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Mardi 30 août 2 30 /08 /Août 00:00

Un autre article trouvé sur le site : http://forum.aceboard.net/index.php?login=22384.

Encore une fois, j'aimerais beaucoup vivre une situation similaire, alors s'il y a des amatrices, n'hésitez pas à me contacter... Sinon vous pouvez toujours laisser vos commentaires...

 

La semaine dernière, j’ai eu le privilège de discuter sur le net avec Maîtresse JENNY LOVE, elle me racontait combien elle était déçue par ma dernière histoire. Nous avons longuement discutés puis j’ai eu la chance d’être invité à la rejoindre dans un bar pour avoir l’honneur de lui payer un verre. Au cours du chat, nous nous sommes aperçus que nous avions des amis en commun et qu’elle et ma petite amie Catherine étaient allées dans la même école. Nous nous sommes donc rendus au bar ensemble pour fêter ces retrouvailles. Nous avons pris un café à une table en attendant la venue de Maîtresse JENNY LOVE. Dire que j’étais excité serais peu dire, j’étais comme un fou, moi être invité par Maîtresse JENNY LOVE, je n’aurais même pas osé en rêver, le plus dur était de ne pas le faire voir à Catherine. Après une petite demi-heure elle est entrée à son tour dans le bar, malgré le monde qu’il y avait, sa grande perspicacité a fait qu’elle nous a repérés en un clin d’œil. Maîtresse JENNY LOVE était superbe, elle portait une paire de cuissardes qui mettaient en valeur ses magnifiques jambes, une petite jupe et un bustier en cuir ainsi qu’une petite veste noire. Une vraie déesse. Ne sachant pas trop comment la regarder, je baissais la tête pour laisser mon regard posé sur ses magnifiques cuissardes. Au fur et à mesure qu’elle s’approchait de moi, mon cœur battait de plus en plus fort. Catherine s’est levée pour l’embrasser, après quelques années, elles étaient folles de joie de se retrouver. Puis à mon je me suis levé pour la saluer, mais au moment où je tendais la joue pensant lui faire la bise, je me suis pris une magistrale paire de claques. Catherine se met alors à éclater de rire :

- Eh bien dis donc, tu n’as pas changée, tu sais toujours aussi bien y faire avec les hommes………hihihihi

Plus un bruit dans le bar, tout le monde s’est retourné vers moi. J’étais honteux comme jamais au cours de ma vie, me faire gifler par une femme devant ma petite amie et une vingtaine de personnes inconnues c’était trop, j’ai essayé de répondre à mon tour, mais à peine ai-je commencé à lever le bras qu’elle me balance un coup de genoux entre les deux jambes :

- Non mais, pour qui te prends-tu, me lance Maîtresse JENNY LOVE, d’abord tu cherches à m’embrasser puis maintenant tu ose essayer de lever la main sur moi. Tu vas le regretter amèrement.

Dans ce bar très chic, il y a une majorité de femmes, et à ces mots, quelques applaudissements et cris d’encouragements pour Maîtresse JENNY LOVE se font entendre en même temps que tout le monde vient assister de plus près à la scène. De son côté Catherine ne sais plus trop comment réagir, perdue entre l’admiration qu’elle a pour Maîtresse JENNY LOVE et la gène d’être arrivée en ma compagnie et de me voir me faire ridiculiser de la sorte. Malgré la douleur, j’arrive à tenir debout et voyant ce qui se passe, j’essaie de me tenir fièrement droit :

- Vas-y Jenny, crie une femme, le dernier s’est enfui, celui le loupe pas

- Oui, encore un coup, dans les couilles !!!!

Maîtresse JENNY LOVE regarde Catherine qui acquiesce et j’ai à peine le temps de comprendre se qui se passe que la pointe de sa botte droite atterrit directement dans mes couilles. Cette fois la douleur est trop forte, je tombe au sol, la tête la première. Je suis sonné, les mains sur les parties. Au dessus de moi, Maîtresse JENNY LOVE et Catherine partent dans un énorme fou rire :

- Eh bien, dit Maîtresse JENNY LOVE, c’est quoi cette lopette ? Tu ne vas pas me dire que tu sors avec ?

- Pour tout t’avouer, on se connaît depuis quelques semaines en vérité.

- Attends un peu, on va s’amuser si çà te dis.

- Vas-y fait toi plaisir, je te le prête, fais en ce que tu veux

- Bien, va demander une corde à la patronne du bar

En quelques instants, Maîtresse JENNY LOVE me saisit fermement les poignets pour me les attacher dans le dos. J’ai si mal aux couilles et le fait d’être tombé la tête la première fait que je suis sonné et que je n’ai d’autre choix que de me laisser faire. Ensuite Maîtresse JENNY LOVE enlève sa culotte et me la met dans la gorge avant de me bâillonner avec une seconde corde. Une fois fait Maîtresse JENNY LOVE me jette un verre d’eau dans la figure. Je reprends mes esprits et prends conscience de la situation, tout le monde est attroupé autour de nous et rigole du spectacle. Je me relève tant bien que mal et malgré la douleur et commence à me débattre pour essayer d’enlever mes liens. La honte me monte aux joues, je me sens humilié comme jamais dans ma vie. Tout le monde rigole de plus belle et scande le nom de Maîtresse JENNY LOVE. Ne voulant pas en rester là, je me dirige vers ma tortionnaire ne sachant pas trop ce que j’allais faire. Bien mal m’en a pris, de nouveau Maîtresse JENNY LOVE me balance un coup de botte identique au précédent. Je m’écroule de nouveau sous les applaudissements de la foule.

- Eh bien, reprend Maîtresse JENNY LOVE, on dirait que tu as du mal à comprendre ma petite carpette, je vais te faire voir qui commande une bonne fois pour toute !!!!

Sur ce elle commence à me donner des coups de pieds dans le ventre et à chaque fois qu’elle le peut dans mes couilles. « 1…….2……..3……… » Tout le monde s’amuse à compter les coups de pieds qui pleuvent de tous les côtés. Après une vingtaine de coups de pieds Maîtresse JENNY LOVE s’arrête enfin pour se reculer et admirer le spectacle. Je ne sais plus ce qui est le plus dur à ce moment, la douleur des coups, le regard de la foule ou celui de Catherine sur moi, gisant au sol, la petite culotte de Maîtresse JENNY LOVE dans la bouche. Tranquillement Maîtresse JENNY LOVE va au bar pour se désaltérer :

- Eh bien, çà m’a donné soif tout çà. Bien entendu, tu met ce verre sur le compte de la carpette….et même une tournée générale !!!!!!!

Et tout le monde applaudit la magnifique Maîtresse JENNY LOVE pendant que je reste au sol à gémir de douleur.

- Tu vois Catherine, c’est comme çà que tu dois t’y prendre avec cette lopette. Il sera à tes pieds, tu n’auras qu’à te reposer et lui t’obéira pour exaucer le moindre de tes désirs.

- Eh bien, répond Catherine, si j’avais su, j’aurais repris contact avec toi beaucoup plus tôt, tu n’as pas idée du nombre de salauds que j’ai connu, et celui là n’a pas l’air beaucoup mieux.

- Eh bien, attend un peu, je n’en ai pas fini avec lui, encore un petit traitement dont j’ai le secret et il te léchera les pieds quand tu voudras.

Sitôt elle se lève et s’approche de nouveau de moi. Cette fois je commence à vouloir me sauver, mais avec la douleur et mes liens je n’arrive qu’à trébucher.

- Eh bien, eh bien, on dirait que tu commence à comprendre, mais attends un peu j’ai encore envie de jouer un peu.

Maîtresse JENNY LOVE s’assied alors sur mon ventre et commence à m’enlever ma ceinture. J’ai beau essayer de me débattre, en quelques secondes, elle me baisse mon pantalon et fais admirer à tout le monde mon caleçon à fleur. La honte me reprend de plus belle, mais ce n’est rien car une fois mon pantalon complètement enlevé, tout le monde se met à crier « à poil, à poil, à poil !!!! ». Et bien entendu, Maîtresse JENNY LOVE prend un immense plaisir à répondre à la demande.

- Mais dites donc, dis Maîtresse JENNY LOVE d’un air amusé, on dirait qu’il aime ce qu’il lui arrive, regardez un peu messieurs dames, il a le sexe tout dur. Je ne suis même pas sure qu’il bande autant pour sa petite amie….

Et Maîtresse JENNY LOVE attrape mon sexe pour bien le faire voir à tout l e monde. De l’autre main, elle s’amuse à me donner des claques sur mes testicules encore douloureuses des coups de pieds de tout à l’heure. Seuls des gémissements sortent du bâillon.

- Oh, on dirait qu’il veut dire quelque chose, dit Maîtresse JENNY LOVE en ironisant.

Elle se lève et m’enlève alors mon bâillon, puis la petite culotte de la bouche. J’ai les couilles en feu et je n’arrive pas à sortir le moindre mot malgré mon envie de crier, seule ma bouche s’ouvre :

- Regardez, il réclame quelque chose. Je suis sure de savoir ce qu’il veut !!!

Alors Maîtresse JENNY LOVE met une chaise près de ma tête, s’assied et enlève ses cuissardes. Puis elle pose son pied sur mon visage :

- Lèche, carpette !!!! Lèche ou sinon je remet mes bottes et ce que tu viens de subir ne sera rien du tout à côté !!!!!!

Imaginant bien ce dont elle est capable, je commence à lécher la plante de ses pieds.

- Regardez un peu, il bande encore plus fort, il aime vraiment çà. Tiens, Catherine, déchausses toi et viens essayer, tu vas voir comme c’est agréable.

Et à mon étonnement, Catherine se déchausse et avec un grand sourire vient s’asseoir à la place de Maîtresse JENNY LOVE qui remet ses cuissardes. Alors que j’hésite à lécher les pieds de ma copine, Maîtresse JENNY LOVE pose son talon aiguille sur mon cou :

- Lèche, j’ai dit, ou sinon !!!!!

Alors je m’exécute, honteux au possible mais finalement connaissant un plaisir que je n’aurais jamais soupçonné. De son côté Maîtresse JENNY LOVE s’amuse à me marcher dessus, m’enfonçant ses talons aiguille dans le ventre, les cuisses, les couilles…..et à chaque fois que je pousse un gémissement, elle appuis un peu plus fort :

- Est-ce que quelqu’un veut profiter de la carpette, lance Maîtresse JENNY LOVE, allez-y mesdames, c’est gratuit. Faites vous plaisir !!!!

Et je me retrouve à lécher les pieds de cinq femmes que je ne connais absolument pas. L’une d’elle a pas mal transpiré dans la journée et le goût de ses pieds est très prononcé mais passé quelque haut le cœur, cela fini par me plaire, si ce n’était les gens qui s’amusent à me piétiner à la demande de Maîtresse JENNY LOVE qui observe le spectacle de mon corps livré au public en compagnie de Catherine. Après plus d’une heure de ce traitement, Maîtresse JENNY LOVE se lève. Elle me remet sa petite culotte dans la bouche et me bâillonne de nouveau la bouche. Une fois fait, elle prend une nouvelle corde qu’elle me passe autour des couilles dont elle se sert pour me promener à l’autre bout du bar. Arrivés près des toilettes elle m’ordonne de me mettre à genoux puis attache la corde à un anneau décoratif enfoncé dans le mur à trente centimètres du sol. Elle tire au maximum pour que la corde soi bien tendue afin que je ne puisse ni me relever, ni me coucher au risque de m’arracher les couilles :

- Nous prenons ta carte bancaire, dite Maîtresse JENNY LOVE, nous allons faire les boutiques avec Catherine et discuter du passé et de ton avenir d’esclave par la même occasion. Surtout tu ne bouges pas hein………hihihihi

Et les deux femmes sortent du bar sous les applaudissements de tout le monde, me laissant seul dans ce coin sombre au fond du bar. De temps en temps quelqu’un me lance une brimade par rapport à ce qui vient de se passer, toutes les occasions sont bonnes pour venir m’humilier de plus belle ou me donner des coups de pieds, et les plus virulentes sont les femmes. Chaque nouveau client qui entre est mis au courant de la raison pour laquelle je suis là ainsi attaché. Cela dure tout l’après midi, le soir Maîtresse JENNY LOVE et Catherine viennent me récupérer sans m’adresser la moindre parole. Elles me détachent, j’ai les genoux en feu et un mal fou à me tenir debout. Pour rentrer à l’appartement qui se trouve à trois kilomètres, Maîtresse JENNY LOVE me traîne derrière elle avec la corde encore attachée à mes couilles laissées à la vue de tous les passants, tel un chien que l’on traîne en laisse. Voilà comment, alors que je pensais juste boire un verre avec Maîtresse JENNY LOVE, j’ai vécu ma première journée d’humiliation

 

A vous d'imaginer la suite. Sinon une suite possible se trouve sur le site indiqué au début de l'article. Et de mon côté j'attends des amatrices pour s'muser avec moi dans ce style.

 
Par AVS59 - Publié dans : Récits
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Mardi 30 août 2 30 /08 /Août 00:00

Voilà une histoire trouvée sur un blog, racontée par une jeune fille qui a été trompée par son ex et qui a décidé de se venger. Un de mes fantasmes serait de me retrouver à la place de cet ex (Monsieur Fruits et Légumes), ou dans une situation plus ou moins similaire, d'autres humiliations pouvant se mêler à cette "vengeance".

Si une ou plusieurs jeunes filles sont intéressées par me faire vivre une situation plus ou moins similaire (pas besoin que ce soit une vengeance, ou bien on pourrait imaginer une vengeance du fait que j'ai refusé de vous rendre un service), qu'elles me contactent...

 

lundi, 28 février 2005 Quand je me venge de Monsieur Fruits et Légumes

Je l'avais promis et comme vous le savez, je tiens toujours mes promesses. Je vais donc vous raconter ma vengeance envers Monsieur Fruits et Légumes . Il m'avait trompé et bien que je voulais le quitter, on ne trompe pas une chaussure, au risque de se retrouver à poil sur le pas de ma porte. Ce n'est pas éthique et surtout ce n'est pas gentil. Ca fait mal à la fierté de la chaussure. Après mûre réflexion, grattages de tête et autres questions existentielles, j'ai trouvé, avec l'aide d'une copine, l'idée de vengeance. Je voulais quelque chose qu'il n'oublie pas.

Connaissant son attrait pour les expériences sexuelles un peu hors du commun. Et surtout connaissant l'attrait des hommes pour le triolisme, nous l'avons donc invité ma copine trop top canon et moi à une petite séance censée ne pas être très très catholique. Arrivé chez moi, il en a fallu ni une ni deux pour que ce cher Monsieur Fruits et Légumes se foutent à poil. Poussant le vice plus loin (et surtout pour notre super plan), nous lui avons bander les yeux et lier les mains. A ce moment-là, l'appareil photo a mitraillé une première fois.

Ensuite, nous lui avons fait croire que nous le guidions vers ma chambre, mais en réalité nous nous dirigions vers ma porte ouverte attendant sa sortie. Autant dire que c'était très dur de garder notre sérieux. Arrivés sur le pallier, nous lui avons délié les mains, nous avons pris des photos. Il avait enfin compris le pot au rose. Pour finir, nous avons fermé la porte et jeter ses fringues par la fenêtre. Je le vois encore à cacher ses parties avec ses chaussettes... Pauvre garçon, mais comme je le dis toujours, on ne trompe pas une chaussure, question de principes. Œil pour œil, dent pour dent !

Par AVS59 - Publié dans : Récits
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Lundi 29 août 1 29 /08 /Août 00:00

Ceci est un récit trouvé sur le site : http://forum.aceboard.net/index.php?login=22384.

 

 Je m’appelle ..., je suis célibataire, mon histoire commence de façon très banale, j’ai une collègue de travail, Sophie, une superbe femme brune, la trentaine, 1m75, souvent habillée de façon très sexy mais jamais vulgaire (jupe, talons haut, bas noirs…..), avec qui je devenu ami. De temps en temps on va discuter devant un café après le travail, on parle de tout et de rien, on refait le monde, on parle de nos vies, de nos envies, de nos fantasmes………et c’est là que mon histoire allai basculer.

Lors d’une conversation parmi tant d’autres je lui ai parlé de mes fantasmes de soumission, de mes désirs de servir une femme……elle a été surprise puis amusée d’apprendre çà, d’autant que dans la société je suis chef d’équipe et que cela contraste donc avec l’image qu’elle avait pus se faire de moi, mais comme on a pris l’habitude de parler de tout sans tabou la conversation à continuée sur d’autres sujets et une demi heure plus tard nous sommes rentrés chacun chez nous.

Le vendredi suivant, après la journée de travail Sophie m’a proposé de passer boire un verre chez elle pour marquer le début de mes congés. On est en février et mes dernières vacances remontaient à l’été, j’allais profiter de ce repos tant attendu…….enfin je croyais me reposer. Tout a été très vite, je suis arrivé chez elle, elle m’a servi un verre, nous avons discuté un peu puis au bout de quelques minutes, j’ai été pris d’un coup de barre, je me suis levé pour prendre congé de Sophie quand je suis tombé à ses pieds, mes jambes incapables de me porter, rapidement je me suis mis à ne presque plus sentir mes muscles……..paniqué j’allais demander l’aide de Sophie quand je l’ai vu rire de ce qui m’arrivais……..je ne comprenais pas, au moment ou j’ai voulu parlé, elle m’a dit :

- Ne t’inquiète pas, ce n’est que passager, dans quelques heures çà ira mieux, tu n’imagines pas tous les effets différents que l’on peut obtenir avec des drogues, je trouvais celui là plutôt sympa, te mettre à ma merci en te gardant conscient………

- Comment çà ? balbutiais-je

- Tu ne te souvient pas l’autre jour quand tu m’as parlé de tes fantasmes, me dit elle ?

- Non…..enfin……..pas trop………

On discutait de tellement de choses que je n’avais pas prêté plus attention à ce passage que s’il s’était agit de parler du temps qu’il faisait ce jour là.

- Je vais te rafraîchir la mémoire, tu désirais servir une femme, te soumettre à elle………..

- Euh oui………

- Eh bien je vais t’exaucer, enfin ce n’est pas vraiment moi, tu verras tout à l’heure, j’ai une surprise pour toi.

Sur ce, elle m’a mis un bâillon sur la bouche, en me disant :

- Ne t’inquiète pas, je t’ai organisé des vacances comme tu n’en a jamais eu, elle vont être inoubliables, 2 semaines de pur bonheur.

Puis elle s’est servi un autre verre, s’est confortablement assise dans son fauteuil pour le déguster tout en me regardant de façon amusée en regardant sa montre de temps en temps. J’essayais de bouger mais je n’arrivais même pas à soulever un bras, le simple fait de remuer mes doigts me demandait des efforts incroyables, je ne sentais plus mes membres. Ce qui m’arrivais et le peu de choses qu’elle m’avait dites me trottaient dans la tête, et l’inquiétude grandissait en moi petit à petit. Après de longues minutes, j’entendis une voiture s’arrêter devant la maison, puis quelqu’un sonna à la porte.

Sophie se leva pour aller ouvrir la porte, elle avait vraiment des jambes magnifique et de ma position j’avais tout le loisir de les voir, je dis bien de les voir car cela ne procurait chez moi aucune sensation, sûrement les effets de la drogue, ajouter à cela le stress qui montait en moi, je n’ai pas vraiment pris le temps et le plaisir de contempler ses pieds et ses jambes magnifiques. La porte s’ouvrit, j’étais le visage contre le sol, je ne voyais pas qui était là. Sophie dit :

- Bonjour les filles, pile à l’heure, le colis est prêt, je vous attendais

Puis une douce voix de féminine qui m’était inconnue répondit :

- Bonsoir Sophie, je suis heureuse de te voir depuis le temps, nous sommes impatientes de voir notre colis

« les filles….. », « nous…..», « notre…..», je sentais la pression monter, combien étaient elles, qui étaient elles, qu’allait il se passer, je ne comprenais rien. J’entendais le cliquetis des talons aiguille sur le sol et rapidement je me suis retrouvé face à trois superbes paires de chaussures noires, talons haut, l’une à brides, l’autre des bottines et les mules de Sophie, puis essayant de lever les yeux, je vis deux superbes jumelles bondes, l’une habillée d’un long magnifique manteau de fourrure blanc et sa sœur d’une non moins magnifique et aussi longue fourrure noire sur laquelle ruisselait leurs chevelures d’or, dans d’autres circonstances j’aurais pus me croire au paradis. Elles étaient à peu près de la même taille que Sophie, les yeux d’un bleu dans lequel j’aurais bien voulu essayer de me noyer si l’une des deux sœurs ne m’avais pas mis sa bottine sur la tête pour me plaquer le visage contre le tapis en disant :

- Eh bien, c’est nous que tu regardes comme çà, en voilà des façons.

- Ne t’inquiète pas, lui dit sa sœur, avec un petit dressage on va apprendre à cette chose à rester à sa place.

- « Cette chose ? » demanda Sophie, qu’entends tu par là Angélique demanda t elle à l’une des deux jumelle

- Eh bien oui, comment veux tu le nommer, même le paillasson sur lequel je me suis essuyé les semelles en arrivant mérite plus d’égard, n’est-ce pas Aurélie ?

- Mais c’est évident lui répondit sa sœur, je lui fait déjà l’honneur de poser ma botte sur sa tête malgré son impertinence, dans 15 jours il me sera reconnaissant pour mon geste, ma bonté me perdra.

- C’est ta nature, tu es comme çà, on ne te changera plus dit Angélique, ce n’est pas comme « paillasson »

- « Paillasson » ? dit Sophie

- Oui je sais que c’est encore trop bien pour cet homme mais çà ira.

- C’est sur dit Sophie, mais on cause on cause, laissez moi vous débarrasser de vos fourrures les filles, vous allez bien prendre un café avant de reprendre la route avec votre… paillasson…..

Ce sur quoi elle se mirent à rire toutes les trois. Aurélie enleva sa botte de ma tête, il était temps, la position était très inconfortable et m’empêchait de respirer. Pendant que Sophie ramenait le café Angélique demanda à sa sœur :

- bon, on déballe notre colis soeurette ?

- Oh oui, oh oui, je veux voir de plus près notre paillasson, allons-y

Je ne comprenais pas ce qu’elles disaient mais aussitôt elles passèrent à l’acte et là j’ai vite compris, pantalon, chemise, chaussettes, je me suis retrouvé sur le dos en slip en une minute, trop faible pour faire quoi que ce soit, la peur laissa la place à la honte quand je vit Sophie revenir de la cuisine. Elle me regarda et fut prise d’un fou rire en me voyant comme çà, elle dit :

- Eh bien, je ne te croyais pas aussi grassouillet Stev….euh paillasson

Et toutes les 3 sont parties dans un nouveau fou rire, la honte continuait de monter en moi - Tu arrive juste au bon moment Sophie, il nous reste le meilleur à déballer dit Angélique qui dans la foulée m’enleva mon slip laissant découvrir un sexe minuscule, je n’étais déjà pas très gâté par la nature mais l’effet de la drogue n’arrangeait rien et toutes les trois sont reparties dans un long fou rire. Je suis en train de vivre la honte de ma vie étais je en train de penser, je ne savais pas ce que me réservais le futur……….

- Eh bien j’en découvre vraiment un peu plus tous les jours sur toi paillasson dit Sophie qui prenait un malin plaisir à m’appeler comme çà

Apres quelques instants Angélique me mis un bandeau sur les yeux, m’attacha les mains dans le dos et me lia les chevilles :

- Bon voilà une bonne chose de faite, on a bien mérité notre petit café dit-elle

- Venez, c’est prêt dit Sophie. Eh bien les filles, çà fait bien longtemps que je n’avais pas ris comme çà, quelle soirée. Quelle est la suite du programme pour votre paillasson ?

- On va l’emmener chez nous où on lui réserve tout un tas de surprise répondit Aurélie, dressage en bon et due forme, tu n’auras qu’a venir, je te garantie de bon moments en perspective.

- Je suis en vacance dans une semaine, je viendrais passer quelques jours chez vous

- Parfait, çà nous laisse le temps de te préparer ton paillasson dit Angélique, tu va adorer le résultat

- « Mon » paillasson ? dit Sophie

- Eh bien oui, on va s’amuser pendant 15 jours, mais après ce serais dommage de gâcher tout le travail, autant que quelqu’un profite d’autant que ton paillasson va revenir marqué à vie de son expérience répondit Angélique

- De toute façon quand tu te seras servi de ton paillasson chez nous tu auras du mal à t’en passer par la suite tu verras dit Aurélie

- C’est à mon tour d’être impatiente alors dit Sophie

- Bien, on n’est pas mal avec toi mais on a pas mal de route à faire alors on va mettre notre paillasson dans le coffre de la voiture et rentrer

- Bien sur les filles, reculez la voiture jusqu'à la porte d’entrée, je vais vous aider

Après avoir été trainé jusqu'à la porte d’entree par Sophie et une des jumelles, elles se sont mise à trois pour me mettre dans le coffre de la voiture sans ménagement, elle faisaient vite pour ne pas être vues et vu mon poids elles s’y sont reprise à plusieurs fois pour me mettre dans le coffre. J’avais froid, j’avais mal partout, je me sentait faible, honteux, humilié……….puis la voiture s’est mise à rouler pendant un très long moment qui m’a semblé une éternité...

 

Je vous laisse imaginer la suite... Une suite possible se trouve sur le site annoncé en haut de l'article. Toujours est-il que j'aimerais beaucoup vivre une expérience similaire, alors mesdemoiselles, si ça vous tente, contactez-moi... Et de manière générale, laissez vos commentaires...

 
Par AVS59 - Publié dans : Récits
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