Samedi 12 novembre
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Eh oui me revoilà avec un petit récit provenant d'un groupe msn, et publié par le célèbre Quelqu'un, et qui pourrait ressembler à un fantasme pour moi, si toutefois un Pony boy peut exister... On n'en entend pas parler, mais ça me plairait bien de tenter l'expérience. Bonne lecture...
Pony girl...
Séance idéale de dressage...
Si une femme soumise désirerait devenir une PonyGirl, voici comment les choses pourraient se dérouler.
Après un échange plus ou moins long de messages sur le web puis au téléphone, nous nous donnons RDV dans un restaurant.
Lors de cette rencontre, si le courant passe toujours, nous nous rendons en un lieu pour nous ébattre en toute quiétude, un local ou un terrain privé en pleine campagne, pour assouvir nos fantasmes.
La transformation s'opère. Dans un premier temps, la parole lui est absolument interdite, et ce, pour la durée du jeu. Elle perd également la faculté de faire quoi que ce soit de ses dix doigts et en cela nous l'aidons en lui entravant, constamment, les mains devant, dans le dos, sur les hanches etc. Puis, entre deux barres parallèles en bois, nous attachons ses mains de part et d'autre de son corps. Nous la déshabillons. A partir de ce moment, c'est un animal, une ponygirl. Nous lui parlons comme à un cheval, un animal de compagnie, en terme familier et décrivons son anatomie avec des mots tels que : croupe, gueule, mamelles, panse, etc... On peut lui flatter la croupe, le haut des cuisses, palper ses mamelles, la jument peut hennir, mais ne doit pas faire de commentaire ou parler. Une jument qui parle est très, très, sévèrement punie, c'est pratiquement la faute la plus grave du jeu. Une fois nue, en fonction des accessoires, nous allons maintenant harnacher la ponygirl pour la suite de la séance de dressage.
Pour lui faciliter les choses et l'habituer rapidement à avoir sans cesse la bouche ouverte, on commence par lui poser son harnais de tête et lui glisser le mors entre les dents. Ainsi le langage lui est interdit, physiquement, et elle commence à s'habituer au port de cette chose pas très naturelle pour un humain. Puis, vient le corset. Comme pour les vrais chevaux avec la selle, on serre le corset autant que possible dans un premier temps, puis, on laisse son corps s'habituer à cette pression.
A ce moment, la ponygirl s'est habituée au mors et on lui place un large collier en cuir autour du cou pour qu'elle porte la tête, bien haut et légèrement en arrière, puis des bottes avec de vrais sabots et fers à cheval. Il faut, bien sur, que la jument soit habituée à marcher avec des talons hauts.
Ensuite, on lui place un plug dans l'anus, c'est très humiliant pour elle, on le fixe de manière à ce qu'il ne puisse pas glisser dehors, de lui-même, sans quoi, la jument passera le temps de la séance à se concentrer sur ce qu'elle a dans le fondement, plutôt que se concentrer sur les ordres.
Le plug anal peut comporter une queue de cheval, mais on peut fixer la queue de cheval à son corset en cuir, plutôt qu'au bout du plug anal. Sauf, bien sur, si la queue est assez longue et qu'on la fait remonter à travers un anneau dans le dos. Cette manière de faire a aussi un coté pratique, car les poils de la queue ont tendance à se coller aux cuisses lors de la séance au contact de la sueur.
Sa taille s'est déjà un peu habituée à la pression et on peut donc encore gagner quelques centimètres de tour de taille. Maintenant que le bon tour de taille est atteint et que la jument est bien serrée dans son corset en cuir, on peut passer son harnais, en cuir épais, avec des anneaux en acier, qui serviront à presque tout : attacher les mains, le plug anal et le gode vaginal.
En temps que telle la ponygirl est prête, on peut néanmoins encore rajouter certains accessoires, des bracelets de cuir autour de ses chevilles, par-dessus les bottes afin de pouvoir, si nécessaire, entraver la marche (hobble chain). Elle est maintenant prête pour sa séance de dressage. On la caresse ensuite, les seins, particulièrement les tétons, puis on l'excite en branlant délicatement son clitoris afin qu'elle soit bien en chaleur; Si possible, sa cyprine doit légèrement couler sur ses cuisses. Pendant toute l'opération de harnachement et par la suite, les gestes doivent être agréables, mais fermes
Si la ponygirl en est pourvue, on place des clochettes à ses percings aux seins, on peut aussi fixer des pinces munies de clochettes. La ponygirl peut être bouchée par un gode de la taille que l'on souhaite. Cela lui apporte du plaisir lors des exercices de marche (On peut utiliser un gode vibrant électrique pour la stimuler à tout moment, particulièrement lors de séances devant des voyeurs).
On place des courroies en cuir pour maintenir le tête bien en arrière et éviter que la ponygirl ne puisse tourner sa tête sur le côté. Les courroies partent du haut du harnais de tête et vont jusqu'à l'arrière du harnais en cuir au niveau de la taille. La longueur des lanières peut être plus ou moins ajustée pour exercer la pression désirée. Une autre courroie en cuir, en forme d'Y, peut être fixée, d'une part, aux extrémités du mors et d'autre part, à l'avant du corset en cuir. La ponygirl ne peut plus tourner sa tête et ne peut plus la soulever, la contrainte est énorme et les mouvements de la tête sont contrariés dans toutes les directions, la tête est quasi immobile. C'est, bien sur, l'effet escompté et recherché.
Une lanière de cuir peut entraver les chevilles de la bête, mais en ce cas elle ne peut plus lever les genoux à l'horizontale, ce qui enlève beaucoup de plaisir car ses seins ne bougeront plus aussi fort lors des marches... A l'arrêt par contre, comme pour les chameaux dans le désert, comme il n'y a pas de piquet, on lui lie les chevilles ensembles, de telle manière à ce que sa marche soit entravée.
Placées de chaque côté des yeux, les oeillères empêchent la ponygirl de voir sur les côtés. La ponygirl n'a plus qu'à se consacrer à son exercice. Surtout très utile en cas d'utilisation en équipage. Attelées cote à cote, les ponygirls ne peuvent pas se voir et cela évite qu'elles ne copient les erreurs de leur voisine.
On peut également lui placer un bandeau sur les yeux. C'est un accessoire très utile, surtout au début, pour obliger la pony girl à se concentrer, uniquement, sur les ordres transmis, par les rênes, au mors dans sa bouche. Il lui apprend à prendre confiance en son dresseur et à obéir à la pression des rênes et, non pas, à ce que son cerveau lui dicte de faire. Exemple : si vous faites trotter votre ponygirl vers un obstacle, en aveugle, elle obéira à la pression des rênes, sans les œillères, elle aura tendance à ralentir ou se détourner naturellement de l'obstacle. Une bonne pony girl aura confiance en son dresseur et avancera sans broncher vers l'obstacle sachant que son maître ne fera rien pour la blesser.
Comme pour les chevaux il existe une multitude de mors possibles, des plus simples aux plus compliqués, des moins pénibles aux plus pénibles. Le mors en caoutchouc ou en cuir est le mors de la débutante, mais aussi le plus agréable à porter. Il ne peut pas blesser la ponygirl et est largement suffisant pour la faire baver et tenir son rôle de guide.
Des mors plus sévères en bois ou en acier sont possibles. Certaines ponygirls aiment bien le contact d'un mors plus rigide que le caoutchouc, même si la barre doit être recouverte de plastique souple ou de cuir afin de protéger les dents. La jument peut aussi porter un protège-dents de boxeur et un mors tout acier. Bien sur, les mors sévères peuvent être utilisés pour punir la ponygirl qui a du mal à obéir à la pression des rênes avec un mors simple. Certains mors comprennent des éléments intérieurs pour remplir la bouche de la jument, lui emprisonner la langue ou la plaquer au fond de sa bouche, remplir son palais pour bien caler le mors à la commissure des lèvres et pour l'empécher de mordre. Cette fonction peut être très utile lorsqu'on exige une fellation de la pony girl... Tout est possible avec un peu d'imagination et de travail manuel.
Au cours d'un gala, durant toute la journée, la pony girl sera amenée à uriner. Pour qu'elle ne se mouille pas les cuisses, inutilement, on peut fixer un petit tube par des pinces à ses grandes lèvres, ce qui déviera le jet vers l'avant de la bête.
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Par AVS59
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Publié dans : Récits
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