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Samedi 4 février 6 04 /02 /Fév 13:24

Bonjour à tous… Le scénario de self-bondage présenté dans l’article précédent m’a donné tellement envie, que je l’ai réalisé… Et comme promis, je viens vous faire profiter de cette expérience.

La taille de ma chambre ne me permettant pas de déplacer suffisamment mon lit, je me suis donc replié sur le salon, dans lequel je me suis décidé à déplacer la table, certes moins lourde, mais sur un revêtement de sol rugueux ne facilitant pas le déplacement.

Après avoir déposé la clé au sol, je me suis allongé pour estimer la longueur de ficelle (je n’avais pas de corde) nécessaire entre la table et mes chevilles, puis j’ai attaché celle-ci à un pied de la table. Je commençais déjà à être très excité par la situation, et je me suis empressé de passer un anneau autour de mon sexe, pendant que la taille de celui-ci le permettait encore, afin de retarder à accentuer plus tard un éventuel plaisir.

J’ai ensuite passé une ficelle autour de ma taille, puis après l’avoir fait contourner et enserrer mon sexe sous le string que j’avais mis pour l’occasion, je l’ai nouée à hauteur du bas de mes fesses, afin de pouvoir plus tard passer les menottes dans la boucle ainsi formée.

Mes menottes étant pour poignets et chevilles, j’avais décidé de me compliquer encore un peu la tâche en déposant au sol la clé pour les chevilles et en fixant celle pour les poignets à une des menottes de chevilles, de telle sorte que je ne pouvais donc la récupérer sans avoir libéré mes chevilles. J’ai donc accroché cette clé, puis refermé les menottes sur mes chevilles, avant de fixer celles-ci à la ficelle reliée à la table.

J’ai ensuite attrapé mon cadenas de vélo, qui m’a servi à serrer fortement mes jambes l’une contre l’autre en faisant 3 tours au niveau de mes mollets et genoux. Une ceinture a terminé mon ligotage des jambes en les enserrant en haut des cuisses. Je commençais alors à être très excité par la situation, et mon sexe commençait déjà à me faire mal dans mon string. J’ai alors passé la partie poignets des menottes dans la boucle de la ficelle qui enserrait mon sexe, et j’ai placé une ceinture autour de ma poitrine, de telle sorte que je puisse encore difficilement y glisser mes bras. J’y étais presque, et la tension était à son comble.

Je me suis alors allongé, un dernier petit coup d’œil à la clé, et je me suis placé mon masque sur les yeux, de telle sorte que j’étais plongé dans le noir absolu. Il me restait alors à passer mes bras dans la ceinture, ce qui ne fut pas chose aisée, et je me demandais d’ailleurs à ce moment-là si j’arriverais à me libérer même sans les menottes. J’ai ensuite passé ma main gauche dans la première menotte que j’ai refermée sans trop de difficultés, ce qui ne fut pas le cas de la seconde. En effet, la longueur de chaîne entre les menottes de chevilles et de poignets et la position de la boucle dans la ficelle à ma hanche maintenaient les menottes de poignets très bas, et j’arrivais tout juste à atteindre la seconde menotte avec ma main droite. Le peu de liberté de mouvement que me laissait alors la ceinture me donnait toutes les difficultés du monde pour attraper et fermer la menotte avec la main gauche. Tant et si bien qu’il me fallut bien 5 minutes avant de réussir à la refermer. Pendant ce temps, l’excitation provoquée par tous ces liens et la situation dans laquelle je me mettais, accentuée par les efforts que j’étais en train de fournir pour fermer cette dernière menotte et donc le manque d’oxygène provoqué ont fait monter mon plaisir de telle sorte qu’au moment même où je réussissais enfin à m’attacher, j’ai joui une première fois avec une force que je n’aurais même pas pu imaginer.

Heureusement que la menotte était maintenant fermée, car je ne sais pas si j’aurais eu la force de continuer sinon. Mais là je n’avais plus le choix. J’ai alors commencé à essayer d’avancer. Heureusement la rugosité du sol me permettait d’avoir des appuis, mais c’est cette même rugosité qui a fait qu’après seulement deux ou trois mouvements l’irritation provoquée me faisait mal partout, et mon string était descendu, laissant mon sexe frotter lui aussi sur ce sol. Chaque mouvement était alors encore plus pénible, et je commençais à douter, ce qui avait le don d’augmenter encore mon excitation et la douleur de mon sexe.

Quand enfin après de nombreux efforts, ma tête rencontra un obstacle, je fus à la fois étonné et paniqué de me rendre compte que ce n’était absolument pas la bouteille d’eau mais la baie vitrée. Les diverses idées qui me sont alors passées par la tête m’ont alors fait jouir une seconde fois, et à ce moment j’aurais aimé avoir un baillon pou masquer mes cris de plaisir.

J’ai supposé alors que la clé devait se trouver quelque part sur ma droite, étant donnée la disposition de la pièce et de la clé au départ. Mais se déplacer latéralement était, à cause de mes liens, encore plus difficile que d’avancer. Au bout de plusieurs nouvelles minutes d’effort, mon sexe n’ayant par ailleurs rien perdu de son ardeur, ma tête a enfin heurté la bouteille et mes mains n’ont alors eu aucune difficulté à attraper la clé.

Le soulagement n’allait malheureusement être que de courte durée. En fait, je me suis vite rendu compte que mes mains n’arrivaient pas à atteindre mes chevilles, même en pliant mes jambes au maximum. Le soulagement a alors cédé à la panique, et c’est dans un nouveau cri de plaisir que j’ai essayé de trouver une solution. La seule que j’ai trouvée était alors de réussir à me mettre à genoux, le poids de mon corps me permettant alors de plier suffisamment les genoux pour que mes mains atteignent mes chevilles. Mais c’était plus facile à dire qu’à faire, et le seul moyen que je voyais pour réussir à me mettre à genoux malgré mes liens était de m’aider du canapé, qui ne devait pas être loin. En prenant garde à ne surtout pas lâcher la clé, j’ai alors entrepris un dernier déplacement, et, en m’allongeant sur le côté puis en m’aidant de ma tête pour appuyer sur le canapé, je réussis enfin après plusieurs tentatives à me redresser et à me mettre à genoux. J’avais mal partout, mais la fin approchait.

Même s’il me fallut alors quelques tentatives infructueuses avant de réussir à trouver le trou de la serrure, la libération de la cheville détenant la clé pour les poignets ne fut pas la tâche la plus difficile, et l’ouverture des menottes de poignets non plus. Le soulagement me fit alors jouir une quatrième fois, et il ne me restait alors plus que deux difficultés à surmonter : réussir à sortir mes bras de la ceinture, ce qui ne fut pas une mince affaire, puis trouver où j’avais mis la clé du cadenas de mon vélo que j’avais oublié de préparer, et cela en sautant à pieds joints puisque mes jambes étaient fortement serrées entre elles. A cause des efforts précédemment réalisés, ce ne fut pas chose facile, mais je finis par y arriver. J’étais enfin parvenu à me libérer, et un rapide coup d’œil à l’heure me fit constaté qu’il s’était quand même passé une heure entre le moment où je m’étais masqué les yeux et celui où j’ai eu fini de me libérer.

Je suis alors resté un long moment allongé au sol, les yeux fermés, pour profiter au maximum de ce moment de relâchement et de soulagement, puis je me suis préparé à aller me coucher, en n’oubliant pas de prendre une cinquième fois du plaisir en repensant à l’aventure que je venais de vivre.

 

 

Voilà, je tenais à vous faire partager cette expérience (personnellement je ne pensais pas pouvoir jouir cinq fois dans la même soirée, et encore moins dans une heure de temps et avec cette intensité, mais ce fut un vrai délice), alors n’hésitez pas à faire part de vos commentaires.

Par AVS59 - Publié dans : Récits
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Lundi 30 janvier 1 30 /01 /Jan 08:06
Voilà un échange de messages trouvés sur le groupe msn : http://groups.msn.com/SecretsdeSecretaires. Très joli récit, très excitant, et j'essaierai peut-être un de ces jours de mettre ce scénario en pratique... Auquel cas je vous raconterai le déroulement de cette séance ici même... Mais en attendant régalez-vous avec ce texte...
 
Scénario de self-bondage...
 
 
Well, un sacré bout de temps que je ne dépose plus de message ici.
Trop de n'importe quoi.
L'esprit des débuts de SecretsdeSecretaires a changé, dommââge !
Même Jeanne fait faux bond, la gââârce !
Vous vous demandez ce que je deviens ?
Toujours secrétaire le jour et libidineuse le soir, perverse le week-end !
Its'nt !
Je viens lire aussi ce qui se passe sur MON site, well, faut pas l'oublier que c'est moi qui l'a créé.
Mon old cheap Quelqu'un me manque ces derniers temps, c'est qu'il a les doigts agiles, mais je compense en me faisant mes propres plaisirs.
Tout a commencé il y a trois mois, juste avant les fêtes qui font grossir.
Une admiratrice anonyme m'a proposée un scénario.
Quelque chose de spécial qui m'a de suite beaucoup amusée.
Ne serait-ce le moment pour élever le niveau de ce site de me proposer quelques scénarii semblables, si ils me plaisent et que je me sens presque jouir en les lisant, je vous ferais rapport de leur mise en réalité.
Well, voici un avant goût !
 
 
 

 
Chère Anamary, 
Je te suis depuis 2.000 dans la première version de SecretsdeSecretaires.
Je te sais jouisseuse, un peu sado, parfois maso, très jouisseuse de toi-même, je sais aussi que tu aimes te faire peur dans des situations sexuelles compliquées, aussi je vais te proposer quelque chose de très simple mais néanmoins diablement efficace pour te faire planer.
Le self-bondage.
Tu vas jouir dans l'émotion, comme moi ma choutte, tu penseras à moi lorsque tu seras en sueur et que tu hoquèteras de spasmes de jouissances sans savoir si tu arriveras à te libérer. Peut-être que non. C'est ça le challenge, que tu oses le faire sans savoir si tu t'en sortira. Mois je jouis déjà rien qu'à t'imaginer ! 
Ce que je vais te proposer est un de mes ligotages préférés et il m'est toujours très difficile d'arriver jusqu'au bout sans jouir... On verra s'il te fait le même effet. Je vais t'apprendre à distance à avoir des goûts semblables aux miens, tu devrais y trouver ton bonheur. Va savoir si tu y arrives si nous ne pourrions le faire ensemble, la première réussissant à se détacher empéchant l'autre de finir de se détacher, et cela pour une très longue période ! 
Tu dois disposer de quelques cordes et d'un moyen de t'entraver les poignets au moyen d'une serrure ou d'un cadenas (menottes, bracelets, chaînes, ...). 
Tu dois déposer la clef de tes bracelets à environ 5 mètres de ton lit, sur le sol. 
Tu te ligoteras les jambes l'une contre l'autre aussi solidement que possible (chevilles, genoux, cuisses), j'aime bien personnellement ajouter à cela un ligotage des orteils, mais comme c'est une de mes lubies, je te laisse libre de choisir la tienne. 
Tu attacheras ensuite une corde au pied de ton lit et l'autre bout de celle-ci entre tes chevilles. 
Tu ajusteras alors la longueur de cette corde de façon à ce que lorsqu'elle sera tendue et que toi même tu seras tout étirée à plat ventre sur le sol, il te resteras encore entre 50cms et 1 mètre entre ta tête et la clef.  Pour parcourir cette dernière distance, tu devras tirer sur tes chevilles pour déplacer ton lit (vérifie auparavant que c'est possible et qu'il y aura bien la place pour que ton lit puisse se déplacer de cette distance). 
Après tout cela, tu t'attacheras une courte corde sur elle-même (en cercle). Cette corde devra passer autour de ta taille dans ton dos, passer devant entre tes cuisses et remonter vers l'arrière. La longueur de cette corde devra être telle que la boucle passant entre tes cuisses ne remonte pas plus haut que le bas de tes fesses (prends garde à positionner les noeuds dans ton dos). La boucle émergeant sous tes fesses servira à faire passer la chaîne connectant tes menottes ou bracelets et servira à t'empêcher de remonter tes bras vers le haut. 
Quelques détails à rajouter et ce sera presque prêt : Si tu as un bâillon, mets-le. Pour améliorer le ligotage des bras, j'aime bien placer autour de mon buste une ou deux ceintures de cuir (ça pourrait être des cordes aussi). Tu devras ensuite faire passer tes bras dans ces ceintures, ce qui les maintiendra plaquées contre ton dos et cela te donnera un délicieux sentiment d'immobilisation. 
Mais avant de faire ça, tu te banderas les yeux solidement car tu vas devoir retrouver la clef à l'aveugle... 
Lorsque tout sera prêt tu te coucheras à plat-ventre au pied de ton lit, tu passeras tes bras dans les ceintures (il te faudra un peu te contorsionner pour y arriver), tu trouveras à tâton la boucle de corde émergeant d'entre tes cuisses, sous tes fesses, puis tu passeras la chaîne de tes bracelets dedans et... tu refermeras le cadenas. 
Tu seras ainsi ma prisonnière à distance ! Il ne te restera plus qu'à ramper sur le sol jusqu'à la clef... Tu verras, c'est fabuleux ! 
Lorsque je m'amuse comme cela, seule le soir ou devant mon amante, le must c'est de me ligoter la base des seins, je suis sure que ça te rendra ce scénario encore plus intéressant, essaie si tu l'ose ! et dis-moi ensuite sur Messenger ce que ça t'a fait, veinarde ! 
J'attends avec impatience le récit de ton aventure. 
Bises 
Carla/Ibiza
 

 


 


Ma chère Carla
Well, voici le rapport d'exécution de ton scénario qui, tu le verras, m'a procurée quelques frayeurs, fait perdre quelques litres de sueur, et m'a finalement donnée beaucoup de plaisir. Il est long, mais j'ai vécu hier une expérience forte, et te livre les choses comme elles sont venues.

Après avoir pensé toute la journée à ton scénario, je n'ai pu m'empêcher, en fin de journée, de commencer quelques préparatifs, afin que tout soit prêt, plus tard dans la soirée, au moment de commencer. 
J'ai fait quelques essais de me libérer de mes menottes les mains dans le dos, c'était excitant. Je n'ai pu m'empécher de me deshabiller complètement et de le refaire en me regardant dans un grand miroir. Me voir me contorsionner m'a émoustillée et j'ai joui comme une damnée. Well, merci, déjà ! Ne disposant pas de suffisamment d'espace dans ma chambre, j'ai choisi d'effectuer un autre essai dans ma salle de séjour, en ligotant mes chevilles et en liant l'autre extrémité à un canapé deux places. J'étais nue à ce moment là (détail aura son importance), je me suis étendue à plat-ventre sur le sol, en maintenant mes mains dans mon dos, et j'ai pu vérifier d'une part que j'arrivais à me déplacer et d'autre part qu'en fléchissant mes jambes, je parvenais à déplacer le canapé. A part le contact froid du carrelage qui m'a choqué au début, pas de difficulté particulière. J'ai ensuite repéré la corde qu'il faudrait utiliser, et l'endroit ou il faudrait déposer la clé des menottes, de manière à ce qu'il me faille déplacer le canapé de plus d'un mètre une fois la corde tendue. J'ai ensuite cherché une ceinture, et repéré le trou qu'il fallait utiliser afin de pouvoir y passer mes bras à l'intérieur, de manière à ce qu'ils soient plaqués contre mon dos. J'ai ensuite laissé sur le canapé mes différentes cordes, cette ceinture, mes menottes en métal, mon baillon boule, et de quoi me bander les yeux : deux rondelles de coton style "Demak'up" à placer sur mes yeux, et un masque de repos noir, comme j'en utilise parfois dans les avions. 
Tout était prêt, et peux-être ne me croiras-tu pas si je te dis que la simple vue de ces ustensiles semblant attendre la suite me procurait déjà une certaine excitation. Bien plus tard, le moment de commencer arriva. Après avoir tout revisualisé à de nombreuses reprises dans mes pensées, depuis la lecture de ton scénario jusqu'à la situation dans laquelle j'allais me placer, j'ai voulu me vêtir comme les héroines de mes photos de bondage préférées. Ton scénario ne précisait rien à ce sujet, j'ai donc pris cette liberté. Bien que cela ne soit pas vraiment de saison, j'ai passé une guépière noire, des bas noirs à coutures, mes escarpins noirs les plus hauts (12 cm), et enfin des gants noirs longs. Outre le coté esthétique, ces gants qui montent presque jusqu'à mes épaules ont l'avantage de protéger mes poignets des menottes. 
Je suis allée placer la clé des menottes à l'endroit prévu, puis j'ai noué la longue corde à un pied du canapé, après avoir vérifié que rien ne gênerait le  déplacement.  J'ai ensuite ligoté étroitement mes chevilles avec une longue corde, de manière à pouvoir effectuer une velture, puis je l'ai fait passer sous les talons de mes escarpins, les maintenant ainsi à mes pieds. J'ai ensuite ligoté mes genoux en les serrant au dessous puis au dessus à l'aide d'une unique longue corde. Pour finir avec mes jambes, une dernière corde servant plus à accentuer la sensation de pression qu'à m'entraver, à été serrée en haut de mes cuisses,  juste au dessus de mes bas, par dessus les jarretelles. J'ai ensuite noué l'extrémité de la longue corde reliée au canapé à celle ligotant mes chevilles. 
Je me suis ensuite appliquée à trouver la bonne longueur de la corde qui allait être nouée en boucle pour passer autour de ma taille, puis entre mes jambes, de  manière à ce que la boucle dépasse de peu entre mes fesses. Il m'a fallu quatre tentatives, qui de plus ont été laborieuses, pour trouver la bonne longueur, car la corde qui me serrait le haut des cuisses me gênait beaucoup pour passer la boucle entre mes jambes. Mais je n'ai pas voulu la défaire, et j'ai finalement réussi à la placer correctement. 
Puis, j'ai passé la ceinture autour de ma taille. J'ai ensuite serré le baillon boule derrière ma nuque. A ce moment là, il ne restait plus qu'à me bander les yeux et passer les menottes dans mon dos. J'ai longuement regardé les clés, sur le sol au fond de la pièce, et me suis imaginée en train de ramper jusque là-bas. Mes jambes serrées par les cordes, et la boule dans ma bouche, me procuraient déjà une excitation étonnament intense. J'étais déjà toute mouillée, its'nt ! 
J'ai placé le masque sur mes yeux, puis glissé par dessous les rondelles de coton sur mes paupières fermées. En essayant d'ouvrir les yeux j'ai pu vérifier que l'aveuglement était total. J'ai glissé mes bras dans mon dos sous la ceinture, avec quelque difficulté, puis j'ai trouvé les menottes à taton sur le canapé. J'ai ensuite du bout du doigt repéré de quel coté était le trou de serrure de chaque bracelet (ce qui n'est pas évident avec les gants), et verrouillé le premier sur mon poignet gauche, le trou du coté de mes mains. Ensuite, j'ai cherché avec ma main droite l'extrémité de la boucle de corde entre mes fesses, et j'y ai passé le bracelet droit. Quelques secondes de réflexion, puis je l'ai verrouillé sur mon poignet. 
Je ne sais comment l'exprimer, mais rien que ce deuxième clic, alors que j'étais encore assise sur le canapé, m'a fait avancer d'un pas dans l'excitation... 
Cette fois, j'y étais vraiment...
 

J'ai alors réalisé que j'avais oubliée de m'occuper de mes seins. Non pas en les ligotant à la base, comme tu l'avais suggérée, car la guépière m'en aurait empêchée, mais j'avais imaginée dans la journée de placer une corde au dessus, dessous, puis en la croisant, de manière classique. Mais il était trop tard à présent. Pas très grave, puisque j'étais quand même très étroitement ligotée. Il me restait, avant de commencer mon "voyage", à m'allonger à plat ventre au sol, ce qui était loin d'être un jeu d'enfant avec les talons, les jambes liées étroitement, et les mains dans le dos. Je me suis accroupie, et le reste du mouvement a du ressembler plus à une chute qu'à quelquechose de contrôlé. J'ai pu ensuite m'étendre complètement.  
J'ai dans un premier temps pu constater l'efficacité de mes liens. La position dans laquelle je me trouvais m'excitait de plus en plus, mes bras maintenus par la ceinture, la boucle de corde et les menottes étaient vraiment collés à mon dos. Et si je tirais sur mes bras, je sentais la pression de la corde entre mes jambes excitant mon clito... 
Et la première frayeur !!! Quand j'ai commencé à vouloir avancer, j'ai réalisé que mes escarpins n'avaient aucune adhérence sur le carrelage ! Lors de mon essai de la fin de journée, j'étais nue, je pouvais plier mes orteils et pousser sur mes pieds afin d'avancer. Mais là, ces escarpins pointus, dans lesquels mes orteils n'allaient pas jusqu'au point, et à la semelle de cuir lisse, glissaient complètement sur le sol.  Avant d'aviser, une pensée m'a traversée l'esprit, quelquechose comme "tu voulais du bondage, cette fois tu y es, ma grande..."  Et à la peur s'est mêlée une sensation qui ne devait pas être loin de l'orgasme. Pourtant, je n'en étais qu'au début... 
Well !
La corde sous les talons m'enpêchait d'enlever les escarpins, ce qui est fou car je n'avais pas du tout prévu ça, et je l'avais mise là plus par habitude, ou pour imiter certains clichés, que par réelle utilité. J'ai eu envie de dénouer mes chevilles, mais mes mains étaient tellement plaquées à mes fesses que je pouvais à peine toucher les cordes du bout des doigts, même en pliant les jambes à fond. Certainement pas les défaire. Quelques autres tentatives ne m'ont pas vue avancer d'un pouce. J'ai donc changé de stratégie. En roulant sur le coté, j'ai vu que je pouvais m'appuyer sur mon épaule dénudée, plier un peu mes jambes, puis effectuer un sursaut pour placer mon épaule quelques centimètres plus loin. Après quelques minutes (je crois) d'efforts, le constat était le suivant : la progression était plus lente et plus laborieuse que dans mes prévisions, l'effort que je faisais pour chaque sursaut me faisait déjà transpirer abondamment surtout avec les bas, guépière etc, mon souffle s'était accéléré et je salivais encore plus que d'habitude derrière mon baillon et surtout,  je commençais à avoir mal à la hanche. 
Je m'accordais donc un peu de repos à plat ventre. J'en profitais pour réaliser que prise par l'excitation, je n'avais absolument aucune idée de l'heure de début du scénario. Dommage, car j'aurais aimé confronter la durée réelle et celle ressentie. J'ai repris ensuite ma progression, sans problème particulier, si ce n'est ceux cités ci-dessus, qui ont causé plusieurs pauses. Enfin, j'ai senti mes chevilles retenues par la corde tendue. J'étais totalement en nage, et il me semblait que je luttais ainsi depuis au moins une bonne heure. 
Je me suis accordée une dernière pause à plat ventre, puis j'ai plié mes jambes pour tirer à moi le canapé. Et là, deuxième grosse frayeur, car au lieu de le sentir venir à moi, j'ai reculé en glissant sur le sol !!! Après avoir progressé à nouveau sur le coté, deuxième tentative, et même sanction. En fait, je faisais les frais de mes pulsions fétichistes : lors de mes essais, j'étais nue, et mon corps adhérait au carrelages. Mais là, mes bas et ma guépière glissaient sur le sol, et mon poids ne suffisait plus pour hisser le canapé. 
Quelle imprudente ! 
J'ai senti un frisson monter, fait de panique et d'excitation, j'étais là, en sueur sur le carrelage, prisonnière, et j'ai jouie comme je l'avais rarement fait dans mes expériences sexuelles. 

 

Une fois calmée, et mon souffle repris, la solution est venue, comme précédemment, de mes épaules : en me plaçant sur le coté, je pouvais appuyer sur mon épaule dénudée, alors qu'à plat-ventre ce n'était pas le cas. Et ainsi, en forçant progressivement pour plier mes jambes, j'ai senti que j'arrivais à déplacer le canapé. Ce n'était pas parfait, je glissais encore un peu, mais ça marchait. Probablement à cause de l'adhérence de mon épaule sur le carrelage. J'ai effectuée comme ça plusieurs tractions, avant de reprendre ma progresion. Puis j'ai avancée, en rampant sur le coté, jusqu'à ce que la corde soit à nouveau tendue. Je n'avais senti ni la clé, ni le tabouret placé sur le côté, qui devait me servir de repère. Je devais donc à nouveau tirer un peu le canapé. 
Mais une dernière difficulté m'attendait : j'ai senti d'un coup le canapé se bloquer. Je savais qu'aucun objet n'entravait sa progression, j'avais vérifié. J'ai compris alors qu'un de ses pieds devait buter sur un join du carrelage. Mais quelques efforts supplémentaires m'ont permis de débloquer la situation. Enfin, mon épaule à touché le tabouret repère, et quelques centimètres plus loin, j'ai pu mettre la joue sur la clé. J'étais exténuée, mais heureuse, car je redoutais une dernière difficulté surprise dans la recherche de la clé. 
Quelques dizaines de centimètres de mou suppléntaire gagnés dans la corde, et j'ai pu hisser mes fesses, donc mes mains, au niveau de la clé. En me mettant sur le côté, j'ai pu les saisir sans trop tatonner. Mais ultime, mais non des moindres, difficulté : impossible d'accéder à la serrure des menottes. La boucle jouait parfaitement son rôle, en maintenant mes mains vers le bas. Mais surtout, je crois qu'à force de ramper, la ceinture était descendue au maximum sur mon bassin, et appuyait de plus en plus fort sur mes poignets, et les plaquant contre moi. Ce qui me donnait très peu de liberté pour plier mes mains et accéder à la serrure. Cette dernière montée d'adrénaline, ainsi que la pression de la corde entre mes jambes quand je tirais dessus, m'a conduite au septième ciel une deuxième fois... 
Puis j'ai repris mes contorsions, et du batailler pendant une éternité. Mes doigts, et mes poignets me faisaient mal. J'ai du mettre en fait une vingtaine de minutes, je pense, avant de me libérer. Trempée, exténuée, mais rassurée. J'ai glissé le bras libre sous la ceinture, et arraché mon bandeau. Puis débouclé la ceinture, et ramené mon autre bras avant de le libérer de sa paire de menottes pendante. Enfin, j'ai enlevé le baillon qui me faisait mal à la machoire, un filet de salive s'en échappant.  Je suis restée là un moment, à récupérer, les jambes toujours ligotées. J'étais trempée. Même mes bas étaient trempés sur mes jambes. Quelques minutes plus tard, j'ai oté les gants, et fini de me libérer, puis me suis débarassée de mes dessous humides. 
Après une bonne douche méritée, je suis allée me coucher sur mon lit, ou, je pense que tu le comprendras ; la remémoration de cette expérience m'a conduit tout naturellement à me caresser de mes mains libres cette fois, d'où... une derniere montée de plaisir. 
J'écris ce rapport ce soir, je n'en ai pas eu la force hier soir. Je suis par contre pressée de te faire partager cette expérience extraordinaire que tu m'as faite vivre. Ce scénario était certes banal pour toi, je pense que tu te places dans des situations plus complexes. Mais pour moi, et avec les imprévus rencontrés, ce fut une aventure inoubliable. Bien vite que nous le fassions ensemble, un même soir, dans la même pièce, j'en suis déjà de nouveau toute excitée
Merci

Kissssssssssssssss  

Anamary

Par AVS59 - Publié dans : Récits
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Samedi 12 novembre 6 12 /11 /Nov 00:00

Eh oui me revoilà avec un petit récit provenant d'un groupe msn, et publié par le célèbre Quelqu'un, et qui pourrait ressembler à un fantasme pour moi, si toutefois un Pony boy peut exister... On n'en entend pas parler, mais ça me plairait bien de tenter l'expérience. Bonne lecture...

Pony girl...

 

Séance idéale de dressage...

Si une femme soumise désirerait devenir une PonyGirl, voici comment les choses pourraient se dérouler.

 

Après un échange plus ou moins long de messages sur le web puis au téléphone, nous nous donnons RDV dans un restaurant.

 

Lors de cette rencontre, si le courant passe toujours, nous nous rendons en un lieu pour nous ébattre en toute quiétude, un local ou un terrain privé en pleine campagne, pour assouvir nos fantasmes.

 

La transformation s'opère. Dans un premier temps, la parole lui est absolument interdite, et ce, pour la durée du jeu. Elle perd également la faculté de faire quoi que ce soit de ses dix doigts et en cela nous l'aidons en lui entravant, constamment, les mains devant, dans le dos, sur les hanches etc. Puis, entre deux barres parallèles en bois, nous attachons ses mains de part et d'autre de son corps. Nous la déshabillons. A partir de ce moment, c'est un animal, une ponygirl. Nous lui parlons comme à un cheval, un animal de compagnie, en terme familier et décrivons son anatomie avec des mots tels que : croupe, gueule, mamelles, panse, etc...  On peut lui flatter la croupe, le haut des cuisses, palper ses mamelles, la jument peut hennir, mais ne doit pas faire de commentaire ou parler. Une jument qui parle est très, très, sévèrement punie, c'est pratiquement la faute la plus grave du jeu. Une fois nue, en fonction des accessoires, nous allons maintenant harnacher la ponygirl pour la suite de la séance de dressage.

 

Pour lui faciliter les choses et l'habituer rapidement à avoir sans cesse la bouche ouverte, on commence par lui poser son harnais de tête et lui glisser le mors entre les dents. Ainsi le langage lui est interdit, physiquement, et elle commence à s'habituer au port de cette chose pas très naturelle pour un humain. Puis, vient le corset. Comme pour les vrais chevaux avec la selle, on serre le corset autant que possible dans un premier temps, puis, on laisse son corps s'habituer à cette pression.

 

A ce moment, la ponygirl s'est habituée au mors et on lui place un large collier en cuir autour du cou pour qu'elle porte la tête, bien haut et légèrement en arrière, puis des bottes avec de vrais sabots et fers à cheval. Il faut, bien sur, que la jument soit habituée à marcher avec des talons hauts.

 

Ensuite, on lui place un plug dans l'anus, c'est très humiliant pour elle, on le fixe de manière à ce qu'il ne puisse pas glisser dehors, de lui-même, sans quoi, la jument passera le temps de la séance à se concentrer sur ce qu'elle a dans le fondement, plutôt que se concentrer sur les ordres.

 

Le plug anal peut comporter une queue de cheval, mais on peut fixer la queue de cheval à son corset en cuir, plutôt qu'au bout du plug anal. Sauf, bien sur, si la queue est assez longue et qu'on la fait remonter à travers un anneau dans le dos. Cette manière de faire a aussi un coté pratique, car les poils de la queue ont tendance à se coller aux cuisses lors de la séance au contact de la sueur.

 

Sa taille s'est déjà un peu habituée à la pression et on peut donc encore gagner quelques centimètres de tour de taille. Maintenant que le bon tour de taille est atteint et que la jument est bien serrée dans son corset en cuir, on peut passer son harnais, en cuir épais, avec des anneaux en acier, qui serviront à presque tout : attacher les mains, le plug anal et le gode vaginal.

 

En temps que telle la ponygirl est prête, on peut néanmoins encore rajouter certains accessoires, des bracelets de cuir autour de ses chevilles, par-dessus les bottes afin de pouvoir, si nécessaire, entraver la marche (hobble chain). Elle est maintenant prête pour sa séance de dressage. On la caresse ensuite, les seins, particulièrement les tétons, puis on l'excite en branlant délicatement son clitoris afin qu'elle soit bien en chaleur; Si possible, sa cyprine doit légèrement couler sur ses cuisses. Pendant toute l'opération de harnachement et par la suite, les gestes doivent être agréables, mais fermes

 

Si la ponygirl en est pourvue, on place des clochettes à ses percings aux seins, on peut aussi fixer des pinces munies de clochettes. La ponygirl peut être bouchée par un gode de la taille que l'on souhaite. Cela lui apporte du plaisir lors des exercices de marche (On peut utiliser un gode vibrant électrique pour la stimuler à tout moment, particulièrement lors de séances devant des voyeurs).

 

On place des courroies en cuir pour maintenir le tête bien en arrière et éviter que la ponygirl ne puisse tourner sa tête sur le côté. Les courroies partent du haut du harnais de tête et vont jusqu'à l'arrière du harnais en cuir au niveau de la taille. La longueur des lanières peut être plus ou moins ajustée pour exercer la pression désirée.  Une autre courroie en cuir, en forme d'Y, peut être fixée, d'une part, aux extrémités du mors et d'autre part, à l'avant du corset en cuir. La ponygirl ne peut plus tourner sa tête et ne peut plus la soulever, la contrainte est énorme et les mouvements de la tête sont contrariés dans toutes les directions, la tête est quasi immobile. C'est, bien sur, l'effet escompté et recherché.

 

Une lanière de cuir peut entraver les chevilles de la bête, mais en ce cas elle ne peut plus lever les genoux à l'horizontale, ce qui enlève beaucoup de plaisir car ses seins ne bougeront plus aussi fort lors des marches...  A l'arrêt par contre, comme pour les chameaux dans le désert, comme il n'y a pas de piquet, on lui lie les chevilles ensembles, de telle manière à ce que sa marche soit entravée.

 

Placées de chaque côté des yeux, les oeillères empêchent la ponygirl de voir sur les côtés. La ponygirl n'a plus qu'à se consacrer à son exercice. Surtout très utile en cas d'utilisation en équipage. Attelées cote à cote, les ponygirls ne peuvent pas se voir et cela évite qu'elles ne copient les erreurs de leur voisine.

 

On peut également lui placer un bandeau sur les yeux. C'est un accessoire très utile, surtout au début, pour obliger la pony girl à se concentrer, uniquement, sur les ordres transmis, par les rênes, au mors dans sa bouche. Il lui apprend à prendre confiance en son dresseur et à obéir à la pression des rênes et, non pas, à ce que son cerveau lui dicte de faire. Exemple : si vous faites trotter votre ponygirl vers un obstacle, en aveugle, elle obéira à la pression des rênes, sans les œillères, elle aura tendance à ralentir ou se détourner naturellement de l'obstacle. Une bonne pony girl aura confiance en son dresseur et avancera sans broncher vers l'obstacle sachant que son maître ne fera rien pour la blesser.

 

Comme pour les chevaux il existe une multitude de mors possibles, des plus simples aux plus compliqués, des moins pénibles aux plus pénibles. Le mors en caoutchouc ou en cuir est le mors de la débutante, mais aussi le plus agréable à porter. Il ne peut pas blesser la ponygirl et est largement suffisant pour la faire baver et tenir son rôle de guide.

 

Des mors plus sévères en bois ou en acier sont possibles. Certaines ponygirls aiment bien le contact d'un mors plus rigide que le caoutchouc, même si la barre doit être recouverte de plastique souple ou de cuir afin de protéger les dents. La jument peut aussi porter un protège-dents de boxeur et un mors tout acier. Bien sur, les mors sévères peuvent être utilisés pour punir la ponygirl qui a du mal à obéir à la pression des rênes avec un mors simple. Certains mors comprennent des éléments intérieurs pour remplir la bouche de la jument, lui emprisonner la langue ou la plaquer au fond de sa bouche, remplir son palais pour bien caler le mors à la commissure des lèvres et pour l'empécher de mordre. Cette fonction peut être très utile lorsqu'on exige une fellation de la pony girl... Tout est possible avec un peu d'imagination et de travail manuel.

 

Au cours d'un gala, durant toute la journée, la pony girl sera amenée à uriner. Pour qu'elle ne se mouille pas les cuisses, inutilement, on peut fixer un petit tube par des pinces à ses grandes lèvres, ce qui déviera le jet vers l'avant de la bête.

 

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Dimanche 18 septembre 7 18 /09 /Sep 00:00

Voilà la dernière partie du récit... Si quelqu'un trouve un moyen pour m'aider à vivre une soirée dans ce style, n'hésitez pas...

 

Arrivés sur le pallier, Stéphanie demande à tout le monde d'enlever ses chaussures pour éviter de salir l'appartement. Ceci fait, tout le monde entre, mais la transpiration due à la marche laisse des traces sur le carrelage, et Stéphanie saute sur l'occasion pour dire que ça ne va pas. C'est alors ma fête puisque c'est à moi ou plus particulièrement à ma langue que va revenir la tâche de laver les pieds de ces demoiselles. L'une après l'autre, elles s'asseyent donc face à moi, et me tendent leurs pieds que je suis dans l'obligation de lécher avec application, en passant partout (y compris entre les orteils), quelle que soit l'odeur dégagée. Si cela est supportable avec les filles qui portaient des sandales, ça l'est beaucoup moins avec celles qui portaient des bottes, et surtout des baskets, ce qui est notamment le cas d'Aurélie et de Mélanie, qui me tendent à leur tour leurs pieds, un grand sourire aux lèvres.

Ce travail étant terminé, Marion se plaint d'avoir froid aux pieds. Stéphanie lui répondit alors :

-   Ok, vous allez pouvoir remettre vos chaussures, mais il faut d'abord les laver. On n'a qu'à demander à notre esclave de le faire.

-   Ca tombe bien, j'avais justement marché dans une merde de chiens juste avant de rentrer, répond Mélanie.

Après avoir lavé les pieds, me voilà donc obligé de laver les chaussures de toutes les demoiselles. Mais Mélanie bluffait, j'en suis sûr… enfin j'espère. Ma langue commence donc son travail, méticuleusement, et s'occupe de nettoyer les chaussures, le dessus mais aussi la semelle. Je prends les chaussures dans l'ordre où elles me sont données, et je dois avouer que terminer par les baskets de Mélanie ne m'enchante guère, car la crainte qu'elle ait dit la vérité va croissant. Quand enfin j'arrive à cette dernière paire, je me rends malheureusement compte qu'elle n'avait pas bluffé, mais les quelques violents coups de pieds que je reçois dans le cul me font vite oublier mes réticences. Et les baskets de Mélanie y passent comme les autres, pendant que j'essaye de retenir les hauts le cœur provoqués par le goût très gênant de cette substance brunâtre présente sur la semelle.

La soirée se termine enfin, et j'ose demander à récupérer les photos, ou bien à ce qu'elles soient détruites.

-   Tu rêves, répondit Mélanie, mais ne t'inquiètes pas tu les auras, j'ai ton adresse mail. Et de toute façon, tu ne seras pas le seul à les avoir.

-   Comment ça ?

-   Bon je vous rappelle la consigne les filles. Envoyez-moi toutes les photos que vous avez prises, et je ferai un album de photos numériques complet que je vous renverrai à toutes. Il vous suffira alors de le publier sur tous vos blogs et sites persos, afin d'en faire profiter tout le monde. Vous pourrez aussi l'envoyer à toutes vos correspondantes sur le net, en n'oubliant pas de mettre notre esclave en copie pour qu'il puisse voir le nombre de filles qui auront vu ses photos, avec un message du genre : "Voici des photos d'une soirée géniale. Ce mec s'est trop pris la honte, mais pour que ça continue, transférez ce message à toutes vos correspondantes sur le net, en n'oubliant pas de mettre cet esclave (….@….com) en copie afin qu'il voit le nombre de filles qui auront vu ces photos.".

-   Vous n'allez quand même pas faire ça ? (D'autant que c'est ma vraie adresse mail qui a été donnée, et non celle avec laquelle j'échange sur mes fantasmes...)

-   On va se gêner… De toutes façons, tu n'es qu'un esclave et tu n'as donc pas ton mot à dire. De plus, on fera une petite séance vidéo au club la semaine prochaine. Interdite aux moins de 18 ans bien sûr.

-   Comment ça vidéo ?

-   Ben oui. Tu n'as pas vu les caméras dans la chambre, le salon et la salle de bains, et celle que tenait Noémie dans ses mains quand on est allés en ville ? Toute la soirée a été filmée, et il ne nous reste plus qu'à faire le montage.

N'en croyant pas mes oreilles, je faillis fondre en larmes, quand tout le monde éclata de rire.

-   C'était une blague pour la vidéo… Mais pour les photos, on ne va pas se gêner. Bon allez il est temps que tu t'en ailles.

Stéphanie me reconduit alors à la porte, mais je lui fais remarquer que je suis encore nu avec des chaussures à talons.

-   Oui, on sait, répond Mélanie. Tu récupèreras tes fringues demain au club, et si tu es sage, c'est-à-dire si tu arrives nu avec juste tes chaussures, on t'enlèvera les cadenas.

Stéphanie ouvre alors la porte, me pousse sur le pallier et referme la porte à clefs derrière moi. Ne comptant pas me laisser faire, je sonne alors longuement, mais on ne m'ouvre pas, et au bout de quelques secondes, la sonnerie a dû être coupée, car elle ne retentit plus. Je me rends alors compte que je n'ai pas le choix, à moins de tambouriner à la porte au risque d'ameuter tout l'immeuble. Comme je ne suis pas fier de ma situation, je me résigne donc à rentrer chez moi, nu et en talons. Le trajet est d'autant plus long que j'ai mal aux pieds et que j'essaye de me cacher au maximum des passants. Quand enfin j'arrive chez moi, je suis bien obligé de me coucher avec ces chaussures qui me traumatisent les pieds.

Le lendemain, après une nuit passée essentiellement à gamberger sur cette soirée, je me conforme donc aux consignes et arrive nu au club, avec ces chaussures que je ne peux toujours pas enlever. Ma part du marché étant respectée, on me rend alors mes vêtements. Une fois habillé, je suis sommé de pisser dans mon pantalon si je veux qu'on me détache mes chaussures. J'ai beau souligner que c'était pour la soirée uniquement que j'avais promis mes services, je ne peux faire autrement que d'obéir, si je veux enfin être libéré de cet instrument de torture.

La fin du week-end et les jours suivants ne sont que doutes et craintes, et heures passées devant mon ordinateur pour voir si elles mettront leurs consignes en pratique ou pas… En effet, si Mélanie envoie les photos à toutes les filles de la soirée, et à ses autres correspondantes, ça fera déjà une vingtaine de filles qui les auront, et si celles-ci respectent la consigne et l'envoient à une dizaine de correspondantes en moyenne, ça fera deux cents, puis deux mille, et ainsi de suite… je sais bien comment fonctionnent les chaînes de messages du type "Tw : …". Pourvu donc qu'elles ne le fassent pas.

Par AVS59 - Publié dans : Récits
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Samedi 17 septembre 6 17 /09 /Sep 00:00

Avant-dernière partie du récit...

 

L'ascenseur n'étant bien entendu pas assez grand, cette ballade commence par l'expérience douloureuse que constitue la descente à pieds de quinze étages en talons hauts. Mais ce n'est rien à côté de ce qui m'attend, puisqu'à peine arrivé dans la rue, j'observe les regards des passants qui me croisent ainsi accoutré, des porte-jarretelles à la robe, dont la longueur est telle qu'on aperçoit presque le bas de mes fesses. Après un bon quart d'heure de marche douloureuse (pour les pieds), à subir les regards moqueurs et les commentaires désobligeants des passants, on arrive enfin au centre ville, qui malheureusement est encore bien vivant (on est samedi soir, c'est normal). On s'arrête alors au milieu de la rue, et Marion me dit :

-   Pisse dans ta jupe.

Je la regarde d'un air interloqué, et elle me répète alors ce qu'elle vient de dire, sur un ton beaucoup plus directif encore. Réalisant alors que j'ai bien compris et que je n'ai pas le choix, je me lance honteusement dans cette tâche, alors que les regards de tous les passants amusés se tournent vers moi, attirés par mon accoutrement et par ce groupe de filles qui m'entourent avec un rire moqueur. Je me retrouve alors avec une énorme tache sur la jupe, et la très désagréable sensation de porter des sous-vêtements mouillés. Heureusement la ballade se termine, et on entre alors dans un bar.

L'ambiance y est plutôt sympa, la musique aussi, et visiblement une table avait été réservée pour nous, car à part cette grande table, il n'y a plus une seule place disponible. Bien entendu, mon arrivée est saluée par des rires et des sifflements, mais sinon ça se passe plutôt calmement. Jusqu'au moment où Marion m'ordonne, suffisamment fort pour que tout le monde entende dans le bar :

-   Debout, sur la table !!!

Je m'exécute péniblement alors que tous les regards se tournent vers moi.

-   Regarde, ils ont tous envie de te voir à poil. N'est-ce pas ?

Un oui massif se lève dans le bar, et immédiatement Marion déchire ma robe, et je me retrouve en sous-vêtements sexy.

-   Elle n'est pas belle comme ça ? Vous en voulez plus ?

Au oui général qui monte de la salle, Marion s'empresse de détacher violemment mon bustier, pendant qu'Aurélie déchire mes bas et que Mélanie s'occupe de mon string. Me voilà donc nu (ou presque puisque j'ai encore les sandales), dans un bar, debout sur la table, au milieu d'une bonne centaine de personnes (à vue d'œil), dont la plupart utilisent un appareil photos ou un téléphone portable pour immortaliser le moment. On me fait alors mettre à quatre pattes sur la table, avant de me remettre le collier que j'avais auparavant. Stéphanie sort alors la laisse de son sac, la fixe à l'anneau du collier, me fait descendre de la table sous les rires des clients, et attache l'autre bout de la laisse au pied de sa chaise. La soirée continue donc ainsi, moi, nu à quatre pattes aux pieds de la table, certains clients me caressant le dos ou la tête en passant.

Tellement pris par la honte de la situation, je ne réfléchis pas trop à ce qui va se passer après. C'est au moment où les filles payent leurs consommations et se préparent que je commence à me demander comment on va rentrer. Visiblement, les filles ne se posent pas la question puisque Mélanie attrape l'extrémité de la laisse et me traîne vers la porte d'entrée. Pris de panique, j'ose signaler que je suis nu. Mal m'en a pris puisque tout ce que cela m'a apporté, c'est un coup de pied, provenant d'une chaussure très pointue, dans le derrière.

Je suis donc malgré moi le groupe de filles qui s'engagent à l'extérieur, et je me retrouve alors nu, à quatre pattes, tenu en laisse, avec des chaussures à talons aux pieds, au beau milieu de la rue où les passants se retournent en rigolant. Je suis alors poussé par mes maîtresses à avoir un comportement semblable à un vrai chien, et donc en particulier à faire mes besoins dans la rue. D'un côté, ça tombe bien puisque la pâtée pour chiens a du mal à passer, mais en même temps, faire mes besoins devant tout le monde en levant la patte me gêne terriblement. Je m'exécute toutefois, n'ayant de toutes façons pas d'autre choix. Après une vingtaine de minutes de marche, on arrive enfin de nouveau à l'appartement. Je ne sens plus ni mes genoux, ni mes pieds.

Arrivés sur le pallier...

A bientôt pour la fin de l'histoire...

Par AVS59 - Publié dans : Récits
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