Mes fantasmes
Suite encore...
Je suis alors libéré, et on me fait bien comprendre que, pendant toute la soirée, si une fille a besoin d'aller aux toilettes, on recommencera. On me rattache alors mains et pieds entre eux, et on me laisse le bandeau sur les yeux. Au bout de quelques instants, je sens quelque chose me chatouiller les lèvres. Deux doigts me serrent alors les narines, et j'ai à peine ouvert la bouche que cet objet s'y insère. La forme, la taille et la matière ne me laissent guère de doute sur la nature de l'objet : ce doit être un gode ceinture. On m'enlève alors mon bandeau, et ma vue confirme cette impression. Juste à cet instant je sens une vive douleur au niveau de l'anus, et je me rends compte que le même objet se trouve alors enfoncé entre mes fesses.
- Suce, m'ordonne alors Marine, à qui est harnaché le gode qui est dans ma bouche.
Je m'exécute alors, pendant que je sens derrière moi des mouvements de va et vient, dont la douleur initiale laisse progressivement place au plaisir. La sonnerie retentit alors, et je me demande qui vient, sachant que je suis nu et dans une position très humiliante au milieu du salon, dans lequel se trouve la porte d'entrée. Sans s'en inquiéter, Stéphanie va ouvrir. Je peux alors apercevoir un jeune homme d'une vingtaine d'années, qui ne semble pas surpris en me voyant ainsi. Surpris au début, je comprends vite qu'il a été appelé par les filles. Très vite, il baisse son pantalon, et présente son sexe à la place du gode que manipulait Marine. Refusant d'ouvrir la bouche, je subis alors le même traitement que précédemment, accompagné d'une fessée magistrale, et je finis par laisser ce sexe pénétrer dans ma bouche. On m'ordonne à nouveau de sucer, et de bien tout avaler et nettoyer à la fin.
Me voilà donc en train de lécher, sucer et astiquer ce sexe inconnu, m'appliquant en espérant que ça permette de terminer plus vite. Pendant ce temps, le plaisir apporté par les va et vient entre mes fesses me fait presque oublier ce que je suis en train de faire. Jusqu'à ce que j'aperçoive à nouveau le flash d'un appareil photos. Quand enfin je sens que le jeune homme va jouir, la crainte de ce qui va arriver me fait me contracter fortement, et le resserrement de mon anus autour du gode augmente le plaisir, et je finis par jouir en même temps que lui, sans même avoir été touché, ce qui provoque à nouveau une hilarité générale et une déferlante de flashes.
- Il doit bien aimer ça en fait…
Je me force alors à avaler tout ce qui arrive dans ma bouche, et à méticuleusement nettoyer le sexe de ce jeune homme, même si la baisse d'excitation due à mon éjaculation a nettement augmenté l'écœurement provoqué. Pensant enfin en avoir terminé, et plus honteux que jamais, je baisse la tête dès que le sexe a quitté ma bouche. Je sens le gode quitter mon anus, mais alors que je baisse tout juste ma garde, le sexe du jeune homme me pénètre violemment. Visiblement, son sexe doit être bien plus gros que les jouets utilisés auparavant, car je ressens d'abord une douleur, qui se transforme au gré des va et vient en un plaisir intense. Je bande à nouveau très fort, ce qui a le don de faire rire les demoiselles :
- Eh, mais on dirait vraiment qu'il aime ça…
Cela dure encore bien 5 minutes, jusqu'à ce que le jeune homme se vide en moi pour la deuxième fois, avant de se retirer et de s'en aller.
- Bon, c'est pas tout ça, mais il faudrait peut-être songer à y aller…
Où ça y aller ? C'est quoi ces histoires ? On ne va quand même pas continuer la soirée à l'extérieur ? Malgré tout, je n'ose rien dire, et j'attends craintivement les ordres qui vont m'être donnés.
- Rhabille-toi ma belle, me lance alors Mélanie d'un ton moqueur, tout en m'envoyant ma robe et les autres vêtements que je portais en début de soirée. Et après assieds-toi ici.
Je m'exécute, et je me retrouve assis sur une chaise devant une glace, entouré de plusieurs filles qui en profitent pour me maquiller. Rouge à lèvres, far à paupières, fond de teint, vernis à ongles pour les mains et les pieds,… j'ai droit à la totale. On me mettra même deux bagues, un pendentif, et une paire de boucle d'oreilles à clipper. Pour terminer les préparatifs, on ferme mes sandales à l'aide de petits cadenas, de telles sorte que je n'ai absolument aucun moyen de m'en séparer.
- C'est bon, elle est prête, on peut y aller.
L'ascenseur...
A bientôt pour la suite...