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Vendredi 16 septembre 5 16 /09 /Sep 00:00

Suite encore...

Je suis alors libéré, et on me fait bien comprendre que, pendant toute la soirée, si une fille a besoin d'aller aux toilettes, on recommencera. On me rattache alors mains et pieds entre eux, et on me laisse le bandeau sur les yeux. Au bout de quelques instants, je sens quelque chose me chatouiller les lèvres. Deux doigts me serrent alors les narines, et j'ai à peine ouvert la bouche que cet objet s'y insère. La forme, la taille et la matière ne me laissent guère de doute sur la nature de l'objet : ce doit être un gode ceinture. On m'enlève alors mon bandeau, et  ma vue confirme cette impression. Juste à cet instant je sens une vive douleur au niveau de l'anus, et je me rends compte que le même objet se trouve alors enfoncé entre mes fesses.

-   Suce, m'ordonne alors Marine, à qui est harnaché le gode qui est dans ma bouche.

Je m'exécute alors, pendant que je sens derrière moi des mouvements de va et vient, dont la douleur initiale laisse progressivement place au plaisir. La sonnerie retentit alors, et je me demande qui vient, sachant que je suis nu et dans une position très humiliante au milieu du salon, dans lequel se trouve la porte d'entrée. Sans s'en inquiéter, Stéphanie va ouvrir. Je peux alors apercevoir un jeune homme d'une vingtaine d'années, qui ne semble pas surpris en me voyant ainsi. Surpris au début, je comprends vite qu'il a été appelé par les filles. Très vite, il baisse son pantalon, et présente son sexe à la place du gode que manipulait Marine. Refusant d'ouvrir la bouche, je subis alors le même traitement que précédemment, accompagné d'une fessée magistrale, et je finis par laisser ce sexe pénétrer dans ma bouche. On m'ordonne à nouveau de sucer, et de bien tout avaler et nettoyer à la fin.

Me voilà donc en train de lécher, sucer et astiquer ce sexe inconnu, m'appliquant en espérant que ça permette de terminer plus vite. Pendant ce temps, le plaisir apporté par les va et vient entre mes fesses me fait presque oublier ce que je suis en train de faire. Jusqu'à ce que j'aperçoive à nouveau le flash d'un appareil photos. Quand enfin je sens que le jeune homme va jouir, la crainte de ce qui va arriver me fait me contracter fortement, et le resserrement de mon anus autour du gode augmente le plaisir, et je finis par jouir en même temps que lui, sans même avoir été touché, ce qui provoque à nouveau une hilarité générale et une déferlante de flashes.

- Il doit bien aimer ça en fait…

Je me force alors à avaler tout ce qui arrive dans ma bouche, et à méticuleusement nettoyer le sexe de ce jeune homme, même si la baisse d'excitation due à mon éjaculation a nettement augmenté l'écœurement provoqué. Pensant enfin en avoir terminé, et plus honteux que jamais, je baisse la tête dès que le sexe a quitté ma bouche. Je sens le gode quitter mon anus, mais alors que je baisse tout juste ma garde, le sexe du jeune homme me pénètre violemment. Visiblement, son sexe doit être bien plus gros que les jouets utilisés auparavant, car je ressens d'abord une douleur, qui se transforme au gré des va et vient en un plaisir intense. Je bande à nouveau très fort, ce qui a le don de faire rire les demoiselles :

-   Eh, mais on dirait vraiment qu'il aime ça…

Cela dure encore bien 5 minutes, jusqu'à ce que le jeune homme se vide en moi pour la deuxième fois, avant de se retirer et de s'en aller.

-   Bon, c'est pas tout ça, mais il faudrait peut-être songer à y aller…

Où ça y aller ? C'est quoi ces histoires ? On ne va quand même pas continuer la soirée à l'extérieur ? Malgré tout, je n'ose rien dire, et j'attends craintivement les ordres qui vont m'être donnés.

-   Rhabille-toi ma belle, me lance alors Mélanie d'un ton moqueur, tout en m'envoyant ma robe et les autres vêtements que je portais en début de soirée. Et après assieds-toi ici.

Je m'exécute, et je me retrouve assis sur une chaise devant une glace, entouré de plusieurs filles qui en profitent pour me maquiller. Rouge à lèvres, far à paupières, fond de teint, vernis à ongles pour les mains et les pieds,… j'ai droit à la totale. On me mettra même deux bagues, un pendentif, et une paire de boucle d'oreilles à clipper. Pour terminer les préparatifs, on ferme mes sandales à l'aide de petits cadenas, de telles sorte que je n'ai absolument aucun moyen de m'en séparer.

-   C'est bon, elle est prête, on peut y aller.

L'ascenseur...

A bientôt pour la suite...

Par AVS59 - Publié dans : Récits
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Jeudi 15 septembre 4 15 /09 /Sep 00:00

3ème partie du récit...

 

La crainte de ce qui va m'arriver alors fait monter en moi une bouffée de chaleur, et mon sexe est à nouveau dans une érection presque douloureuse. Marion, une jolie blonde aux yeux bleus, dont la jupe cache tout juste les fesses, s'approche alors de moi et soulève ma jupe. La vue de la bosse dans ce string juste assez grand pour accueillir mon sexe fait naître de nouveaux éclats de rire.

-   Eh ben ça l'excite dirait-on.

-   C'est bien parce que c'est quand même plus joli à voir comme ça.

-   Bon les filles on attaque ?

-   Oui dépêchons.

Sans avoir le temps de dire ouf, je suis mis à terre d'un croche-pieds magistral, mes jambes et le haut de mon corps étant maintenus au sol par Marion et Stéphanie. Les prises sont efficaces, et je suis complètement immobilisé. Une belle rousse, apparemment prénommée Lisa, se charge alors de m'ôter mon tablier et ma robe, sous les applaudissements des autres invitées. On me relève alors, et je suis alors là, en bustier, string et porte-jarretelles, sans oublier les talons hauts, à la merci des appareils photos qui sont à nouveau de sortie, me flashant par devant et par derrière, dans l'hilarité générale. J'essaye alors de masquer mon visage avec mes mains, mais non seulement cette tentative s'avère inutile, mais en plus elle provoque l'agacement de Marion qui me projette à nouveau à terre.

Je suis à nouveau immobilisé, et Stéphanie propose alors à Mélanie de venir terminer le travail, ce qu'elle s'empresse d'accepter. Mélanie est une très belle jeune fille de 18 ans, brune, sportive, mais surtout c'est aussi une bonne copine, drôle et intéressante, toujours pleine de vie et de joie… en bref, elle me plaît beaucoup. Le fait que ce soit elle qui s'approche de moi renforce encore mon sentiment de honte, mais aussi fait monter mon excitation à son comble. Mélanie se charge donc de détacher lentement mon bustier, l'enlève, puis s'occupe de mes bas et porte-jarretelles, après avoir soulagé mes pieds en ôtant mes sandales. Me voilà avec pour tout vêtement un string qui ne contient plus que très difficilement mon sexe dans une érection phénoménale.

-   A poil, à poil, à poil…

Là, plus de doute, je vais y passer. Je suis remis debout, Marion me tenant les mains dans le dos, et les filles comptent alors ensemble jusqu'à trois. A trois, Mélanie se charge de baisser d'un coup mon string qui laisse apparaître mon sexe, dans un fou rire général, et au milieu des flashs qui se multiplient à nouveau. A ma grande crainte, c'est Aurélie qui se charge d'alimenter l'appareil de Mélanie en photos.

Me voilà donc totalement nu au milieu de ces quinze filles, le sexe en l'air, et les mains maintenues dans le dos, puis bientôt attachées solidement devant moi par une paire de menottes. Elles me demandent alors si j'ai faim, et comme je n'ai rien mangé et surtout ayant peur de leur réaction si je refuse, j'acquiesce. On me demande alors de me mettre à quatre pattes, et on me passe un collier avec un anneau autour du cou. De la même manière que mes mains sont attachées entre elles, mes pieds se retrouvent aussi liés. Même à quatre pattes, mes déplacements sont ainsi difficiles. Je suis alors Stéphanie jusque dans la cuisine, et je la vois vider une boîte de pâtée pour chiens dans une gamelle qu'elle pose devant moi, en m'ordonnant de surtout bien tout manger. C'est alors un défilé de jeunes filles qui passent à tour de rôle dans la cuisine pour se moquer de moi et immortaliser en photos ce moment, où un mec nu avec un collier mange de la pâtée dans une gamelle. Bien que ce soit écœurant à souhait, je m'applique pour bien lécher la gamelle jusqu'à la dernière miette, afin d'éviter toutes représailles. Quand j'ai terminé, je reviens au salon, toujours à quatre pattes.

-   Tu dois avoir soif maintenant, non?

Ayant très peur de ce qui m'attend, j'ose un non discret. Malheureusement, comme je pouvais m'y attendre, une main s'écrase violemment sur mes fesses nues.

-   Tu n'as aucun droit de répondre non à quiconque ici. Et de toute façon, tu n'as pas le choix, mes toilettes sont en panne, et je commence à avoir besoin de faire pipi.

Je cherche autour de moi qui a pu dire cela, mais je me doute que ce doit être Stéphanie. C'est en effet elle qui me met une laisse et me traîne jusque dans la salle de bains, où je dois m'allonger sur le dos dans la baignoire, avant que mes mains et mes pieds ne soient attachés à des crochets présents dans les murs. De mon côté, je suis presque paniqué, mais en même temps excité en me disant que je vais voir les parties intimes de ces filles, et en particulier de Mélanie. Malheureusement on me passe rapidement un bandeau sur les yeux, puis on me bouche le nez avec une pince à linge, de telle manière que je suis obligé de conserver la bouche ouverte. D'un coup, je n'entends plus rien. Contrairement à ce que j'aurais pu penser, le fait de ne rien voir n'enlève rien à mon excitation, même si j'ai très peur de la suite des évènements. J'entends enfin la porte s'ouvrir puis se refermer, et je suis alors très surpris d'entendre une fille dire à voix basse :

-   Tu n'as qu'à te mettre là, comme ça tu verras tout, sans me voir moi.

La honte s'empare alors un peu plus de moi, car non seulement je vais me faire pisser dessus, mais en plus devant témoin(s). Et si c'était Aurélie ou Mélanie d'ailleurs. Toujours est-il que je sens la baignoire vibrer, puis quelques secondes plus tard, je reçois un jet puissant sur le ventre. Comme je le craignais, ce jet remonte progressivement jusqu'à se déverser dans ma bouche. Le nez bouché, ma seule solution pour pouvoir à nouveau respirer est d'avaler le tout. C'est à ce moment que j'entends une nouvelle fois les bruits de déclenchement d'un appareil photos. Non, pas ça quand même…

 

Mais bon, je ne peux rien faire, et son jet est interminable. Je veux bien croire qu'elle devait avoir besoin. Quand j'entends à nouveau la porte s'ouvrir, je me rends compte que je n'ai pas fini de boire, puisqu'une autre jeune fille prend la place. Je vais ainsi subir successivement quatorze jets plus ou moins odorants et acides, me rendant alors compte qu'Aurélie ou Mélanie étaient alors forcément passées par là. Avant que ne sorte la dernière, la voix de Mélanie demande à cette jeune fille de prendre sa place, et je comprends alors que c'était elle qui devait assister à tout et prendre les photos… La catastrophe.

 

-   A mon tour maintenant… dit-elle alors dans un éclat de rire.

Je ne peux malheureusement pas voir la couleur de mon visage, mais je peux nettement imaginer que la honte procurée doit le rendre rouge vif. Mais je n'ai pas beaucoup le temps de penser à tout ça, puisque rapidement, un grand flot se déverse directement dans ma bouche. Et elle doit avoir beaucoup bu dans la journée, ou bien elle se retient depuis longtemps, car c'est de loin celle qui va déverser le plus de liquide sur moi, et le tout dans ma bouche.

 

Je suis alors libéré, et on me fait bien comprendre...

La suite au prochain épisode...

Par AVS59 - Publié dans : Récits
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Mercredi 14 septembre 3 14 /09 /Sep 00:00

Voici donc la suite de mon récit...

 

Je me sens toujours aussi mal à l'aise, mais je me place debout à côté de la porte, en attendant les premières arrivées. C'est alors que commence un "défilé" de jeunes filles, toutes plus jolies les unes que les autres, qui ne peuvent retenir au mieux un sourire en me voyant ainsi habillé. Je me charge ainsi de ranger les vestes d'au moins une dizaine de demoiselles, et je me demande combien vont encore arriver quand arrive la première grosse surprise et la première vraie honte de la soirée : la sonnette retentit une nouvelle fois, et j'ouvre donc la porte comme je le fais déjà depuis un moment, quand je vois sur le pallier deux visages parfaitement connus, puisque Aurélie et Mélanie font du sport dans le même club que moi. Elles ne peuvent se retenir d'éclater de rire, pendant que de mon côté j'aimerais me cacher ou me réveiller de ce cauchemar. Ayant repris leur sang froid, les filles me jettent leur veste, que je n'ai d'autre choix que de ranger avec les autres, et ferment la porte à clé derrière elle, emportant la clé dans leur poche. Mon idée de m'enfuir en vitesse devient alors pure illusion., et quand on me demande d'approcher de la table où sont disposés les verres, je le fais d'un pas hésitant, autant du fait de la honte que je viens de recevoir que de ces chaussures à talons dans lesquels je commence à avoir mal aux pieds, essayant toujours de conserver un équilibre minimum.

Je n'ose alors plus lever la tête, de peur de croiser les regards d'Aurélie ou de Mélanie, quand j'entends Stéphanie annoncer :

-   Asseyez-vous les filles. Par contre, je n'ai pu trouver que onze chaises, donc avec les trois places dans le canapé, il va quand même manquer un siège. Je propose donc qu'on demande à notre esclave de se mettre à quatre pattes pour remplir cette fonction.

Sachant que je n'ai de toutes façons pas d'autre solution, je me mets donc à quatre pattes, et les filles s'asseyent, laissant le soin à Aurélie de s'asseoir sur mon dos. La direction dans laquelle je suis installé faisant de plus que Mélanie se trouve juste dans mon champ de vision, j'ai très vite le réflexe de baisser la tête afin d'éviter son regard, dans lequel j'ai le temps d'apercevoir un mélange de fierté, de puissance et de moquerie.

L'apéritif est donc servi, les filles trinquent, et c'est parti pour de longues conversations de filles. De mon côté, malgré la position désagréable, surtout dans la durée, l'excitation est toujours à son comble. J'entends alors Aurélie prononcer les mots suivants :

-   On m'avait bien dit dans le mail que c'était à toi le blog et qu'on allait bien s'amuser en répondant à ton annonce. Et bien là c'est clair, on va bien rigoler… toi certainement moins…

Les filles éclatent de rire, et je me demande alors qui a bien pu me découvrir et me dénoncer ainsi. Malheureusement, mes réflexions sont de courte durée, puisque interrompues rapidement par un ordre de Stéphanie me demandant de débarrasser les verres et de dresser la table pour le repas. Aurélie se lève alors, et, après avoir eu bien du mal à me relever, entre mes genoux endoloris et mes talons qui me font très mal aux pieds, je m'exécute. C'est alors que j'entends les premiers bruits d'appareils photos, et que je suis mort de trouille en apercevant que Mélanie en tient un dans ses mains. Pourvu qu'elle ne les montre pas au club…

Stéphanie propose alors à tout le monde de passer à table, autour de laquelle se trouvent à présent quinze chaises, ce qui me prouve que l'excuse trouvée auparavant pour que je serve de chaise était bidon. La table se trouvant sur un tapis, les filles sont invitées à se déchausser avant de s'installer, pour ne pas salir le tapis. De mon côté, je peux très bien conserver mes talons, puisqu'ils n'ont pas servi à l'extérieur et ne sont donc pas sales. Je fais donc le service, avec toujours autant de mal à ne pas tomber, et quand j'ai terminé, il m'est demandé de m'allonger sous la table et d'y rester jusqu'à la fin du repas.

Me voilà donc allongé sous la table, au milieu des quinze paires de pieds, nus ou en chaussettes, qui dispensent un mélange d'odeurs à la fois écœurant et envoûtant. Je ne sais combien de temps durera le repas, puisque j'ai un peu perdu la notion du temps au milieu des discussions entre ces jeunes filles qui ne cessent de me donner des coups de pieds, de me chatouiller avec ceux-ci, ou de les approcher de mon nez. Quand enfin la fin du repas arrive, je me relève péniblement et je me charge de débarrasser la table, pendant que les filles s'installent confortablement pour discuter. A la fin de cette tâche, je reviens au salon et m'apprête à m'asseoir quand j'entends :

-   Non mais ça ne va pas??? Qui t'a permis de t'asseoir?

Je me relève donc immédiatement et Mélanie reprend de plus belle :

-   Ah on va enfin pouvoir s'amuser un peu.

La crainte de ce qui va m'arriver alors...

La suite pour bientôt...

Par AVS59 - Publié dans : Récits
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Lundi 12 septembre 1 12 /09 /Sep 00:00

Voilà un récit que j'ai écrit, et qui reprend plus ou moins un de mes fantasmes (voir l'article intitulé "Soirée" dans la partie "Soumission"), tout en s'adaptant à ma vie. C'est donc une expérience qui pourrait m'arriver, je fantasme dessus, et j'espère pouvoir la vivre, mais en même temps j'espère qu'elle ne m'arrivera pas à cause des conséquences... Il y aura plusieurs parties, je ne publie que la première aujourd'hui...

Bonne lecture à tous, et à vos commentaires... Et si quelqu'un trouve un moyen de me faire vivre cette expérience ou une autre semblable, mais sans que je le sache afin de m'intenir l'effet de surprise et donc l'intérêt, n'hésitez pas... Contactez-moi...

 

Cela fait déjà quelque temps que mon blog sur mes fantasmes existe, quand un jour je reçois un message d'une jeune demoiselle, intéressée par celui intitulé "Soirée". En effet, pour l'anniversaire d'une copine, une soirée entre filles est prévue.

 

Me voilà alors bien excité par cette réponse, mais, méfiant, je demande un peu plus d'informations personnelles à cette jeune fille… 19 ans, étudiante en psycho, elle s'appelle Marie, est blonde aux yeux verts, 1m72 pour 55 kgs. Tout ça est bien intéressant, mais de peur d'une farce ou quelque chose comme ça, je demande l'adresse de la fête (de toutes façons il faudra bien que je l'aie pour m'y rendre), et surtout le nom de famille de notre hôte. Ce qui me rassure un peu, c'est qu'elle n'hésite pas à me les transmettre, et ce qui me rassure franchement, c'est que cette personne se trouve effectivement dans les pages blanches.

 

Rendez-vous est donc fixé pour le samedi suivant. Le jour J, je me rends sur place, en pensant que je n'avais même pas demandé combien de convives seraient présentes. Mais bon tant pis, l'occasion est trop belle, je fonce. Arrivé devant la porte, je me mets un bandeau sur les yeux avant de sonner 3 fois, comme cela avait été convenu.

 

 

 

J'entends la porte s'ouvrir, une main douce se saisir de la mienne pour me faire entrer. Je suis alors conduit dans une chambre, dans laquelle on me permet d'enlever mon bandeau dès que je serai seul dans la pièce. Entendant la porte se refermer, je retire donc mon bandeau pour apercevoir sur le lit la tenue que je dois passer avant de ressortir de la pièce : une très jolie robe noire, qui me semble à ce moment-là très courte, mais aussi un bustier rouge vif en dentelle, ainsi que le string assorti, sans oublier les bas et porte-jarretelles. Ma plus grande surprise est alors de découvrir une paire de sandales noires, à talons très hauts, et qui, de par leur pointure, semblent m'être destinées. Le tout est accompagné d'un petit tablier blanc, et je suppose alors que je vais être utilisé comme soubrette et femme à tout faire.

 

A ce moment, la tension est à son comble, et je me demande si je dois continuer ou bien m'enfuir pendant qu'il en est encore temps. Malheureusement, je réfléchis vite qu'il m'est impossible de partir puisque la soirée se déroule au quinzième étage d'un immeuble, et que la chambre ne possède qu'une seule porte. Je me dis donc que je n'ai pas le choix, et je me décide donc à me changer. Outre la sensation bizarre que représente la fermeture du bustier, dans lequel j'ai pris la peine d'insérer les faux seins qui étaient préparés, c'est surtout la sensation de la ficelle du string, qui me passe entre les fesses, qui me gêne. Mais cette gêne est de courte durée puisque arrive le moment d'enfiler les sandales. C'est incroyable, comment ont-elles pu connaître ma pointure ? Ou bien ont-elles simplement pris la pointure la plus commune pour un homme (je chausse du 43) ? Toujours est-il qu'elles me vont parfaitement, et que je me retrouve posé sur des talons hauts (ils doivent faire au moins 10 cm), peinant à trouver un semblant d'équilibre. Je noue alors mon tablier et me voilà fin prêt pour attaquer la soirée.

 

 

Comme on me l'avait demandé, je frappe alors à la porte de la chambre, pour qu'on vienne m'ouvrir. Je vais enfin découvrir à quoi ressemble la maîtresse des lieux, et la pression monte encore d'un ton. Mon sexe a bien du mal alors à se faire une place dans le morceau de tissu qui me sert de string. La poignée de la porte descend alors, et je vois apparaître dans l'entrebâillement une jeune fille, brune, cheveux longs et lisses, yeux marrons. Elle doit mesurer environ 1m70, ou peut-être un peu plus, car j'ai du mal à me faire une idée avec ces talons qui me font voir les choses de haut. Elle retient difficilement un éclat de rire, ce que ne pourra même pas faire sa copine, une jolie brune elle aussi, qui se tient assise dans le canapé. J'entre alors dans le salon, dans lequel la table est dressée pour l'apéritif, et je suis Stéphanie jusque près de la porte d'entrée, sans avoir le temps de compter le nombre de verres, tout en me rendant compte qu'il risque d'y avoir du monde. Elle m'indique alors un petit cagibi contenant un porte-manteaux, dans lequel je devrai accrocher les vestes des convives, au fur et à mesure qu'elles arriveront et que je leur ouvrirai la porte.

Je me sens toujours aussi mal à l'aise, mais...

 

La suite au prochain numéro... 

 
Par AVS59 - Publié dans : Récits
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Jeudi 1 septembre 4 01 /09 /Sep 00:00

Voilà un texte trouvé sur le site : http://pageperso.aol.frpinnedbygrrls/index.html. Je l'aime beaucoup, et j'aimerais subir le même genre de vengeance : la surprise de l'inconnue qui n'en est pas une, la honte provoquée par la découverte de tels fantasmes par une connaissance, la présence de la caméra, la crainte d'être exposé,... le comble de l'excitation... Et encore, elle a été sympa et n'a pas dévoiler son anatomie à la caméra. lol

Donc si il y a une (ou des) amatrice(s) de ce genre d'expérience, n'hésitez pas à me contacter. Sinon laissez vos commentaires...

 

 

 

 

J'étais au lycée à l'époque, et avec mes copains, nous avions pris l'habitude de nous moquer d'une fille de ma classe, entre autre en raison de sa petite taille.

Elle s'appelait Elodie, avait les cheveux longs et chatains et mesurait à peine 1m50, ce qui n'était pas grand chose face à mes 1m80. Elle était devenu notre souffre-douleur, et même si elle ne répondait rien à nos moqueries, on sentait que ça la rendait furieuse. Ces moqueries duraient déjà depuis plusieurs mois quand ça se produisit.

 

A cette époque, je m'intéressais déjà à la domination soft des filles sur les hommes et au bondage. J'avais donc créé mon site internet perso ( http://membres.lycos.fr/grego120/ ), sur lequel je décris les pratiques qui m'excitent avec des photos et je donne mon adresse email pour les filles intéressées.

 

Or, Elodie avait découvert ce site et m'avais demandé par email de lui envoyer une photo de moi, ce que je fis. C'est comme ça, en me reconnaissant sur la photo, qu'elle découvrit mes fantasmes et décida de se venger de moi. De mon coté, j'ignorais bien sur que c'était elle.

Afin de ne pas se faire démasquer, elle ne m'envoya pas de photos d'elle et donna de fausses informations sur elle. Puis, à ma grande joie, elle accepta de me dominer pour seulement 40 euros, alors que j'étais près à payer le double, et me demanda un rendez-vous.

Sa seule condition était que nous ne devions en aucun cas être dérangé, ce à quoi je lui répondit que, de toute façon, mes parents partait en voyage et que je serais seul chez moi pendant trois jours.

Mais tout de même inquiet de sa demande, je lui fis remarquer que j'hésitais un peu à me mettre à sa totale merci et sans aucune possibilité d'aide extérieure. Elle me répondit que je devais avoir confiance en elle et qu'après tout, on ne se connaissait pas et qu'elle n'avait pas de raison de me faire du mal, n'est ce pas?

 

 

Alors je décidai que j'avais tort de m'inquiéter, et de plus, le risque ne faisait que m'exciter un peu plus. J'acceptai sa proposition et le rendez-vous fut donc fixé le mercredi suivant à 15h, chez moi. L'attente me parut interminable et ne fit qu'augmenter un peu plus mon excitation, quand le jour arriva finalement. Anxieux depuis mon réveil, je sursautai en entendant la sonnerie retentir vers 14h55. Très troublé de l'entendre plus tôt que prévu et très excité, j'ouvris la porte; et je reconnu Elodie, de ma classe.

"Salut. Je suis un peu en avance, non?" me dit-elle.

"Quoi? C'était toi?!" répondis-je, interloqué.

"Oui, je voulais te faire la surprise. Alors on commence?"

"Heu, je sais pas si..."

"Ne me dis pas que je suis venu ici pour rien! Allez, tu vas voir, ça va te plaire!" dit-elle malicieusement.

Je la contemplai rapidement. Effectivement, je la trouvais très sexy : elle avait ses cheveux chatains détachés et portait un débardeur noir qui faisait ressortir sa poitrine. Mais ce qui m'excitait le plus, c'était son survetement gris. Plus d'une fois j'avais fantasmé sur ce même pantalon destiné au cours de sports, dans lesquelles nous étions dans le même groupe. En effet, il moulait efficacement ses fesses et ses cuisses, mettant ainsi leur jolie forme en valeur.

Bien sur, c'était volontaire de sa part car en effet, je lui avais appris, dans les emails que nous avions échangé, ce qui m'excitait le plus chez une dominatrice amateur, au point de vue habillement ou attitude pendant une cession de domination. (j'adore les filles en survêtement)

Alors, au comble de l'excitation, j'oubliai toute crainte et, ne pensant plus aux conséquences éventuelles, je lui répondis :

"bon d'accord, allons dans ma chambre."

 

 

Après avoir découvert mon lit, un lit une place standart, elle me poussa dessus et s'empressa de prendre les cordes sur mon bureau afin de m'attacher le plus vite possible de peur que je ne change d'avis, même si je ne me rends pas compte tout de suite de son empressement à m'immobiliser.

Située debout à ma droite, elle attacha d'abord mon poignet gauche à l'extrémité d'une corde d'environ 1m50, en faisant un double noeud qu'elle serra très fort, et qu'elle renforça d'un troisième; puis elle passa l'autre extrémité de la corde sous le coté gauche de mon lit et alla la chercher à quatre pattes sous le coté droit, et elle la tira, pour finalement ressortir environ 30cm de corde, juste assez pour attacher mon poignet droit avec. Ce qu'elle fit en serrant avec force, tout en s'assurant que mes bras étaient le plus tendus possible, presque perpendiculaires au lit et dirigés vers le sol.

Elle refit exactement la même chose avec mes jambes, qui se retrouvaient écartées comme un V inversé, sans que je puisse les joindre.

Après avoir fini, elle se releva et contempla son ouvrage, les mains sur les hanches et le sourire aux lèvres.

Après plusieurs tentatives d'évasion, je me rendis compte que j'étais totalement immobilisé et donc à la merci de la fille qui me détestait le plus au monde.

"ça fait des mois que je rêve de vivre une situation comme celle là!" me dit-elle, avec un sourire sadique.

ma grande surprise, elle quitta ma chambre pour aller fermer la porte de ma maison à clef, afin d'être sure qu'on ne soit pas dérangé et elle débrancha également le téléphone en passant devant. En son absence, je commençais à m'inquiéter de ma situation, tout en sentant mon excitation être de plus en plus forte. Elle revint peu après et referma lentement la porte de ma chambre derrière elle, en me regardant d'un air espiègle qui me fit très peur.

"je t'ai pas trop manqué, j'espère?"

 

Elle enleva ses chaussures et sortit alors une caméra du sac à dos qu'elle avait amené et la positiona sur mon bureau, en la dirigeant vers moi.

"Heu, Elodie, je préfère pas." dis-je, horrifié mais impuissant.

"Je l'ai emprunté à une amie" me répondit-elle, "ça peut filmer pendant une demi-heure, elle m'a dit."

"Non, arrete!" Ordonnai-je, commençant à découvrir avec horreur son plan de vengeance, mais bien trop tard.

"Je suis certaine que ça va intéresser pas mal de monde" dit-elle en déclenchant le mécanisme de marche, provoquant l'apparition de la lumière rouge d'enregistrement.

 

Alors, elle se tourna vers moi, fit mine de se recoiffer avec coquetterie et s'avança vers moi. Je ne pu m'empecher de jeter un regard sur son survetement gris et moulant, à cause duquel j'étais maintenant piégé, trahi par mon fantasme pour cet habit sexy.

 

Elle se mit d'abord à genoux à coté de moi, puis lentement, elle m'enjambea en me regardant droit dans les yeux, pour finalement se retrouver à califourchon sur mon ventre, callant ses fesses confortablement.

"Tu fais pas le fier, hein?!" me dit-elle, "tu as eu tort de me faire confiance, maintenant tu est à ma merci! regarde, je peux te faire ce que je veux."

Sur ces mots, elle commença à me tapoter les joues sans que je puisse faire quoi que ce soit.

Bien que je me sentais paniquer, j'étais plus excité que jamais de sentir son poids pesant sur mon ventre.

 

"allez, je veux bien continuer, mais éteint cette caméra!"lui dis-je, saisissant cette dernière chance de ne pas subir sa vengeance.

Pour seule réponse, elle m'assena une forte claque qui me surpris totalement.

"Tu n'es pas en position de me donner des ordres." répondit-elle ensuite.

"Dis-moi, t'es fort en apnée?" ajouta t'elle, après une courte pause.

"Quoi? Hé, attend!"

 

Elle mit alors sa main gauche sur ma bouche, m'empechant ainsi de parler et de respirer par la bouche, puis avec sa main droite, elle serra mon nez entre son pouce et son index.

"tu te rends compte que moi, une fille de très petite taille, je peux tuer un grand gaillard comme toi seulement avec deux doigts?" se moqua t'elle, en me regardant suffoquer lentement.

Totalement immobilisé; je n'eus pas d'autres solutions que d'attendre en espérant qu'elle relacherait l'emprise. Elle me regarda, en haussant les sourcils et la bouche ouverte comme si elle accomplissait un travail de précision.

Au bord de l'asphyxie, je devins tout rouge, ce qui lui valu de m'adresser un sourire de satisfaction, alors que je sentis ses fesses gigoter sur mon ventre.

Elle se trémoussait sur moi et se pencha en avant afin de renforcer son emprise fatale, alors que, affolé, je tentai de bouger dans tous les sens, malgré les cordages et le poids de son corps.

Elle relacha finalement son emprise, et j'inspirai de très grande goulée d'air. Pendant que j'essayais de me remettre en respirant bruyamment, elle me caressa les cheveux en éclatant de rire.

"T'es pas très endurant! Heureusement que je suis là pour t'entrainer!" dit-elle, amusée de voir l'affolement dans mes yeux provoqué par une telle remarque.

 

Sur mon ventre, elle sentait les mouvements de mes poumons et elle se rendit compte quand j'eu fini de récupérer mon souffle.

Horrifié, je la vis remettre sa main gauche sur ma bouche. Mais cette fois, elle décida de pincer mon nez entre son pouce et son petit doigt, ce qu'elle fit immédiatemment en souriant de toute ses dents.

"Je m'amuse comme une folle!" dit-elle, alors que j'étais de nouveau en train d'étouffer entre ses mains.

Je tentais de tirer de toutes mes forces sur les liens qui m'immobilisaient mais ils étaient solides et ne cédaient pas.

"Inutile d'essayer, tu ne peux pas t'échapper! C'est humainement impossible!" remarqua t'elle, ravie de constater mes vaines tentatives.

De nouveau, je devins tout rouge, alors qu'elle jeta un rapide coup d'oeil vers la bosse sur mon entrejambe, derrière elle.

"Oh, mais tu m'as l'air d'aimer ça, dis moi!" Rigola t'elle ,"Et bien tant mieux, moi aussi ça m'excite de te sentir impuissant sous moi."

Alors que mon visage commençait à passer du rouge au bleu, je tentai de l'éjecter de mon ventre, mais je ne parvint qu'à la soulever de quelques centimètres. Elle s'empressa de mettre tout son poids sur mon ventre et je me retrouvais de nouveau coller au lit, à regarder son grand sourire tout en priant pour qu'elle ne décide pas de m'étouffer définitivement. Elle devait lire dans mes pensées car elle me dit :

"Allons, ne panique pas! Tu n'as pas confiance en moi?" Puis elle éclata d'un grand rire, tout en relachant l'emprise de ses mains, qu'elle posa sur ses hanches, à mon grand soulagement.

Pendant que je tentai péniblement de reprendre mon souffle, elle se fit un chignon avec beaucoup de soin.

 

Après l'avoir terminé, elle se pencha en avant, passa ses bras derrière ma nuque et pressa ma tête avec force entre ses deux seins.

 

"Mmmh, viens là mon bébé" dit-elle d'une voix tendre.

Je sentis d'abord l'odeur de son parfum, puis je ne sentit plus rien du tout : elle pressa si fort que j'étouffais de nouveau. Alors, je gigotais dans tous les sens, inutilement.

"Allons, ne panique pas! Fais moi confiance!" entendis-je.

Mais malgré sa remarque, prononcée d'un ton apaisant, je me débattais de plus belle, à bout de souffle.

"Si tu veux que je te laisse respirer, arrete de te débattre pendant 5 seconde!" me dit-elle avec autorité.

Entendant cette remarque, et malgré le fait que mon étouffement devenait insupportable, j'obéi à son ordre et je l'entendis compter.

"Un, deux..."

Je luttais de toutes mes forces pour ne pas céder à la tentation de me débattre.

"Trois..."

N'ayant rien d'autre à faire, je ne pu que gémir pour la prévenir que j'étais à bout, mais elle continua à compter, imperturbable.

"Quatre... Et cinq!" Dit-elle en lachant ma tête et en repositionnant ses fesses contre mon ventre.

Je pris alors une très grande goulée d'air, puis une autre, heureux de m'en être sorti.

"Tu vois? Quand tu m'obéis, tout se passe bien." Fit-elle remarquer.

 

Je la senti bouger alors que je continuais à reprendre mon souffle, péniblement. Elle s'avança sur mon corps, passa ses mollets sur mes bras attachées et coinça ma tête entre ses jambes, alors qu'elle posa son jolie derrière sur mon torse.

"Alors, Mon pantalon t'excite? Alors tu dois aimer le voir d'aussi près" dit-elle, en serrant ma tête entre ses cuisses.

En effet, j'étais aux anges de sentir le contact de ses cuisses sur ma tête et celui de ses fesses sur mon torse.

Alors, elle reposa ses mains sur ma bouche et pinça encore mon nez, alors que je lui lançai un regarde inquiet. Elle répondit par un sourire alors que j'étouffais de nouveau. Ma tête étant bloquée, je ne pu tenter de la bouger. Au bord de l'asphyxie, je regardai son visage angélique, traversé par un sourire démoniaque.

"Même topo que tout à l'heure : Arrete de te débattre pendant 5 seconde et je t'autoriserai à respirer."

Au prix d'un effort surhumain, je cessai de bouger, alors qu'elle compta les 5 secondes qui me parurent une éternité. J'y parvins, par miracle, et elle relacha.

"Tu es encore tout rouge!!" constata t'elle, hilare.

 

Elle se leva ensuite et, debout à coté du lit, elle remarqua que la bosse sur mon entrejambe avait atteint son maximum. En effet, je n'avais jamais connu une telle excitation!

Elle se dirigea vers son camescope posé sur le bureau de l'autre coté de ma chambre, et vérifia qu'il enregistrait toujours.

Satisfaite, elle se dirigea ensuite vers moi et m'annonça : "Puisque je t'excite tant, je vais te donner l'occasion de voir mon corps de plus près!"

 

 

Sur ces mots, elle se mit à genoux sur les bords du lit à coté de ma tête, enjamba ma tête pour se retrouver face au reste de mon corps, ses genoux sur mes bras attachés.

Délicatement, elle posa ses fesses sur mon visage, et s'y retrouva assise confortablement, mon nez calé entre ses fesses.

Je me débattais de toute mes forces, conscient qu'une caméra était en train d'enregistrer cette humiliation totale, mais mes liens étaient trop solides.

Pendant ce temps, elle fredonna un air de musique tout en prenant un magazine posé sur ma table de nuit. Elle le posa sur mon torse et entama la lecture, alors que de mon coté, je disposai de juste assez d'air pour respirer. Je décidai donc de ne plus me débattre, de crainte qu'elle ne change la position de ses fesses sur mon visage en représaille et qu'elle ne m'étouffe pour de bon.

Pendant 5 bonnes minutes, je l'entendis tourner les pages tranquillement alors que je sentai mon pénis se dresser de nouveau, en raison de ma très forte excitation.

Elle était assise sur mon nez et ma bouche alors que je pouvais voir le haut de ses fesses et une partie de son chignon.

Elle reposa ensuite le magazine mais resta assise sur mon visage.

"Tu sais, je souffre beaucoup quand vous vous moquez sans arret de moi. Mais maintenant, c'est toi qui va connaitre la souffrance! " dit-elle, en penchant légèrement son corps pour poser ses deux mains sur mes parties génitales. Je tentai de serrer mes jambes mais elle étaient immobilisées par les liens.

 

 

Soudain, sans prévenir, elle donna une tape sur mes testicules, ce qui me fit grogner de douleur. Elle redonna ensuite une tape beaucoup plus forte, suffisante pour me faire hurler de douleur, mais ma voix était étouffée sous son derrière. Après que j'eu fini de gémir, elle redonna une tape au même endroit, relançant mon gémissement.

Elle me tortura ainsi pendant environ cinq très longues minutes, puis de ses deux mains, elle serra très fort mes testicules pendant une minute, durant laquelle je poussai un long gémissement ininterrompu. Torturé et humilié, je l'entendis rire de mon calvaire.

Finalement, elle se leva et s'assit sur le lit à droite de ma tête. Elle passa sa cuisse droite sous ma tête, comme un oreiller, et posa sa cuisse gauche devant mon menton, sur mon cou. Elle crocheta ses chevilles, coinçant ma tête dans un ciseau fatal.

 

Soudainement, elle serra ses cuisses de toute ses forces, m'étranglant en même temps. J'essayais de dégager ma tête mais sans succès. Je la tournais de tous les cotés. Je pouvais voir à gauche ses chevilles crochetés, et ses chaussettes blanches, qui allaient bien avec son pantalon gris, et à droite, ses fesses bombées.

Tout en maintenant sa prise, elle prit ma tête avec ses mains, la tourna vers la droite face à ses fesses, et tira. Mon nez se retrouva de nouveau dans son derrière alors que je commençais à étouffer entre ses cuisses. Je l'entendis alors gémir de plaisir. De temps en temps, elle relacha légèrement pour resserrer de plus belle juste après, prolongeant ainsi mon étouffement sur plusieurs minutes.

Enfin, elle relacha sa prise et se leva. Elle alla voir le temps d'enregistrement sur la cassette, puis elle vint s'asseoir sur mon ventre, face à ma tête.

"Il reste environ cinq minutes d'enregistrement. Qu'est-ce que je vais bien pouvoir te faire d'autre?" se demanda t'elle à elle-même. Elle hésita, puis me fis un sourire, m'indiquant ainsi qu'elle avait une idée, ce qui me fit très peur.

 

 

Toujours à califourchon sur mon ventre, elle se pencha pour avoir sa tête 20cm au dessus de la mienne, qu'elle bloqua avec ses mains.

"Ouvre la bouche!" ordonna t'elle.

Je refusai d'abord, puis elle m'assena une gifle.

"Ouvre la bouche, ou je recommence à te torturer!!" me menaça t'elle.

Tremblant à l'idée de resubir les mêmes souffrances que celles d'avant, j'ouvris la bouche. Elle approcha la sienne de 10cm afin de mieux viser la mienne, et elle cracha lentement. Je sentis le filet de salive entrer dans ma bouche, puis je la ferma. Toujours sa tête au dessus de la mienne, je la vis sourire à la caméra, alors que j'avalai sa salive. Pour me récompenser de lui avoir obéi, elle me caressa la joue, ajoutant un peu plus à ma complète humiliation.

 

Elle se pencha ensuite en arrière, les fesses sur mon estomac, et elle retira ses chaussettes. Elle plaça ensuite ses pieds nus 10cm au dessus de ma bouche, tout en posant sa main droite sur mes parties génitales.

"Lèche mes pieds!" ordonna t'elle, alors que je sentai la pression de sa main droite sur mes testicules.

Je soulevai alors ma tête afin de lêcher ses pieds 10cm au dessus, afin de ne pas avoir à subir de nouvelles tortures.

"Bien... Continue...Bien..." dit-elle, satisfaite, tout en caressant mes testicules.

Je continuais à lecher ses pieds et ses doigts de pieds, alors qu'elle souriait à la caméra, ravie de montrer qu'elle m'avait "dressé".

Je lechais ses pieds depuis déjà 3 minutes, quand la lumière rouge sur la caméra disparut.

 

Elle se leva ensuite, remit ses chaussettes et ses chaussures et rangea sa caméra dans son sac.

Elle ouvrit mon portefeuille sur mon bureau et pris la totalité de l'argent qui s'y trouvait, environ 250 euros, qu'elle mit dans la poche arrière de son pantalon gris, en me regardant méchamment.

"Je vais aller mettre cet argent et cette cassette en lieu sûr. A tout à l'heure." dit-elle en fermant la porte.

Je tentai de me libérer, afin de la rattraper, mais même sans le poids de son corps sur le mien, j'étais totalement immobilisé. Après de nombreuses tentatives infructueuses, je renonçai et je m'assoupi, complètement épuisé.

 

 

Je l'entendis revenir plusieurs heures après, sans son sac. Elle me libéra de mes liens et m'annonça : "J'ai bien caché la caméra, alors inutile de la chercher! Si t'essayes de la récupérer, ou si tu refuses de m'obéir quand je te donne un ordre, elle circulera! Si tu m'obéi, elle restera en lieu sûr. A partir de maintenant, t'es mon esclave. T'en fais pas, je serais une bonne maitresse pour toi."

Je me levai enfin du lit, pour me retrouver en face d'elle et de ses 1m50. Elle décida de tester ma soumission :

"Enfonce ta tête entre mes fesses." m'ordonna t'elle en se retournant.

Conscient que je n'avais absolument pas le choix, je me mis à genoux et je lui obéi, en enfonçant mon visage dans son survetement sexy et inspirant à fond.

"Bien... Très bien..." Dit-elle en me caressant la nuque, " A partir de maintenant, en privé, tu m'appellera maitresse, Compris? Bon, j'y vais. Si tu es sage, je t'enverrai une copie de la cassette."

Sur ces mots, elle s'en alla en riant, satisfaite de sa victoire totale.

 

 

Depuis ce jour, j'ai évidemment cessé de me moquer d'elle.

Régulièrement, elle m'a demandé d'accomplir certaines choses, comme de faire ses devoirs ou de lui donner de l'argent. Plusieurs fois, elle m'a aussi demandé de me soumettre en lui lechant les pieds, en la laissant s'asseoir sur mon visage ou en accomplissant le moindre de ses désirs.

J'ai cessé de la voir par la suite, mais depuis, je cherche une fille qui accepterait, en échange d'argent, de me dominer comme je l'ai été ce jour là.

 
Par AVS59 - Publié dans : Récits
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