Mes fantasmes
Voilà une histoire trouvée sur un blog, racontée par une jeune fille qui a été trompée par son ex et qui a décidé de se venger. Un de mes fantasmes serait de me retrouver à la place de cet ex (Monsieur Fruits et Légumes), ou dans une situation plus ou moins similaire, d'autres humiliations pouvant se mêler à cette "vengeance".
Si une ou plusieurs jeunes filles sont intéressées par me faire vivre une situation plus ou moins similaire (pas besoin que ce soit une vengeance, ou bien on pourrait imaginer une vengeance du fait que j'ai refusé de vous rendre un service), qu'elles me contactent...
lundi, 28 février 2005 Quand je me venge de Monsieur Fruits et Légumes
Je l'avais promis et comme vous le savez, je tiens toujours mes promesses. Je vais donc vous raconter ma vengeance envers Monsieur Fruits et Légumes . Il m'avait trompé et bien que je voulais le quitter, on ne trompe pas une chaussure, au risque de se retrouver à poil sur le pas de ma porte. Ce n'est pas éthique et surtout ce n'est pas gentil. Ca fait mal à la fierté de la chaussure. Après mûre réflexion, grattages de tête et autres questions existentielles, j'ai trouvé, avec l'aide d'une copine, l'idée de vengeance. Je voulais quelque chose qu'il n'oublie pas.
Connaissant son attrait pour les expériences sexuelles un peu hors du commun. Et surtout connaissant l'attrait des hommes pour le triolisme, nous l'avons donc invité ma copine trop top canon et moi à une petite séance censée ne pas être très très catholique. Arrivé chez moi, il en a fallu ni une ni deux pour que ce cher Monsieur Fruits et Légumes se foutent à poil. Poussant le vice plus loin (et surtout pour notre super plan), nous lui avons bander les yeux et lier les mains. A ce moment-là, l'appareil photo a mitraillé une première fois.
Ensuite, nous lui avons fait croire que nous le guidions vers ma chambre, mais en réalité nous nous dirigions vers ma porte ouverte attendant sa sortie. Autant dire que c'était très dur de garder notre sérieux. Arrivés sur le pallier, nous lui avons délié les mains, nous avons pris des photos. Il avait enfin compris le pot au rose. Pour finir, nous avons fermé la porte et jeter ses fringues par la fenêtre. Je le vois encore à cacher ses parties avec ses chaussettes... Pauvre garçon, mais comme je le dis toujours, on ne trompe pas une chaussure, question de principes. Œil pour œil, dent pour dent !