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Jeudi 1 septembre 4 01 /09 /Sep 00:00

Voilà un texte trouvé sur le site : http://pageperso.aol.frpinnedbygrrls/index.html. Je l'aime beaucoup, et j'aimerais subir le même genre de vengeance : la surprise de l'inconnue qui n'en est pas une, la honte provoquée par la découverte de tels fantasmes par une connaissance, la présence de la caméra, la crainte d'être exposé,... le comble de l'excitation... Et encore, elle a été sympa et n'a pas dévoiler son anatomie à la caméra. lol

Donc si il y a une (ou des) amatrice(s) de ce genre d'expérience, n'hésitez pas à me contacter. Sinon laissez vos commentaires...

 

 

 

 

J'étais au lycée à l'époque, et avec mes copains, nous avions pris l'habitude de nous moquer d'une fille de ma classe, entre autre en raison de sa petite taille.

Elle s'appelait Elodie, avait les cheveux longs et chatains et mesurait à peine 1m50, ce qui n'était pas grand chose face à mes 1m80. Elle était devenu notre souffre-douleur, et même si elle ne répondait rien à nos moqueries, on sentait que ça la rendait furieuse. Ces moqueries duraient déjà depuis plusieurs mois quand ça se produisit.

 

A cette époque, je m'intéressais déjà à la domination soft des filles sur les hommes et au bondage. J'avais donc créé mon site internet perso ( http://membres.lycos.fr/grego120/ ), sur lequel je décris les pratiques qui m'excitent avec des photos et je donne mon adresse email pour les filles intéressées.

 

Or, Elodie avait découvert ce site et m'avais demandé par email de lui envoyer une photo de moi, ce que je fis. C'est comme ça, en me reconnaissant sur la photo, qu'elle découvrit mes fantasmes et décida de se venger de moi. De mon coté, j'ignorais bien sur que c'était elle.

Afin de ne pas se faire démasquer, elle ne m'envoya pas de photos d'elle et donna de fausses informations sur elle. Puis, à ma grande joie, elle accepta de me dominer pour seulement 40 euros, alors que j'étais près à payer le double, et me demanda un rendez-vous.

Sa seule condition était que nous ne devions en aucun cas être dérangé, ce à quoi je lui répondit que, de toute façon, mes parents partait en voyage et que je serais seul chez moi pendant trois jours.

Mais tout de même inquiet de sa demande, je lui fis remarquer que j'hésitais un peu à me mettre à sa totale merci et sans aucune possibilité d'aide extérieure. Elle me répondit que je devais avoir confiance en elle et qu'après tout, on ne se connaissait pas et qu'elle n'avait pas de raison de me faire du mal, n'est ce pas?

 

 

Alors je décidai que j'avais tort de m'inquiéter, et de plus, le risque ne faisait que m'exciter un peu plus. J'acceptai sa proposition et le rendez-vous fut donc fixé le mercredi suivant à 15h, chez moi. L'attente me parut interminable et ne fit qu'augmenter un peu plus mon excitation, quand le jour arriva finalement. Anxieux depuis mon réveil, je sursautai en entendant la sonnerie retentir vers 14h55. Très troublé de l'entendre plus tôt que prévu et très excité, j'ouvris la porte; et je reconnu Elodie, de ma classe.

"Salut. Je suis un peu en avance, non?" me dit-elle.

"Quoi? C'était toi?!" répondis-je, interloqué.

"Oui, je voulais te faire la surprise. Alors on commence?"

"Heu, je sais pas si..."

"Ne me dis pas que je suis venu ici pour rien! Allez, tu vas voir, ça va te plaire!" dit-elle malicieusement.

Je la contemplai rapidement. Effectivement, je la trouvais très sexy : elle avait ses cheveux chatains détachés et portait un débardeur noir qui faisait ressortir sa poitrine. Mais ce qui m'excitait le plus, c'était son survetement gris. Plus d'une fois j'avais fantasmé sur ce même pantalon destiné au cours de sports, dans lesquelles nous étions dans le même groupe. En effet, il moulait efficacement ses fesses et ses cuisses, mettant ainsi leur jolie forme en valeur.

Bien sur, c'était volontaire de sa part car en effet, je lui avais appris, dans les emails que nous avions échangé, ce qui m'excitait le plus chez une dominatrice amateur, au point de vue habillement ou attitude pendant une cession de domination. (j'adore les filles en survêtement)

Alors, au comble de l'excitation, j'oubliai toute crainte et, ne pensant plus aux conséquences éventuelles, je lui répondis :

"bon d'accord, allons dans ma chambre."

 

 

Après avoir découvert mon lit, un lit une place standart, elle me poussa dessus et s'empressa de prendre les cordes sur mon bureau afin de m'attacher le plus vite possible de peur que je ne change d'avis, même si je ne me rends pas compte tout de suite de son empressement à m'immobiliser.

Située debout à ma droite, elle attacha d'abord mon poignet gauche à l'extrémité d'une corde d'environ 1m50, en faisant un double noeud qu'elle serra très fort, et qu'elle renforça d'un troisième; puis elle passa l'autre extrémité de la corde sous le coté gauche de mon lit et alla la chercher à quatre pattes sous le coté droit, et elle la tira, pour finalement ressortir environ 30cm de corde, juste assez pour attacher mon poignet droit avec. Ce qu'elle fit en serrant avec force, tout en s'assurant que mes bras étaient le plus tendus possible, presque perpendiculaires au lit et dirigés vers le sol.

Elle refit exactement la même chose avec mes jambes, qui se retrouvaient écartées comme un V inversé, sans que je puisse les joindre.

Après avoir fini, elle se releva et contempla son ouvrage, les mains sur les hanches et le sourire aux lèvres.

Après plusieurs tentatives d'évasion, je me rendis compte que j'étais totalement immobilisé et donc à la merci de la fille qui me détestait le plus au monde.

"ça fait des mois que je rêve de vivre une situation comme celle là!" me dit-elle, avec un sourire sadique.

ma grande surprise, elle quitta ma chambre pour aller fermer la porte de ma maison à clef, afin d'être sure qu'on ne soit pas dérangé et elle débrancha également le téléphone en passant devant. En son absence, je commençais à m'inquiéter de ma situation, tout en sentant mon excitation être de plus en plus forte. Elle revint peu après et referma lentement la porte de ma chambre derrière elle, en me regardant d'un air espiègle qui me fit très peur.

"je t'ai pas trop manqué, j'espère?"

 

Elle enleva ses chaussures et sortit alors une caméra du sac à dos qu'elle avait amené et la positiona sur mon bureau, en la dirigeant vers moi.

"Heu, Elodie, je préfère pas." dis-je, horrifié mais impuissant.

"Je l'ai emprunté à une amie" me répondit-elle, "ça peut filmer pendant une demi-heure, elle m'a dit."

"Non, arrete!" Ordonnai-je, commençant à découvrir avec horreur son plan de vengeance, mais bien trop tard.

"Je suis certaine que ça va intéresser pas mal de monde" dit-elle en déclenchant le mécanisme de marche, provoquant l'apparition de la lumière rouge d'enregistrement.

 

Alors, elle se tourna vers moi, fit mine de se recoiffer avec coquetterie et s'avança vers moi. Je ne pu m'empecher de jeter un regard sur son survetement gris et moulant, à cause duquel j'étais maintenant piégé, trahi par mon fantasme pour cet habit sexy.

 

Elle se mit d'abord à genoux à coté de moi, puis lentement, elle m'enjambea en me regardant droit dans les yeux, pour finalement se retrouver à califourchon sur mon ventre, callant ses fesses confortablement.

"Tu fais pas le fier, hein?!" me dit-elle, "tu as eu tort de me faire confiance, maintenant tu est à ma merci! regarde, je peux te faire ce que je veux."

Sur ces mots, elle commença à me tapoter les joues sans que je puisse faire quoi que ce soit.

Bien que je me sentais paniquer, j'étais plus excité que jamais de sentir son poids pesant sur mon ventre.

 

"allez, je veux bien continuer, mais éteint cette caméra!"lui dis-je, saisissant cette dernière chance de ne pas subir sa vengeance.

Pour seule réponse, elle m'assena une forte claque qui me surpris totalement.

"Tu n'es pas en position de me donner des ordres." répondit-elle ensuite.

"Dis-moi, t'es fort en apnée?" ajouta t'elle, après une courte pause.

"Quoi? Hé, attend!"

 

Elle mit alors sa main gauche sur ma bouche, m'empechant ainsi de parler et de respirer par la bouche, puis avec sa main droite, elle serra mon nez entre son pouce et son index.

"tu te rends compte que moi, une fille de très petite taille, je peux tuer un grand gaillard comme toi seulement avec deux doigts?" se moqua t'elle, en me regardant suffoquer lentement.

Totalement immobilisé; je n'eus pas d'autres solutions que d'attendre en espérant qu'elle relacherait l'emprise. Elle me regarda, en haussant les sourcils et la bouche ouverte comme si elle accomplissait un travail de précision.

Au bord de l'asphyxie, je devins tout rouge, ce qui lui valu de m'adresser un sourire de satisfaction, alors que je sentis ses fesses gigoter sur mon ventre.

Elle se trémoussait sur moi et se pencha en avant afin de renforcer son emprise fatale, alors que, affolé, je tentai de bouger dans tous les sens, malgré les cordages et le poids de son corps.

Elle relacha finalement son emprise, et j'inspirai de très grande goulée d'air. Pendant que j'essayais de me remettre en respirant bruyamment, elle me caressa les cheveux en éclatant de rire.

"T'es pas très endurant! Heureusement que je suis là pour t'entrainer!" dit-elle, amusée de voir l'affolement dans mes yeux provoqué par une telle remarque.

 

Sur mon ventre, elle sentait les mouvements de mes poumons et elle se rendit compte quand j'eu fini de récupérer mon souffle.

Horrifié, je la vis remettre sa main gauche sur ma bouche. Mais cette fois, elle décida de pincer mon nez entre son pouce et son petit doigt, ce qu'elle fit immédiatemment en souriant de toute ses dents.

"Je m'amuse comme une folle!" dit-elle, alors que j'étais de nouveau en train d'étouffer entre ses mains.

Je tentais de tirer de toutes mes forces sur les liens qui m'immobilisaient mais ils étaient solides et ne cédaient pas.

"Inutile d'essayer, tu ne peux pas t'échapper! C'est humainement impossible!" remarqua t'elle, ravie de constater mes vaines tentatives.

De nouveau, je devins tout rouge, alors qu'elle jeta un rapide coup d'oeil vers la bosse sur mon entrejambe, derrière elle.

"Oh, mais tu m'as l'air d'aimer ça, dis moi!" Rigola t'elle ,"Et bien tant mieux, moi aussi ça m'excite de te sentir impuissant sous moi."

Alors que mon visage commençait à passer du rouge au bleu, je tentai de l'éjecter de mon ventre, mais je ne parvint qu'à la soulever de quelques centimètres. Elle s'empressa de mettre tout son poids sur mon ventre et je me retrouvais de nouveau coller au lit, à regarder son grand sourire tout en priant pour qu'elle ne décide pas de m'étouffer définitivement. Elle devait lire dans mes pensées car elle me dit :

"Allons, ne panique pas! Tu n'as pas confiance en moi?" Puis elle éclata d'un grand rire, tout en relachant l'emprise de ses mains, qu'elle posa sur ses hanches, à mon grand soulagement.

Pendant que je tentai péniblement de reprendre mon souffle, elle se fit un chignon avec beaucoup de soin.

 

Après l'avoir terminé, elle se pencha en avant, passa ses bras derrière ma nuque et pressa ma tête avec force entre ses deux seins.

 

"Mmmh, viens là mon bébé" dit-elle d'une voix tendre.

Je sentis d'abord l'odeur de son parfum, puis je ne sentit plus rien du tout : elle pressa si fort que j'étouffais de nouveau. Alors, je gigotais dans tous les sens, inutilement.

"Allons, ne panique pas! Fais moi confiance!" entendis-je.

Mais malgré sa remarque, prononcée d'un ton apaisant, je me débattais de plus belle, à bout de souffle.

"Si tu veux que je te laisse respirer, arrete de te débattre pendant 5 seconde!" me dit-elle avec autorité.

Entendant cette remarque, et malgré le fait que mon étouffement devenait insupportable, j'obéi à son ordre et je l'entendis compter.

"Un, deux..."

Je luttais de toutes mes forces pour ne pas céder à la tentation de me débattre.

"Trois..."

N'ayant rien d'autre à faire, je ne pu que gémir pour la prévenir que j'étais à bout, mais elle continua à compter, imperturbable.

"Quatre... Et cinq!" Dit-elle en lachant ma tête et en repositionnant ses fesses contre mon ventre.

Je pris alors une très grande goulée d'air, puis une autre, heureux de m'en être sorti.

"Tu vois? Quand tu m'obéis, tout se passe bien." Fit-elle remarquer.

 

Je la senti bouger alors que je continuais à reprendre mon souffle, péniblement. Elle s'avança sur mon corps, passa ses mollets sur mes bras attachées et coinça ma tête entre ses jambes, alors qu'elle posa son jolie derrière sur mon torse.

"Alors, Mon pantalon t'excite? Alors tu dois aimer le voir d'aussi près" dit-elle, en serrant ma tête entre ses cuisses.

En effet, j'étais aux anges de sentir le contact de ses cuisses sur ma tête et celui de ses fesses sur mon torse.

Alors, elle reposa ses mains sur ma bouche et pinça encore mon nez, alors que je lui lançai un regarde inquiet. Elle répondit par un sourire alors que j'étouffais de nouveau. Ma tête étant bloquée, je ne pu tenter de la bouger. Au bord de l'asphyxie, je regardai son visage angélique, traversé par un sourire démoniaque.

"Même topo que tout à l'heure : Arrete de te débattre pendant 5 seconde et je t'autoriserai à respirer."

Au prix d'un effort surhumain, je cessai de bouger, alors qu'elle compta les 5 secondes qui me parurent une éternité. J'y parvins, par miracle, et elle relacha.

"Tu es encore tout rouge!!" constata t'elle, hilare.

 

Elle se leva ensuite et, debout à coté du lit, elle remarqua que la bosse sur mon entrejambe avait atteint son maximum. En effet, je n'avais jamais connu une telle excitation!

Elle se dirigea vers son camescope posé sur le bureau de l'autre coté de ma chambre, et vérifia qu'il enregistrait toujours.

Satisfaite, elle se dirigea ensuite vers moi et m'annonça : "Puisque je t'excite tant, je vais te donner l'occasion de voir mon corps de plus près!"

 

 

Sur ces mots, elle se mit à genoux sur les bords du lit à coté de ma tête, enjamba ma tête pour se retrouver face au reste de mon corps, ses genoux sur mes bras attachés.

Délicatement, elle posa ses fesses sur mon visage, et s'y retrouva assise confortablement, mon nez calé entre ses fesses.

Je me débattais de toute mes forces, conscient qu'une caméra était en train d'enregistrer cette humiliation totale, mais mes liens étaient trop solides.

Pendant ce temps, elle fredonna un air de musique tout en prenant un magazine posé sur ma table de nuit. Elle le posa sur mon torse et entama la lecture, alors que de mon coté, je disposai de juste assez d'air pour respirer. Je décidai donc de ne plus me débattre, de crainte qu'elle ne change la position de ses fesses sur mon visage en représaille et qu'elle ne m'étouffe pour de bon.

Pendant 5 bonnes minutes, je l'entendis tourner les pages tranquillement alors que je sentai mon pénis se dresser de nouveau, en raison de ma très forte excitation.

Elle était assise sur mon nez et ma bouche alors que je pouvais voir le haut de ses fesses et une partie de son chignon.

Elle reposa ensuite le magazine mais resta assise sur mon visage.

"Tu sais, je souffre beaucoup quand vous vous moquez sans arret de moi. Mais maintenant, c'est toi qui va connaitre la souffrance! " dit-elle, en penchant légèrement son corps pour poser ses deux mains sur mes parties génitales. Je tentai de serrer mes jambes mais elle étaient immobilisées par les liens.

 

 

Soudain, sans prévenir, elle donna une tape sur mes testicules, ce qui me fit grogner de douleur. Elle redonna ensuite une tape beaucoup plus forte, suffisante pour me faire hurler de douleur, mais ma voix était étouffée sous son derrière. Après que j'eu fini de gémir, elle redonna une tape au même endroit, relançant mon gémissement.

Elle me tortura ainsi pendant environ cinq très longues minutes, puis de ses deux mains, elle serra très fort mes testicules pendant une minute, durant laquelle je poussai un long gémissement ininterrompu. Torturé et humilié, je l'entendis rire de mon calvaire.

Finalement, elle se leva et s'assit sur le lit à droite de ma tête. Elle passa sa cuisse droite sous ma tête, comme un oreiller, et posa sa cuisse gauche devant mon menton, sur mon cou. Elle crocheta ses chevilles, coinçant ma tête dans un ciseau fatal.

 

Soudainement, elle serra ses cuisses de toute ses forces, m'étranglant en même temps. J'essayais de dégager ma tête mais sans succès. Je la tournais de tous les cotés. Je pouvais voir à gauche ses chevilles crochetés, et ses chaussettes blanches, qui allaient bien avec son pantalon gris, et à droite, ses fesses bombées.

Tout en maintenant sa prise, elle prit ma tête avec ses mains, la tourna vers la droite face à ses fesses, et tira. Mon nez se retrouva de nouveau dans son derrière alors que je commençais à étouffer entre ses cuisses. Je l'entendis alors gémir de plaisir. De temps en temps, elle relacha légèrement pour resserrer de plus belle juste après, prolongeant ainsi mon étouffement sur plusieurs minutes.

Enfin, elle relacha sa prise et se leva. Elle alla voir le temps d'enregistrement sur la cassette, puis elle vint s'asseoir sur mon ventre, face à ma tête.

"Il reste environ cinq minutes d'enregistrement. Qu'est-ce que je vais bien pouvoir te faire d'autre?" se demanda t'elle à elle-même. Elle hésita, puis me fis un sourire, m'indiquant ainsi qu'elle avait une idée, ce qui me fit très peur.

 

 

Toujours à califourchon sur mon ventre, elle se pencha pour avoir sa tête 20cm au dessus de la mienne, qu'elle bloqua avec ses mains.

"Ouvre la bouche!" ordonna t'elle.

Je refusai d'abord, puis elle m'assena une gifle.

"Ouvre la bouche, ou je recommence à te torturer!!" me menaça t'elle.

Tremblant à l'idée de resubir les mêmes souffrances que celles d'avant, j'ouvris la bouche. Elle approcha la sienne de 10cm afin de mieux viser la mienne, et elle cracha lentement. Je sentis le filet de salive entrer dans ma bouche, puis je la ferma. Toujours sa tête au dessus de la mienne, je la vis sourire à la caméra, alors que j'avalai sa salive. Pour me récompenser de lui avoir obéi, elle me caressa la joue, ajoutant un peu plus à ma complète humiliation.

 

Elle se pencha ensuite en arrière, les fesses sur mon estomac, et elle retira ses chaussettes. Elle plaça ensuite ses pieds nus 10cm au dessus de ma bouche, tout en posant sa main droite sur mes parties génitales.

"Lèche mes pieds!" ordonna t'elle, alors que je sentai la pression de sa main droite sur mes testicules.

Je soulevai alors ma tête afin de lêcher ses pieds 10cm au dessus, afin de ne pas avoir à subir de nouvelles tortures.

"Bien... Continue...Bien..." dit-elle, satisfaite, tout en caressant mes testicules.

Je continuais à lecher ses pieds et ses doigts de pieds, alors qu'elle souriait à la caméra, ravie de montrer qu'elle m'avait "dressé".

Je lechais ses pieds depuis déjà 3 minutes, quand la lumière rouge sur la caméra disparut.

 

Elle se leva ensuite, remit ses chaussettes et ses chaussures et rangea sa caméra dans son sac.

Elle ouvrit mon portefeuille sur mon bureau et pris la totalité de l'argent qui s'y trouvait, environ 250 euros, qu'elle mit dans la poche arrière de son pantalon gris, en me regardant méchamment.

"Je vais aller mettre cet argent et cette cassette en lieu sûr. A tout à l'heure." dit-elle en fermant la porte.

Je tentai de me libérer, afin de la rattraper, mais même sans le poids de son corps sur le mien, j'étais totalement immobilisé. Après de nombreuses tentatives infructueuses, je renonçai et je m'assoupi, complètement épuisé.

 

 

Je l'entendis revenir plusieurs heures après, sans son sac. Elle me libéra de mes liens et m'annonça : "J'ai bien caché la caméra, alors inutile de la chercher! Si t'essayes de la récupérer, ou si tu refuses de m'obéir quand je te donne un ordre, elle circulera! Si tu m'obéi, elle restera en lieu sûr. A partir de maintenant, t'es mon esclave. T'en fais pas, je serais une bonne maitresse pour toi."

Je me levai enfin du lit, pour me retrouver en face d'elle et de ses 1m50. Elle décida de tester ma soumission :

"Enfonce ta tête entre mes fesses." m'ordonna t'elle en se retournant.

Conscient que je n'avais absolument pas le choix, je me mis à genoux et je lui obéi, en enfonçant mon visage dans son survetement sexy et inspirant à fond.

"Bien... Très bien..." Dit-elle en me caressant la nuque, " A partir de maintenant, en privé, tu m'appellera maitresse, Compris? Bon, j'y vais. Si tu es sage, je t'enverrai une copie de la cassette."

Sur ces mots, elle s'en alla en riant, satisfaite de sa victoire totale.

 

 

Depuis ce jour, j'ai évidemment cessé de me moquer d'elle.

Régulièrement, elle m'a demandé d'accomplir certaines choses, comme de faire ses devoirs ou de lui donner de l'argent. Plusieurs fois, elle m'a aussi demandé de me soumettre en lui lechant les pieds, en la laissant s'asseoir sur mon visage ou en accomplissant le moindre de ses désirs.

J'ai cessé de la voir par la suite, mais depuis, je cherche une fille qui accepterait, en échange d'argent, de me dominer comme je l'ai été ce jour là.

 
Par AVS59 - Publié dans : Récits
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