Mes fantasmes
Voilà la suite de mon fantasme...
Enfin j’entends la clé tourner dans la serrure de la porte d’entrée, mais pas un seul autre bruit, et personne n’entre dans la chambre. J’essaye d’appeler, mais aucun son ne peut sortir de ma bouche obstruée. Au bout d’un petit moment qui me semble une éternité, la porte s’ouvre enfin, dans un « Surprise » repris en chœur par une douzaine de filles. J’en reconnais certaines car elles jouent elles aussi dans le même club que moi, mais d’autres me sont inconnues. Plusieurs d’entre elles portent un sac à dos, et cela a tendance à m’inquiéter encore plus.
Les filles sont d’humeur très joyeuse, et la première à sortir du matériel est Mélanie, qui prend une paire de ciseaux. Elle s’attaque alors au côté gauche de mon boxer. J’essaye alors de résister et de protester, mais mes liens et mon baillon m’en empêchent. Je savais que, selon les termes du jeu, elles avaient droit de m’attacher entièrement nu, mais, vu comme je les connaissais, je ne pensais pas qu’elles iraient jusque là. Pourtant c’est bien ce qui va se passer, puisqu’après avoir découpé le côté gauche sur toute sa hauteur, elle fait de même avec le côté droit, et n’a donc plus qu’à tirer sur le morceau de tissu pour me l’enlever entièrement.
Me voilà alors entièrement nu, solidement attaché aux quatre pieds de mon lit, devant une douzaine de filles hilares. La plupart d’entre elles sortent alors leur téléphone ou appareil photos et mitraillent la scène tout en rigolant. Aurélie me place alors un bandeau sur les yeux, de telle sorte que je ne vois plus du tout ce qui m’attend, ce qui déclenche de nouveaux ricanements et provoque chez moi une nouvelle montée d’inquiétude et d’excitation. J’entends alors des bruits de fermetures éclair et autre sacs. Quelques instants plus tard, je sens une violente douleur à un têton, puis à l’autre, puis au niveau de mon sexe, et ainsi de suite pendant un long moment. Elles sont en train de faire couler de la cire de bougie bouillant sur mes parties les plus sensibles, et je souffre énormément, sans pour autant perdre mon érection. Pendant ce temps, je sens une plume se balader sous la plante de mes pieds et bien que je ne sois pas très chatouilleux, le cumul de la douleur et de l’efficacité de la fille qui me chatouille rendent rapidement le moment encore plus insupportable, ce qui a pour effet de me faire me débattre, et donc de me faire mal aux poignets et chevilles à cause des liens.
Après quelques minutes de torture, cela s’arrête, et je sens alors un fluide beaucoup plus tièdes couler autour de mon sexe. Je ne sais pas ce que c’est, mais c’est beaucoup plus agréable… jusqu’à ce que l’on tire la bande de cire qu’on venait de me poser, ce qui a pour effet de déclencher un cri de douleur de ma part, à peine audible à cause de cette maudite chaussette. L’expérience se reproduit alors une bonne dizaine de fois, à différents endroits de mon corps, mes cris étouffés se perdant au milieu des bruits des appareils photos.
Je ne sais pas ce qui m’attend ensuite, mais j’imagine déjà ce à quoi je dois ressembler, avec des bandes de poils manquant ici ou là. Je sens alors une main se poser sur mon front, puis quelque chose de plutôt pointu et froid à côté. Les mouvements suivants me laissent supposer qu’on est en train d’écrire sur mon front, et je suis plutôt inquiet car je n’arrive pas à deviner les lettres, et car la pointe ressemble plus à un feutre qu’à un simple stylo. Lisant mon inquiétude, Mélanie éclate de rire en me disant :
« Ne t’inquiète pas, c’est juste un feutre indélébile ».
Après avoir terminé avec mon front, j’entends plusieurs filles réclamer le feutre, et je passe donc plusieurs minutes à subir les écritures un peu partout sur mon corps. On m’enlève alors mon bandeau, et j’essaye immédiatement de lire ce qui a été écrit et de voir les dégâts causés par la cire. Malheureusement, l’écartement de mes bras ne me permet pas de relever suffisamment la tête pour voir quoi que ce soit.
Pensant que c’est enfin terminé, je me détends un peu en attendant qu’on finisse de me libérer. Mais je comprends vite aux visages de mes visiteuses que je n’ai pas fini d’être humilié...
La suite pour bientôt...
Voilà elle y est...
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Biz'
AVS59
Tu vas nous dire la suite!!!
Tania.