Visiteurs de mon blog, si vous avez une webcam, laissez votre photo ci-dessous
Pour voir la galerie des photos des visiteurs de ce blog, cliquez ci-dessous...
Voilà une petite vidéo sympa et très sexy trouvée sur le net, et je dois dire que c'est un fantasme qu'on me fasse subir ce genre de choses en pleine foule (comme je suis un mec, ce serait bien sûr pantalon + boxer et non le haut)...
Amusez-vous bien et contactez-moi si ça vous dit de me faire vivre cette expérience...
A bientôt
Cela fait quelque temps déjà que je suis inscrit sur un site de rencontres (dont je tairai le nom mais qui est très connu et qui commence par un m). Un jour, je reçois un message d’une jeune demoiselle d’une vingtaine d’années, dont je consulte alors le profil. Célibataire, sans enfants, non fumeuse, sportive,… tous les critères correspondent à ce que je recherche, et inversement mes caractéristiques semblent correspondre parfaitement à ses critères de recherche. De plus, elle a une photo dans son profil, et elle semble très belle. Je remarque cependant qu’elle n’habite pas le Nord – Pas-de-Calais, ni même la France, mais la Canada.
L’attrait de son profil me pousse toutefois à prendre connaissance de son message dans son intégralité. J’y découvre que mon inconnue prévoit un séjour de quelques mois en France, et plus précisément à Lille, dans les prochains temps. Elle confirme par ailleurs que mon profil correspond parfaitement à sa recherche, et qu’elle aimerait faire ma connaissance par mails, avant d’envisager une rencontre réelle lors de sa venue.
Un peu surpris par l’intérêt que me porte cette superbe créature, je me décide quand même à lui répondre, car il est vrai que qui ne tente rien n’a rien. Je détaille alors quelque peu mon profil, tout en lui confirmant qu’elle aussi m’intéresse beaucoup, et que je serais ravi de poursuivre cette découverte l’un de l’autre. Dès le lendemain, je reçois un nouveau message, dans lequel elle répond à mes questions, et me parle elle aussi un peu d’elle, et de tout et rien à la fois, de sa vie,… Elle me donne aussi son adresse mail, afin qu’on puisse discuter directement, sans avoir à passer par le site de rencontres.
Après quelques jours d’échanges de mails quotidiens, les sujets de discussion deviennent de plus en plus osés, et elle semble tournée sur le sujet autant que moi. Après quelques provocations de sa part, me précisant notamment qu’elle aime bien poser pour des photos un peu osées,… je me décide, 3 jours avant son arrivée à Lille, à lui demander de m’envoyer une photo d’elle nue, ou du moins dans une tenue sexy, osée et suggestive. A ma grande surprise, elle me donne son accord, et me promet même de prendre une photo dans la position de mon choix, mais à la condition que ce soit moi qui commence par lui envoyer une photo de moi nu sur mon lit.
Tellement excité par sa réponse, je n’hésite pas une minute, et prends mon appareil photos. Je l’installe fixement sur mon armoire, programme le retardateur, et m’empresse de prendre la photo demandée, et de l’envoyer à mon inconnue. Je ne peux alors plus quitter mon écran et plus particulièrement ma messagerie, tant j’attends avec impatience sa réponse. Quelques minutes plus tard, celle-ci arrive enfin.
J’ouvre le message qui, outre la photo, me demande de me connecter à msn. Je télécharge donc d’abord le fichier joint, et lance ma connexion à msn. Quand le téléchargement est fini, j’ouvre le fichier, et je découvre avec stupeur une photo de Mélanie et Aurélie, deux amies et anciennes coéquipières de sport, bien entendu toutes habillées, et visiblement mortes de rire.
Ne comprenant pas immédiatement ce qui se passe, je suis vite ramené à la réalité par un Aurélie et Mélanie qui me contactent via msn, pour m’envoyer des messages du genre : « Ouh la honte », « mdr t’es mal barré mon vieux »,… Je suis alors effectivement très honteux, et surtout très craintif de ce qui va arriver par la suite, car je connais encore beaucoup de monde dans mon ancien club. Je leur demande alors comment elles ont su que j’étais inscrit sur m….., pourquoi elles ont fait ça, et ce qu’elles comptent faire de la photo.
Elles me répondent alors qu’un message anonyme les a prévenues (je me doute alors rapidement que le message devait provenir d’un visiteur de mon blog), qu’elles avaient envie de s’amuser un peu et de voir jusqu’où je pouvais aller et ce dont j’étais capable, et que pour la photo elles ne savaient pas trop encore, mais qu’il y aurait sans doute quelques autres joueuses qui seraient intéressées. Tout de suite après, elles se déconnectent de msn, me laissant là devant mon écran, abasourdi et incapable de faire quoi que ce soit.
2 minutes plus tard, mon logiciel de messagerie m’avertit de l’arrivée d’un mail, que je me dépêche d’aller consulter. Je découvre malheureusement avec effroi qu’il provient de Mélanie, qu’il contient la fameuse photo, et que je ne suis qu’en copie du mail, alors que la liste des destinataires contient une quinzaine d’adresses, dont certaines correspondent vraisemblablement à des joueuses du club.
Que faire ? Où cela va-t-il bien pouvoir s’arrêter maintenant qu’une bonne dizaine de filles ont la photo ? …
Je sais, ça fait un moment que je n'étais pas là, mais il faut avouer que je n'ai pas énormément de temps, et surtout que je n'ai pas de nouveaux fantasmes à vous faire partager tous les jours. En voici en tous cas un, et si vous avez envie de m'aider à le réaliser (avec Mel et Aurélie ou non, cela peut être quelqu'un d'autre), n'hésitez pas à me contacter...
A bientôt j'espère...
Ca fait déjà un moment que je demande à Mel de jouer avec moi sur msn et qu’elle me promet qu’on le fera une autre fois… Ce jour-là, pour la provoquer un peu et lui donner envie de jouer, je lui lance un défi. Le lendemain, on doit en effet se rendre à la plage avec une bande de copains, et je lui propose donc que le gagnant choisisse le maillot de bains et la tenue du perdant pour y aller. Comme je le pensais, elle accepte alors de suite et choisit le démineur, parce qu’elle n’aime pas les autres jeux. Je suis alors très confiant, car je ne suis plutôt pas mauvais à ce genre de jeux où la logique et la déduction ont une part importante. On décide de jouer en 5 parties gagnantes. Mais à ma grande surprise, Mel se débrouille pas mal du tout non plus, la partie est très serrée, et c’est elle qui s’impose 5 parties à 4. Elle s’empresse alors d’éteindre sa cam, un grand sourire vicieux aux lèvres, et de prendre congé en me donnant rendez-vous le lendemain matin vers 9h30 chez moi, soit une demi-heure avant l’heure de départ prévue.
La nuit passe alors tranquillement, alors que je me demande lequel de mes maillots elle va bien pouvoir choisir. Le lendemain, je suis prêt quelques minutes en avance, et j’en profite donc pour étaler sur mon lit mes maillots de bains, ainsi qu’une partie de mes vêtements, afin de lui faciliter le choix. Pile à l’heure, elle arrive, accompagnée d’Aurélie. J’ouvre la porte et je suis surpris que Mel porte un sac à dos. Mais je me dis que c’est son sac pour la plage et qu’elle a préféré ne pas le laisser traîner dans la voiture. La vue de mes maillots étalés sur mon lit fait apparaître chez les filles un sourire malicieux. Mel dit alors :
« Je vois que tu as tout préparé, c’est bien, mais ce n’était pas nécessaire, on a apporté tout ce dont tu as besoin ».
Elle me tend alors le sac à dos, que je m’empresse d’ouvrir. Je ne comprends pas trop quand je vois sur le haut du sac un haut de bikini :
« Tu as dû te tromper de sac, ou bien tu as oublié ton maillot dans celui-ci ? »
Aurélie me répond de suite :
« Non il n’y a pas d’erreur, tu as demandé à Mel de choisir ton maillot et tes fringues pour aujourd’hui, alors les voilà »
A la fois surpris et dépité, je leur réponds :
« Vous n’allez quand même pas me faire porter un bikini ? »
Elles confirment alors que c’est bien ce qu’elles veulent, et me disent que de toutes façons tous les copains qui viennent avec nous sont au courant et vont bientôt arriver, et que je n’ai donc pas le choix si je suis honnête et que je respecte mes engagements. Si je ne respecte pas ma parole, non seulement je n’irai pas à la plage avec eux, mais en plus je risque de perdre plusieurs amis.
Je me résigne alors à m’enfermer dans ma chambre pour enfiler le maillot et le reste des fringues, en me disant que le ridicule ne tue pas. Je m’efforce tout d’abord de mettre le haut de bikini, en y insérant les faux seins qui se trouvent à côté de lui dans le sac, puis je commence à enfiler le bas quand je me rends compte que ce n’est pas un simple bikini, mais bel et bien un bikini-string. Je finis alors de l’enfiler, et je sors en colère dans ma chambre pour engueuler les filles et leur dire qu’il est hors de question que j’aille sur la plage dans cette tenue. Malheureusement, à peine sorti, je suis assailli par 2 flashes d’appareils photos, un de face et un derrière moi. Le moment de surprise passé, je me reprends alors et continue de dire ce que j’avais à dire. Mais la réponse de Mel ne se fait pas attendre :
« J’ai allumé ton ordinateur, et j’ai préparé un mail. Si tu ne finis pas de t’habiller et si tu ne viens pas, j’y insère la photo et je l’envoie à tous mes contacts, en leur demandant de faire suivre. Et imagine si je l’envoie à 20 personnes, et qu’ensuite, chacune d’elle fait de même,… Au bout de 3 mails, il y aura déjà 8000 personnes qui t’auront vu ainsi. Et je te laisse imaginer le nombre de sites sur lequel ta photo va vite apparaître. »
Complètement dépité, je réalise vite qu’il vaut sans doute mieux qu’une centaine de personnes me voient en bikini-string sur la plage, que plusieurs centaines de milliers grâce au Net. Je retourne donc dans ma chambre pour finir de m’habiller, et je sors du sac un petit haut blanc en laine, fait de très grandes mailles, qui font qu’il ne cache absolument rien. Me disant que pour cela, ça aurait pu être pire, et qu’elles avaient donc peut-être été plus sympas sur le reste des fringues, après le coup du maillot. Mais je me rends vite compte que je me suis trompé quand je sors du sac une mini-jupe, vraiment très courte, en toile blanche légère. Je l’enfile à contre-cœur, et cela confirme qu’elle arrive tout juste en-dessous du bas de mes fesses.
Peu fier, je sors alors rejoindre les filles. Aurélie dit alors à Mel :
« Tu vois, je t’avais bien dit qu’elle serait assez transparente et qu’on verrait tout. »
Ni une, ni deux, je comprends tout de suite ce qu’elle veut dire, et me regarde dans le miroir de la salle de bains, dans lequel ma crainte se confirme, puisque le tissu de la jupe laisse apparaître absolument tout ce que je porte en-dessous, malgré la couleur bleu ciel du string. Je m’apprête de nouveau à refuser, quand Mel me montre son appareil photos, pour me rappeler ce qui se passerait dans un tel cas. Je me tais donc, et c’est Aurélie qui prend la parole, en me disant que j’ai oublié quelque chose. J’ai beau réfléchir, je ne vois pas. Elle me signale alors que je suis pieds nus, et je sors alors mes sandales. Aurélie reprend alors :
« Tu chausse bien du 43 c’est ça ? »
Je confirme alors, et Mel m’indique que par conséquent, mes chaussures sont aussi dans le sac. Etant donnée ma pointure, je ne me fais malgré pas trop d’inquiétudes sur ce point. Mais je déchante vite, en sortant du sac une paire de sandales à talons hauts (à vue d’œil, je dirais au moins 8 cm), et à longues lanières prévues pour remonter le long de la cheville et du mollet. Surpris, je retourne vite les chaussures, et je vérifie malheureusement qu’il s’agit bien d’une pointure 43. Ecœuré mais n’ayant pas trop le choix, je m’assieds sur le lit, et m’affaire à les enfiler quand on sonne à la porte. Mel me dit alors de finir de me préparer pendant qu’elle va ouvrir, ce sont sans doute les autres qui arrivent. J’ai juste le temps de finir de nouer les chaussures et de me relever difficilement avant que la porte de l’appartement s’ouvre, et laisse place aux 4 copains et 3 copines qui doivent nous accompagner. Ils éclatent de rire en me voyant, puis se mettent à me siffler et à me faire la bise. Mel propose alors de partir, maintenant que je suis prêt et que tout le monde est là. Je demande une dernière fois, penaud :
« Vous n’êtes pas sérieux, vous n’allez quand même pas me faire sortir comme ça ? »
Les regards et rires qui s’ensuivent me confirment malheureusement que si. Quand je m’apprête alors à prendre mon sac à dos avec ma serviette et ma crème solaire, Mel me fait comprendre que ce n’est pas la peine, car tout est disponible dans le sac qu’elle a ramené et qui contenait les vêtements. Je vais donc le chercher. Tout le monde sort, et, n’ayant pas trop le choix, je les suis. Heureusement, les voitures sont garées juste en bas de l’immeuble, et je n’ai croisé aucun voisin dans les couloirs. Après une petite heure de route, la mer est en vue. Malheureusement, il fait très beau, et il y a donc foule en ce week-end. Les places de parking sont rares, et nous sommes obligés de nous garer à l’écart, à au moins 2 kilomètres de la plage. Le stress monte alors d’un coup, car non seulement je vais m’exposer à la vue de tous, mais en plus, il va falloir que je marche pendant plus de 2 kilomètres avec ces chaussures qui me font déjà mal aux pieds rien qu’en étant assis.
A peine sortis de la voiture, les premiers regards surpris et hilares se tournent sur moi, et les premiers appareils photos immortalisent ce jour. Nous voilà partis vers la plage, et j’essaye tant bien que mal de tenir debout, tout en évitant de faire de trop grands mouvements pour ne pas trop faire voler la jupe. Au bout de quelques minutes, je me rends compte qu’Aurélie distribue un tract à chaque personne prenant des photos de moi. Je lui demande alors ce que c’est, et elle m’en tend un sur lequel je peux lire :
« N’oubliez pas de lui transférer les photos que vous prenez de lui à esclave59000@hotmail.com, et de le mettre en copie quand vous les envoyez par mail à vos contacts, et n’hésitez pas à les afficher sur vos blogs et sites personnels, en lui envoyant les adresses. »
Je me sens alors tellement mal que je suis incapable de réagir. Le chemin se continue ainsi jusqu’à notre arrivée sur la plage, où nous nous installons dans un endroit très fréquenté. Tout le monde se met alors en maillot, et on m’incite à faire de même. Tellement soulagé de pouvoir quitté mes chaussures, je m’exécute rapidement. Puis vient l’heure de la baignade, un des moments les moins gênants, car je suis dans l’eau et on ne voit donc pas mon string, et peu mon haut de bikini.
Après quelques minutes, nous sommes de retour sur la plage, et chacun se fait tartiner de crème solaire. Je m’allonge sur la serviette rose qui m’a été donnée par les filles, qui se proposent pour m’étaler la crème qu’elles sortent de mon sac. J’accepte volontiers, plutôt excité par cette idée. Le moment est agréable, mais je suis surpris par leur éclat de rire dès qu’elles ont fini. N’arrivant pas à comprendre pourquoi, je laisse tomber et profite du soleil. Mais je ne sais pas trop comment me mettre, à cause de la présence des nombreuses personnes qui sortent encore leur appareil photos et à qui Aurélie distribue encore et toujours ses tracts. En effet, me mettre sur le ventre a le mérite de masquer mon visage, mais tout le monde peut voir mes fesses et le fait que je porte un string, alors que me mettre sur le dos cache le string, mais mon visage peut apparaître sur les photos avec mon bikini. Je change donc régulièrement, en me faisant le plus discret possible.
Vient alors l’heure du retour. Je me rhabille donc, et nous repartons pour une demi-heure de torture pour mes pieds. Le retour se passe tranquillement, et je retrouve avec plaisir mon appartement, tandis que les autres repartent chez eux. Je m’empresse alors de me déshabiller, puis je m’apprête à aller sous la douche quand je passe devant le miroir, dans lequel je m’aperçois étonnamment bronzé. Je retourne chercher le flacon de crème, sur lequel je vois : crème autobronzante. Je retourne alors me voir dans la glace, et je suis anéanti et voyant clairement les marques du string et du haut de maillot de bain. Je sais alors que je n’ai pas fini d’être humilié, car, faisant du sport, un certain nombre de personnes vont très certainement voir ces marques de bronzage.
Je me résigne car je ne peux de toutes façons rien faire, et je prends ma douche. Après le dîner, je me décide à aller voir mes mails, comme d’habitudes, et je m’aperçois alors très vite que ma messagerie est surchargée. Je passe alors plus de 3 heures à lire les 300 mails reçus, contenant des photos de moi dans la journée, et à visiter les dizaines de blogs et sites personnels sur lesquels ces photos s’affichent. Je décide alors d’aller me coucher et je m’endors difficilement…
Bonjour à toutes et à tous… Un autre petit scénario qui m’excite beaucoup et que j’aimerais bien mettre en pratique, même s’il y a des jours où je me dis que je n’oserais jamais… Donc si il y a une (ou des) amatrice pour m’aider à vivre cette expérience, n’hésitez pas à me contacter….
Une demoiselle rencontrée sur Internet, un défi idiot que j’ai accepté de relever, un échec, et me voilà obligé de la laisser faire de moi ce qu’elle veut pendant 2 heures, ici dans sa chambre de la résidence étudiante où elle vit. Rapidement, elle m’enlève mon tee-shirt et m’attache les mains dans le dos avec une paire de menottes. On frappe à la porte et deux de ses copines viennent la rejoindre. La situation est quelque peu gênante, mais cela ne fait que commencer.
Les filles s’empressent en effet d’enlever le reste de mes vêtements, me bandent efficacement les yeux avec un bandeau, et me baillonnent avec une de mes chaussettes.
Puis elles me guident alors en me poussant à avancer. Une porte s’ouvre, et je me demande où on m’emmène, car à part la salle de bains, l’appartement ne comprend pas d’autres pièces. Après quelques pas, je comprends vite que ce n’est pas la salle de bains (à moins qu’elle soit immense), et que je suis dans le couloir de la résidence. J’essaye alors de me débattre et de ne plus avancer, mais dans le noir, à un contre trois, et avec mes bras dans le dos pour me faire souffrir dès que je me débats un peu trop, la partie est inégale, et je n’ai d’autre choix que d’avancer, lentement mais sûrement.
Quand enfin on s’arrête, je n’attends que quelques secondes avant d’entendre une porte d’ascenseur. Ma première pensée est d’imaginer qui peut bien en sortir, mais l’absence de bruit et le fait qu’on me fasse avancer à nouveau me laisse penser que l’ascenseur était vide. Mais ce qui se prépare est peut-être encore pire, puisque visiblement on veut m’emmener dans une autre chambre ou bien même dehors. Mais alors que je suis maintenant dans l’ascenseur, la porte ne se referme pas. J’imagine qu’une des filles maintient donc la porte ouverte. Pendant ce temps, une seconde fille me sert fortement les bras l’un contre l’autre dans mon dos, à tel point qu’elle me fait mal, et je sens une menotte s’ouvrir. J’aimerais en profiter pour m’échapper, mais mes bras me font tellement mal que je n’ai pas la force de les écarter pour me débattre. Une main féminine se saisit alors de ma main qui n’est plus menottée, qui touche au passage une paroi métallique, qui doit être une des parois de l’ascenseur, pour lui refermer la menotte après l’avoir déplacée de quelques centimètres. On me relâche alors, mais en essayant de me mettre dans une posture un peu plus agréable, je me rends compte que je suis maintenant attaché à une rampe située dans l’ascenseur (une main de chaque côté).
J’entends alors les filles me dire « A tout à l’heure » dans un fou rire, puis la porte de l’ascenseur se refermer et l’ascenseur monter. Est-ce que ce sont elles qui se sont amusées, est-ce que c’est quelqu’un d’autre qui l’appelé et qui va monter ? Je n’en sais rien, mais la honte est à son comble au moment où les portes s’ouvrent à nouveau. Quand elles se referment et que l’ascenseur reste sur place, je me rends compte que personne n’est monté, et que ce sont les filles qui l’avaient envoyé plus haut. Mais de toute façon le problème n’est que repoussé, car j’ignore pour combien de temps je suis là, mais j’imagine bien qu’on en va pas me libérer dans 30 secondes.
Une minute plus tard, l’ascenseur redescend, mais plus longtemps que pour la montée précédente, et ma honte monte encore d’un cran, surtout quand j’entends plusieurs voix, féminines et masculines, alors que l’ascenseur ralentit. Quand les portes s’ouvrent, les rires et remarques désobligeantes n’arrangent pas les choses, et je suis d’autant plus frustré que je ne peux pas voir les personnes qui sont en train de me voir nu. L’ascenseur remonte alors, tandis que les discussions et remarques se poursuivent, jusqu’à un nouvel arrêt où il se vide.
Pendant près de 2 heures s’enchaînent alors montées et descentes, avec la même honte et la même angoisse à chaque fois, allers et retours à vide ou en charge, avec des filles et des mecs qui ne lésinent pas sur les remarques et moqueries, et n’hésitent pas à prendre des photos ou parfois même me toucher. Au bout d’une énième montée, j’entends des voix connues me demander si je me suis bien amusé. Je comprends alors que c’est terminé, et en effet les filles m’enlèvent mon bandeau et mon baillon, puis pendant que l’une me tient à nouveau fermement les bras, une autre m’enlève les menottes, pour me les refermer aussitôt la rampe évitée.
En tirant mes bras tendus vers le haut, les filles me forcent à me pencher en avant, et je sens ce que je devine vite être un tampon pénétrer profondément dans mon anus. Avant de m’abandonner là, la fille que j’avais rencontrée sur Internet me dit :
« Tes fringues sont dans ta voiture, les clés de ta voiture et des menottes sont dans ma boîte aux lettres, et les clés de ma boîte aux lettres sont attachées à la ficelle qui dépasse de ton cul. Bonne soirée. »
Avant que j’ai pu dire ouf, les portes de l’ascenseur se referment et il monte à nouveau. Heureusement, encore une fois personne ne monte, et j’appuie tant bien que mal sur le bouton du rez-de-chaussée. Je profite alors de la descente pour essayer, avec beaucoup de difficultés dues aux menottes, de retirer le tampon de mon anus en tirant sur la clé. Après une sortie douloureuse, j’arrive enfin au rez-de-chaussée, et j’ai la mauvaise surprise de croiser un groupe d’étudiant(e)s qui, avant de monter dans l’ascenseur, en profite pour se moquer encore une fois de moi, nu, les mains attachées dans le dos, sortant de l’ascenseur avec un tampon bruni à la main. J’essaye de ne pas m’attarder sur les téléphones qui me prennent en photo, et rejoins les boîtes à lettres.
Malheureusement, j’ignore le nom de la demoiselle chez qui je m’étais rendu (elle m’attendais devant la résidence à mon arrivée, et son nom ne figurait pas sur sa sonnette), et je suis donc obligé d’essayer la clé dans toutes les boîtes jusqu’à trouver la bonne. De dos, avec les mains liées, ce n’est pas évident, et ce n’est qu’au bout d’une trentaine de serrures que j’ai enfin trouvé la bonne, après avoir encore croisé quelques groupes d’étudiant(e)s hilares. J’attrape tant bien que mal les clés qui se trouvent dans la boîte, et me détache rapidement mes bras endoloris. Je laisse tout sur place et pars nu sur le parking pour rejoindre ma voiture dans laquelle je retrouve mes vêtements.
Mesdemoiselles, si vous voulez m’aider, contactez-moi…
1. The end
2. Du blog à l'humiliation (6 chapitres) : ch.1, ch.2, ch.3, ch.4, ch.5, ch.6 (Quelle soirée!!!)
3. Un jeu de cartes, un pari (3 chapitres) : ch.1, ch.2, ch.3 (Attaché et humilié sur mon lit)
4. Une journée à la plage (En mini-jupe et bikini-string) et sa conséquence
5. La sieste (Découpage de vêtements), ses illustrations vidéos (1 et 2) et 2 compléments (1 et 2)
6. Nu sur le pallier (Trahi et bluffé), et son illustration vidéo
7. L'ascenseur (Quelle humiliation)
8. Humiliations en boîte (I et II)
9. Une autre humiliation en boîte
10. Soirée en public et Soirée en boîte (Déshabillé
par des filles)
11. Travesti dans la rue de mon quartier
12. Dans la
cage d'escaliers (Nu)
13. The girl next door (Scène tirée du film, nu dans la rue)
14. Kidnapping (Relâché nu)
15. Les vestiaires (A la douche au milieu des filles)
16. Déshabillé (Dans un lieu public)
17. Humilié devant tous les étudiants (ligotté nu aux casiers...)
18. Mecs habillés en filles (En public)
19. Une chtite vengeance bien humiliante (Nu en ville)
20. Aux toilettes... (Vol de pantalon)
21. La sieste II (Maquillage,...)
22. Le piège : le site de rencontres
23. Attaché nu dans la nature
24. Essayage (De tous
types de vêtements)
25. Vol de vêtements
26. Vol de vêtements 2
27. Papier toilette (Momifié, sans autres vêtements... Gare à la pluie)
28. A la laverie
29. Emballé et Duck taped (Attaché en public avec du
ruban adhésif ou du papier cellophane)
30. Illustration d'une visite à un salon Erotica (Volontaire imposé)
31. Soirée en public (exhibé devant tout le monde)
32. A disposition (Attaché à un banc)
33. Cul nu dans la rue (Vol de vêtements)
34. Enterré nu à la plage
35. Pantsing : 2 nouvelles
vidéos (Pantalon baissé en public)
36. Encore des vidéos de pantsing
37. Pantsing toujours
38. La photo... (Strip poker et diffusion sur le net)
39. La douche (Surpris par une amie)
40. Au ski (En jupe)
41. Pipi culotte
42. Un pari perdu, une vidéo (Nu à la plage)
43. La douche au sport (Vol de vêtements)
44. Spitting (Crachats dans la bouche)