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Bonjour à toutes et à tous… Un autre petit scénario qui m’excite beaucoup et que j’aimerais bien mettre en pratique, même s’il y a des jours où je me dis que je n’oserais jamais… Donc si il y a une (ou des) amatrice pour m’aider à vivre cette expérience, n’hésitez pas à me contacter….
Une demoiselle rencontrée sur Internet, un défi idiot que j’ai accepté de relever, un échec, et me voilà obligé de la laisser faire de moi ce qu’elle veut pendant 2 heures, ici dans sa chambre de la résidence étudiante où elle vit. Rapidement, elle m’enlève mon tee-shirt et m’attache les mains dans le dos avec une paire de menottes. On frappe à la porte et deux de ses copines viennent la rejoindre. La situation est quelque peu gênante, mais cela ne fait que commencer.
Les filles s’empressent en effet d’enlever le reste de mes vêtements, me bandent efficacement les yeux avec un bandeau, et me baillonnent avec une de mes chaussettes.
Puis elles me guident alors en me poussant à avancer. Une porte s’ouvre, et je me demande où on m’emmène, car à part la salle de bains, l’appartement ne comprend pas d’autres pièces. Après quelques pas, je comprends vite que ce n’est pas la salle de bains (à moins qu’elle soit immense), et que je suis dans le couloir de la résidence. J’essaye alors de me débattre et de ne plus avancer, mais dans le noir, à un contre trois, et avec mes bras dans le dos pour me faire souffrir dès que je me débats un peu trop, la partie est inégale, et je n’ai d’autre choix que d’avancer, lentement mais sûrement.
Quand enfin on s’arrête, je n’attends que quelques secondes avant d’entendre une porte d’ascenseur. Ma première pensée est d’imaginer qui peut bien en sortir, mais l’absence de bruit et le fait qu’on me fasse avancer à nouveau me laisse penser que l’ascenseur était vide. Mais ce qui se prépare est peut-être encore pire, puisque visiblement on veut m’emmener dans une autre chambre ou bien même dehors. Mais alors que je suis maintenant dans l’ascenseur, la porte ne se referme pas. J’imagine qu’une des filles maintient donc la porte ouverte. Pendant ce temps, une seconde fille me sert fortement les bras l’un contre l’autre dans mon dos, à tel point qu’elle me fait mal, et je sens une menotte s’ouvrir. J’aimerais en profiter pour m’échapper, mais mes bras me font tellement mal que je n’ai pas la force de les écarter pour me débattre. Une main féminine se saisit alors de ma main qui n’est plus menottée, qui touche au passage une paroi métallique, qui doit être une des parois de l’ascenseur, pour lui refermer la menotte après l’avoir déplacée de quelques centimètres. On me relâche alors, mais en essayant de me mettre dans une posture un peu plus agréable, je me rends compte que je suis maintenant attaché à une rampe située dans l’ascenseur (une main de chaque côté).
J’entends alors les filles me dire « A tout à l’heure » dans un fou rire, puis la porte de l’ascenseur se refermer et l’ascenseur monter. Est-ce que ce sont elles qui se sont amusées, est-ce que c’est quelqu’un d’autre qui l’appelé et qui va monter ? Je n’en sais rien, mais la honte est à son comble au moment où les portes s’ouvrent à nouveau. Quand elles se referment et que l’ascenseur reste sur place, je me rends compte que personne n’est monté, et que ce sont les filles qui l’avaient envoyé plus haut. Mais de toute façon le problème n’est que repoussé, car j’ignore pour combien de temps je suis là, mais j’imagine bien qu’on en va pas me libérer dans 30 secondes.
Une minute plus tard, l’ascenseur redescend, mais plus longtemps que pour la montée précédente, et ma honte monte encore d’un cran, surtout quand j’entends plusieurs voix, féminines et masculines, alors que l’ascenseur ralentit. Quand les portes s’ouvrent, les rires et remarques désobligeantes n’arrangent pas les choses, et je suis d’autant plus frustré que je ne peux pas voir les personnes qui sont en train de me voir nu. L’ascenseur remonte alors, tandis que les discussions et remarques se poursuivent, jusqu’à un nouvel arrêt où il se vide.
Pendant près de 2 heures s’enchaînent alors montées et descentes, avec la même honte et la même angoisse à chaque fois, allers et retours à vide ou en charge, avec des filles et des mecs qui ne lésinent pas sur les remarques et moqueries, et n’hésitent pas à prendre des photos ou parfois même me toucher. Au bout d’une énième montée, j’entends des voix connues me demander si je me suis bien amusé. Je comprends alors que c’est terminé, et en effet les filles m’enlèvent mon bandeau et mon baillon, puis pendant que l’une me tient à nouveau fermement les bras, une autre m’enlève les menottes, pour me les refermer aussitôt la rampe évitée.
En tirant mes bras tendus vers le haut, les filles me forcent à me pencher en avant, et je sens ce que je devine vite être un tampon pénétrer profondément dans mon anus. Avant de m’abandonner là, la fille que j’avais rencontrée sur Internet me dit :
« Tes fringues sont dans ta voiture, les clés de ta voiture et des menottes sont dans ma boîte aux lettres, et les clés de ma boîte aux lettres sont attachées à la ficelle qui dépasse de ton cul. Bonne soirée. »
Avant que j’ai pu dire ouf, les portes de l’ascenseur se referment et il monte à nouveau. Heureusement, encore une fois personne ne monte, et j’appuie tant bien que mal sur le bouton du rez-de-chaussée. Je profite alors de la descente pour essayer, avec beaucoup de difficultés dues aux menottes, de retirer le tampon de mon anus en tirant sur la clé. Après une sortie douloureuse, j’arrive enfin au rez-de-chaussée, et j’ai la mauvaise surprise de croiser un groupe d’étudiant(e)s qui, avant de monter dans l’ascenseur, en profite pour se moquer encore une fois de moi, nu, les mains attachées dans le dos, sortant de l’ascenseur avec un tampon bruni à la main. J’essaye de ne pas m’attarder sur les téléphones qui me prennent en photo, et rejoins les boîtes à lettres.
Malheureusement, j’ignore le nom de la demoiselle chez qui je m’étais rendu (elle m’attendais devant la résidence à mon arrivée, et son nom ne figurait pas sur sa sonnette), et je suis donc obligé d’essayer la clé dans toutes les boîtes jusqu’à trouver la bonne. De dos, avec les mains liées, ce n’est pas évident, et ce n’est qu’au bout d’une trentaine de serrures que j’ai enfin trouvé la bonne, après avoir encore croisé quelques groupes d’étudiant(e)s hilares. J’attrape tant bien que mal les clés qui se trouvent dans la boîte, et me détache rapidement mes bras endoloris. Je laisse tout sur place et pars nu sur le parking pour rejoindre ma voiture dans laquelle je retrouve mes vêtements.
Mesdemoiselles, si vous voulez m’aider, contactez-moi…
1. The end
2. Du blog à l'humiliation (6 chapitres) : ch.1, ch.2, ch.3, ch.4, ch.5, ch.6 (Quelle soirée!!!)
3. Un jeu de cartes, un pari (3 chapitres) : ch.1, ch.2, ch.3 (Attaché et humilié sur mon lit)
4. Une journée à la plage (En mini-jupe et bikini-string) et sa conséquence
5. La sieste (Découpage de vêtements), ses illustrations vidéos (1 et 2) et 2 compléments (1 et 2)
6. Nu sur le pallier (Trahi et bluffé), et son illustration vidéo
7. L'ascenseur (Quelle humiliation)
8. Humiliations en boîte (I et II)
9. Une autre humiliation en boîte
10. Soirée en public et Soirée en boîte (Déshabillé
par des filles)
11. Travesti dans la rue de mon quartier
12. Dans la
cage d'escaliers (Nu)
13. The girl next door (Scène tirée du film, nu dans la rue)
14. Kidnapping (Relâché nu)
15. Les vestiaires (A la douche au milieu des filles)
16. Déshabillé (Dans un lieu public)
17. Humilié devant tous les étudiants (ligotté nu aux casiers...)
18. Mecs habillés en filles (En public)
19. Une chtite vengeance bien humiliante (Nu en ville)
20. Aux toilettes... (Vol de pantalon)
21. La sieste II (Maquillage,...)
22. Le piège : le site de rencontres
23. Attaché nu dans la nature
24. Essayage (De tous
types de vêtements)
25. Vol de vêtements
26. Vol de vêtements 2
27. Papier toilette (Momifié, sans autres vêtements... Gare à la pluie)
28. A la laverie
29. Emballé et Duck taped (Attaché en public avec du
ruban adhésif ou du papier cellophane)
30. Illustration d'une visite à un salon Erotica (Volontaire imposé)
31. Soirée en public (exhibé devant tout le monde)
32. A disposition (Attaché à un banc)
33. Cul nu dans la rue (Vol de vêtements)
34. Enterré nu à la plage
35. Pantsing : 2 nouvelles
vidéos (Pantalon baissé en public)
36. Encore des vidéos de pantsing
37. Pantsing toujours
38. La photo... (Strip poker et diffusion sur le net)
39. La douche (Surpris par une amie)
40. Au ski (En jupe)
41. Pipi culotte
42. Un pari perdu, une vidéo (Nu à la plage)
43. La douche au sport (Vol de vêtements)
44. Spitting (Crachats dans la bouche)