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Vendredi 23 juin 5 23 /06 /Juin 16:08

Je sais, ça fait un moment que je n'étais pas là, mais il faut avouer que je n'ai pas énormément de temps, et surtout que je n'ai pas de nouveaux fantasmes à vous faire partager tous les jours. En voici en tous cas un, et si vous avez envie de m'aider à le réaliser (avec Mel et Aurélie ou non, cela peut être quelqu'un d'autre), n'hésitez pas à me contacter...

A bientôt j'espère...

Ca fait déjà un moment que je demande à Mel de jouer avec moi sur msn et qu’elle me promet qu’on le fera une autre fois… Ce jour-là, pour la provoquer un peu et lui donner envie de jouer, je lui lance un défi. Le lendemain, on doit en effet se rendre à la plage avec une bande de copains, et je lui propose donc que le gagnant choisisse le maillot de bains et la tenue du perdant pour y aller. Comme je le pensais, elle accepte alors de suite et choisit le démineur, parce qu’elle n’aime pas les autres jeux. Je suis alors très confiant, car je ne suis plutôt pas mauvais à ce genre de jeux où la logique et la déduction ont une part importante. On décide de jouer en 5 parties gagnantes. Mais à ma grande surprise, Mel se débrouille pas mal du tout non plus, la partie est très serrée, et c’est elle qui s’impose 5 parties à 4. Elle s’empresse alors d’éteindre sa cam, un grand sourire vicieux aux lèvres, et de prendre congé en me donnant rendez-vous le lendemain matin vers 9h30 chez moi, soit une demi-heure avant l’heure de départ prévue.

La nuit passe alors tranquillement, alors que je me demande lequel de mes maillots elle va bien pouvoir choisir. Le lendemain, je suis prêt quelques minutes en avance, et j’en profite donc pour étaler sur mon lit mes maillots de bains, ainsi qu’une partie de mes vêtements, afin de lui faciliter le choix. Pile à l’heure, elle arrive, accompagnée d’Aurélie. J’ouvre la porte et je suis surpris que Mel porte un sac à dos. Mais je me dis que c’est son sac pour la plage et qu’elle a préféré ne pas le laisser traîner dans la voiture. La vue de mes maillots étalés sur mon lit fait apparaître chez les filles un sourire malicieux. Mel dit alors :

« Je vois que tu as tout préparé, c’est bien, mais ce n’était pas nécessaire, on a apporté tout ce dont tu as besoin ».

Elle me tend alors le sac à dos, que je m’empresse d’ouvrir. Je ne comprends pas trop quand je vois sur le haut du sac un haut de bikini :

« Tu as dû te tromper de sac, ou bien tu as oublié ton maillot dans celui-ci ? »

Aurélie me répond de suite :

« Non il n’y a pas d’erreur, tu as demandé à Mel de choisir ton maillot et tes fringues pour aujourd’hui, alors les voilà »

A la fois surpris et dépité, je leur réponds :

« Vous n’allez quand même pas me faire porter un bikini ? »

Elles confirment alors que c’est bien ce qu’elles veulent, et me disent que de toutes façons tous les copains qui viennent avec nous sont au courant et vont bientôt arriver, et que je n’ai donc pas le choix si je suis honnête et que je respecte mes engagements. Si je ne respecte pas ma parole, non seulement je n’irai pas à la plage avec eux, mais en plus je risque de perdre plusieurs amis.

Je me résigne alors à m’enfermer dans ma chambre pour enfiler le maillot et le reste des fringues, en me disant que le ridicule ne tue pas. Je m’efforce tout d’abord de mettre le haut de bikini, en y insérant les faux seins qui se trouvent à côté de lui dans le sac, puis je commence à enfiler le bas quand je me rends compte que ce n’est pas un simple bikini, mais bel et bien un bikini-string. Je finis alors de l’enfiler, et je sors en colère dans ma chambre pour engueuler les filles et leur dire qu’il est hors de question que j’aille sur la plage dans cette tenue. Malheureusement, à peine sorti, je suis assailli par 2 flashes d’appareils photos, un de face et un derrière moi. Le moment de surprise passé, je me reprends alors et continue de dire ce que j’avais à dire. Mais la réponse de Mel ne se fait pas attendre :

« J’ai allumé ton ordinateur, et j’ai préparé un mail. Si tu ne finis pas de t’habiller et si tu ne viens pas, j’y insère la photo et je l’envoie à tous mes contacts, en leur demandant de faire suivre. Et imagine si je l’envoie à 20 personnes, et qu’ensuite, chacune d’elle fait de même,… Au bout de 3 mails, il y aura déjà 8000 personnes qui t’auront vu ainsi. Et je te laisse imaginer le nombre de sites sur lequel ta photo va vite apparaître. »

Complètement dépité, je réalise vite qu’il vaut sans doute mieux qu’une centaine de personnes me voient en bikini-string sur la plage, que plusieurs centaines de milliers grâce au Net. Je retourne donc dans ma chambre pour finir de m’habiller, et je sors du sac un petit haut blanc en laine, fait de très grandes mailles, qui font qu’il ne cache absolument rien. Me disant que pour cela, ça aurait pu être pire, et qu’elles avaient donc peut-être été plus sympas sur le reste des fringues, après le coup du maillot. Mais je me rends vite compte que je me suis trompé quand je sors du sac une mini-jupe, vraiment très courte, en toile blanche légère. Je l’enfile à contre-cœur, et cela confirme qu’elle arrive tout juste en-dessous du bas de mes fesses.

Peu fier, je sors alors rejoindre les filles. Aurélie dit alors à Mel :

«  Tu vois, je t’avais bien dit qu’elle serait assez transparente et qu’on verrait tout. »

Ni une, ni deux, je comprends tout de suite ce qu’elle veut dire, et me regarde dans le miroir de la salle de bains, dans lequel ma crainte se confirme, puisque le tissu de la jupe laisse apparaître absolument tout ce que je porte en-dessous, malgré la couleur bleu ciel du string. Je m’apprête de nouveau à refuser, quand Mel me montre son appareil photos, pour me rappeler ce qui se passerait dans un tel cas. Je me tais donc, et c’est Aurélie qui prend la parole, en me disant que j’ai oublié quelque chose. J’ai beau réfléchir, je ne vois pas. Elle me signale alors que je suis pieds nus, et je sors alors mes sandales. Aurélie reprend alors :

« Tu chausse bien du 43 c’est ça ? »

Je confirme alors, et Mel m’indique que par conséquent, mes chaussures sont aussi dans le sac. Etant donnée ma pointure, je ne me fais malgré pas trop d’inquiétudes sur ce point. Mais je déchante vite, en sortant du sac une paire de sandales à talons hauts (à vue d’œil, je dirais au moins 8 cm), et à longues lanières prévues pour remonter le long de la cheville et du mollet. Surpris, je retourne vite les chaussures, et je vérifie malheureusement qu’il s’agit bien d’une pointure 43. Ecœuré mais n’ayant pas trop le choix, je m’assieds sur le lit, et m’affaire à les enfiler quand on sonne à la porte. Mel me dit alors de finir de me préparer pendant qu’elle va ouvrir, ce sont sans doute les autres qui arrivent. J’ai juste le temps de finir de nouer les chaussures et de me relever difficilement avant que la porte de l’appartement s’ouvre, et laisse place aux 4 copains et 3 copines qui doivent nous accompagner. Ils éclatent de rire en me voyant, puis se mettent à me siffler et à me faire la bise. Mel propose alors de partir, maintenant que je suis prêt et que tout le monde est là. Je demande une dernière fois, penaud :

« Vous n’êtes pas sérieux, vous n’allez quand même pas me faire sortir comme ça ? »

Les regards et rires qui s’ensuivent me confirment malheureusement que si. Quand je m’apprête alors à prendre mon sac à dos avec ma serviette et ma crème solaire, Mel me fait comprendre que ce n’est pas la peine, car tout est disponible dans le sac qu’elle a ramené et qui contenait les vêtements. Je vais donc le chercher. Tout le monde sort, et, n’ayant pas trop le choix, je les suis. Heureusement, les voitures sont garées juste en bas de l’immeuble, et je n’ai croisé aucun voisin dans les couloirs. Après une petite heure de route, la mer est en vue. Malheureusement, il fait très beau, et il y a donc foule en ce week-end. Les places de parking sont rares, et nous sommes obligés de nous garer à l’écart, à au moins 2 kilomètres de la plage. Le stress monte alors d’un coup, car non seulement je vais m’exposer à la vue de tous, mais en plus, il va falloir que je marche pendant plus de 2 kilomètres avec ces chaussures qui me font déjà mal aux pieds rien qu’en étant assis.

A peine sortis de la voiture, les premiers regards surpris et hilares se tournent sur moi, et les premiers appareils photos immortalisent ce jour. Nous voilà partis vers la plage, et j’essaye tant bien que mal de tenir debout, tout en évitant de faire de trop grands mouvements pour ne pas trop faire voler la jupe. Au bout de quelques minutes, je me rends compte qu’Aurélie distribue un tract à chaque personne prenant des photos de moi. Je lui demande alors ce que c’est, et elle m’en tend un sur lequel je peux lire :

« N’oubliez pas de lui transférer les photos que vous prenez de lui à esclave59000@hotmail.com, et de le mettre en copie quand vous les envoyez par mail à vos contacts, et n’hésitez pas à les afficher sur vos blogs et sites personnels, en lui envoyant les adresses. »

Je me sens alors tellement mal que je suis incapable de réagir. Le chemin se continue ainsi jusqu’à notre arrivée sur la plage, où nous nous installons dans un endroit très fréquenté. Tout le monde se met alors en maillot, et on m’incite à faire de même. Tellement soulagé de pouvoir quitté mes chaussures, je m’exécute rapidement. Puis vient l’heure de la baignade, un des moments les moins gênants, car je suis dans l’eau et on ne voit donc pas mon string, et peu mon haut de bikini.

Après quelques minutes, nous sommes de retour sur la plage, et chacun se fait tartiner de crème solaire. Je m’allonge sur la serviette rose qui m’a été donnée par les filles, qui se proposent pour m’étaler la crème qu’elles sortent de mon sac. J’accepte volontiers, plutôt excité par cette idée. Le moment est agréable, mais je suis surpris par leur éclat de rire dès qu’elles ont fini. N’arrivant pas à comprendre pourquoi, je laisse tomber et profite du soleil. Mais je ne sais pas trop comment me mettre, à cause de la présence des nombreuses personnes qui sortent encore leur appareil photos et à qui Aurélie distribue encore et toujours ses tracts. En effet, me mettre sur le ventre a le mérite de masquer mon visage, mais tout le monde peut voir mes fesses et le fait que je porte un string, alors que me mettre sur le dos cache le string, mais mon visage peut apparaître sur les photos avec mon bikini. Je change donc régulièrement, en me faisant le plus discret possible.

Vient alors l’heure du retour. Je me rhabille donc, et nous repartons pour une demi-heure de torture pour mes pieds. Le retour se passe tranquillement, et je retrouve avec plaisir mon appartement, tandis que les autres repartent chez eux. Je m’empresse alors de me déshabiller, puis je m’apprête à aller sous la douche quand je passe devant le miroir, dans lequel je m’aperçois étonnamment bronzé. Je retourne chercher le flacon de crème, sur lequel je vois : crème autobronzante. Je retourne alors me voir dans la glace, et je suis anéanti et voyant clairement les marques du string et du haut de maillot de bain. Je sais alors que je n’ai pas fini d’être humilié, car, faisant du sport, un certain nombre de personnes vont très certainement voir ces marques de bronzage.

Je me résigne car je ne peux de toutes façons rien faire, et je prends ma douche. Après le dîner, je me décide à aller voir mes mails, comme d’habitudes, et je m’aperçois alors très vite que ma messagerie est surchargée. Je passe alors plus de 3 heures à lire les 300 mails reçus, contenant des photos de moi dans la journée, et à visiter les dizaines de blogs et sites personnels sur lesquels ces photos s’affichent. Je décide alors d’aller me coucher et je m’endors difficilement…

Par AVS59 - Publié dans : Humiliation
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