconde menotte avec ma main droite. Le peu de liberté de mouvement que me laissait alors la ceinture me donnait toutes les difficultés du monde pour attraper et fermer la menotte avec la main gauche. Tant et si bien qu’il me fallut bien 5 minutes avant de réussir à la refermer. Pendant ce temps, l’excitation provoquée par tous ces liens et la situation dans laquelle je me mettais, accentuée par les efforts que j’étais en train de fournir pour fermer cette dernière menotte et donc le manque d’oxygène provoqué ont fait monter mon plaisir de telle sorte qu’au moment même où je réussissais enfin à m’attacher, j’ai joui une première fois avec une force que je n’aurais même pas pu imaginer.

Heureusement que la menotte était maintenant fermée, car je ne sais pas si j’aurais eu la force de continuer sinon. Mais là je n’avais plus le choix. J’ai alors commencé à essayer d’avancer. Heureusement la rugosité du sol me permettait d’avoir des appuis, mais c’est cette même rugosité qui a fait qu’après seulement deux ou trois mouvements l’irritation provoquée me faisait mal partout, et mon string était descendu, laissant mon sexe frotter lui aussi sur ce sol. Chaque mouvement était alors encore plus pénible, et je commençais à douter, ce qui avait le don d’augmenter encore mon excitation et la douleur de mon sexe.

Quand enfin après de nombreux efforts, ma tête rencontra un obstacle, je fus à la fois étonné et paniqué de me rendre compte que ce n’était absolument pas la bouteille d’eau mais la baie vitrée. Les diverses idées qui me sont alors passées par la tête m’ont alors fait jouir une seconde fois, et à ce moment j’aurais aimé avoir un baillon pou masquer mes cris de plaisir.

J’ai supposé alors que la clé devait se trouver quelque part sur ma droite, étant donnée la disposition de la pièce et de la clé au départ. Mais se déplacer latéralement était, à cause de mes liens, encore plus difficile que d’avancer. Au bout de plusieurs nouvelles minutes d’effort, mon sexe n’ayant par ailleurs rien perdu de son ardeur, ma tête a enfin heurté la bouteille et mes mains n’ont alors eu aucune difficulté à attraper la clé.

Le soulagement n’allait malheureusement être que de courte durée. En fait, je me suis vite rendu compte que mes mains n’arrivaient pas à atteindre mes chevilles, même en pliant mes jambes au maximum. Le soulagement a alors cédé à la panique, et c’est dans un nouveau cri de plaisir que j’ai essayé de trouver une solution. La seule que j’ai trouvée était alors de réussir à me mettre à genoux, le poids de mon corps me permettant alors de plier suffisamment les genoux pour que mes mains atteignent mes chevilles. Mais c’était plus facile à dire qu’à faire, et le seul moyen que je voyais pour réussir à me mettre à genoux malgré mes liens était de m’aider du canapé, qui ne devait pas être loin. En prenant garde à ne surtout pas lâcher la clé, j’ai alors entrepris un dernier déplacement, et, en m’allongeant sur le côté puis en m’aidant de ma tête pour appuyer sur le canapé, je réussis enfin après plusieurs tentatives à me redresser et à me mettre à genoux. J’avais mal partout, mais la fin approchait.

Même s’il me fallut alors quelques tentatives infructueuses avant de réussir à trouver le trou de la serrure, la libération de la cheville détenant la clé pour les poignets ne fut pas la tâche la plus difficile, et l’ouverture des menottes de poignets non plus. Le soulagement me fit alors jouir une quatrième fois, et il ne me restait alors plus que deux difficultés à surmonter : réussir à sortir mes bras de la ceinture, ce qui ne fut pas une mince affaire, puis trouver où j’avais mis la clé du cadenas de mon vélo que j’avais oublié de préparer, et cela en sautant à pieds joints puisque mes jambes étaient fortement serrées entre elles. A cause des efforts précédemment réalisés, ce ne fut pas chose facile, mais je finis par y arriver. J’étais enfin parvenu à me libérer, et un rapide coup d’œil à l’heure me fit constaté qu’il s’était quand même passé une heure entre le moment où je m’étais masqué les yeux et celui où j’ai eu fini de me libérer.

Je suis alors resté un long moment allongé au sol, les yeux fermés, pour profiter au maximum de ce moment de relâchement et de soulagement, puis je me suis préparé à aller me coucher, en n’oubliant pas de prendre une cinquième fois du plaisir en repensant à l’aventure que je venais de vivre.

 

 

Voilà, je tenais à vous faire partager cette expérience (personnellement je ne pensais pas pouvoir jouir cinq fois dans la même soirée, et encore moins dans une heure de temps et avec cette intensité, mais ce fut un vrai délice), alors n’hésitez pas à faire part de vos commentaires.

Sam 4 fév 2006 2 commentaires
Domage que tu l'ai fait seul , sans compagnie...
basetliens - le 12/02/2006 à 08h16
C'était plus excitant car je n'avais personne pour m'aider à me libérer. La peur de ne pas y arriver était plus grande dans ces conditions.
AVS59
Anonyme

Chère Anamary, si tu le souhaite voici un autre scénario.


Voici un scénario que tu pourras essayer. Sueur et angoisse garanties.



 



Matériel :


Une chaîne pas trop longue pour attacher les deux pieds ensembles avec un cadenas de chaque coté.


Une autre pour les deux poignets avec également un cadenas de chaque coté.


Une autre qui fait le tour de la taille, descend derrière entre les fesses et rejoindra la chaine des poignets lorsque tu seras à 4 pattes, également un cadenas de chaque coté.


Une autre encore pour passer autour du cou et rejoindre celle des pieds avec également un cadenas de chaque coté.


Une dernière pour relier celle du cou avec un pied d’un meuble et un cadenas de chaque coté dont un à code (de préférence à 4 chiffres).


Deux balles de tennis de table.


Un rouleau d’adhésif noir plastique large d’environ 8 cm (magasins de bricolage).


Une cagoule en latex noir avec uniquement deux ouvertures pour les narines.


En option un bon plug, deux pinces avec des poids (j’utilise des pinces en plastique du rayon bricolage, elles serrent très fort, et j’y ajoute des séries de poids qu’on trouve au rayon pèche.



 



Action.


Tu te déshabille ou bien tu mets ce que tu veux sauf en laissant l’entre-jambe libre.


Tu éparpille toutes les clés, sauf une, dans les différentes pièces (pas d’escalier) et de façon difficile d’accès mais toujours au niveau du sol. Celle que tu auras gardée tu la cache sur un meuble assez haut ce sera une de celle qui te servira à détacher la chaine qui t’empêche d’enlever la cagoule et que tu ne pourras pas chercher avant d’avoir ouvert tous les autres cadenas (important : repère bien le cadenas correspondant, c’est le seul à identifier).



 



Si tu as opté pour le plug tu commence à le mettre en place ainsi que les 2 balles que tu enfouie dans ta chatte.


Tu vas dans la pièce ou tu va t’attacher au meuble.


Tu mets en place la chaine autour de la taille et la laisse descendre entre les fesses.


Tu attache les pieds, espacé d’environ 20 cm.


Tu coupe 2 bouts d’adhésif de 5 cm et deux autres de 25 cm.


Tu colle les deux premier un sur chaque œil puis les deux autres par-dessus en couvrant les 2 yeux en même temps et un décalé vers le haut et l’autre à ras avec le bout du nez. Tu fais bien adhérer tout cela.


Tu mets la cagoule par-dessus. Garanti tu ne verras même plus s’il y a une lumière allumée.


Tu passe la chaîne autour du cou (par-dessus de la cagoule et bien serrée) avec le cadenas dont tu as chaché la clé sur le meuble, l’autre bout tu la cadenasse après celle des pieds le plus court passible pour que tu puisses tout juste te mettre à 4 pattes.


Tu fixe la chaine d’attache à celle du cou avec un autre cadenas et l’autre bout tu le fixe au pied du meuble avec le cadenas à code aussi court que possible également.


Enfin tu fixe les pinces si tu en as prévues.


Tu termine en attachant les deux mains ensembles, espacement 25 cm maxi.


Enfin tu termine en reliant cette chaine des mains à celle qui pends entre tes fesses, tu la fait bien passer entre les lèvres de ton sexe, la longueur sera telle que tes deux mains ne pourront pas être plus loin que 5 à 10 cm devant les genoux.



 



Dans cette position tu ne pourras nullement te lever (la chaine du meuble et celle des pieds t’en empêcherons bien).



 



Fais bien balancer les poids pour te chauffer un peu et avance bien fort les mains.



 



Maintenant la partie peut commencer. Il s’agit d’ouvrir le cadenas à code et cela peut durer une à deux heures surtout si tu as bien opté pour un code à 4 chiffres (pour une première fois un à 3 chiffres est peut-être mieux indiqué).


En essayant tu va naturellement tirer sur la chaine qui passe entre les fesses et t’appuyer sur le plus et sur le clito.



 



Quand enfin tu auras ouvert celui-ci il faudra rechercher les autres à tour de rôle et trouver à quel cadenas elles correspondent (en les plaçant prends soin de les éparpiller au hasard). Là aussi ce sera une vraie partie de plaisir.


Ce n’est qu’après avoir libéré les pieds du cou et les mains de la taille que tu pourras te lever pour chercher celle au-dessus du meuble et enlever la cagoule.



 



Bon plaisir et bonne mouille.



 




 




 



 

Mouille - le 05/09/2007 à 19h19

Je ne suis pas sûr qu'Anamary soit une fidèle lectrice de mon blog, et qu'elle lise un jour ton commentaire, mais merci quand même de l'avoir laissé, et peut-être qu'un jour je le réaliserai en l'adaptant pour un mec...

Anonyme