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Mes articles préférés...

Pour vous simplifier la tâche et vous éviter d'avoir à feuilleter tout mon blog, tout en ne ratant pas l'essentiel, voilà la liste de mes articles préférés, classés dans l'ordre de préférence (la mienne, donc n'hésitez pas à en lire plusieurs quand même, selon vos préférences...) :

  1. The end
  2. Du blog à l'humiliation (6 chapitres) : ch.1, ch.2, ch.3, ch.4, ch.5, ch.6 (Quelle soirée!!!)
  3. Un jeu de cartes, un pari (3 chapitres) : ch.1, ch.2, ch.3 (Attaché et humilié sur mon lit)
  4. Une journée à la plage (En mini-jupe et bikini-string) et sa conséquence
  5. La sieste (Découpage de vêtements), ses illustrations vidéos (1 et 2) et 2 compléments (1 et 2)
  6. Nu sur le pallier (Trahi et bluffé), et son illustration vidéo
  7. L'ascenseur (Quelle humiliation)
  8. Humiliations en boîte (I et II)
  9. Une autre humiliation en boîte
10. Soirée en public et Soirée en boîte (Déshabillé par des filles)
11. Travesti dans la rue de mon quartier
12. Dans la cage d'escaliers (Nu)
13. The girl next door (Scène tirée du film, nu dans la rue)
14.
Kidnapping (Relâché nu)
15. Les vestiaires (A la douche au milieu des filles)
16. Déshabillé (Dans un lieu public)
17. Humilié devant tous les étudiants (ligotté nu aux casiers...)
18. Mecs habillés en filles (En public)
19. Une chtite vengeance bien humiliante (Nu en ville)
20. Aux toilettes... (Vol de pantalon)
21.
La sieste II (Maquillage,...)
22. Le piège : le site de rencontres
23. Attaché nu dans la nature
24. Essayage (De tous types de vêtements)
25. Vol de vêtements
26. Vol de vêtements 2
27. Papier toilette (Momifié, sans autres vêtements... Gare à la pluie)
28. A la laverie
29. Emballé et Duck taped (Attaché en public avec du ruban adhésif ou du papier cellophane)
30. Illustration d'une visite à un salon Erotica (Volontaire imposé)
31. Soirée en public (exhibé devant tout le monde)
32. A disposition (Attaché à un banc)
33. Cul nu dans la rue (Vol de vêtements)
34. Enterré nu à la plage
35. Pantsing : 2 nouvelles vidéos (Pantalon baissé en public)
36. Encore des vidéos de pantsing
37. Pantsing toujours
38. La photo... (Strip poker et diffusion sur le net)
39. La douche (Surpris par une amie)
40. Au ski (En jupe)
41. Pipi culotte
42. Un pari perdu, une vidéo (Nu à la plage)
43. La douche au sport (Vol de vêtements)
44. Spitting (Crachats dans la bouche)

Mercredi 22 février 3 22 /02 /Fév 13:50
Un jour, un bar, une jeune demoiselle, une rencontre...
Au cours de la discussion qui dévie rapidement vers des sujets plus ou moins coquins, j'en viens à évoquer le plaisir que me procurent les corps féminins entièrement épilés, ainsi que mon attirance pour le bondage et la soumission... Une première rencontre sympatique, une fille très ouverte et intéressante, un deuxième rendez-vous prévu, elle doit venir dîner chez moi.
Le jour J est arrivé, le rendez-vous était prévu à 20h, et je suis très impatient. Elle arrive avec un bon quart d'heure de retard, avec un petit sac à dos. Je me demande ce qu'il peut contenir, mais ne lui pose pas la question : cela ne me concerne probablement pas. Un bon dîner et quelques discussions plus tard, elle me propose de jouer un peu et de m'allonger en boxer sur mon lit... J'hésite mais je dois avouer qu'elle me plaît assez, et que sa proposition m'intrigue et m'excite à la fois.
J'accepte donc, et je la vois ouvrir son sac à dos. Je m'allonge comme prévu en boxer sur mon lit, et je la préviens que je suis prêt et qu'elle peut entrer. Je suis très excité de ne pas savoir ce qui m'attend, et déjà de savoir que cette fille que je connais à peine va me voir en boxer. Elle entre alors dans la chambre, et je m'aperçois qu'elle s'est changée et porte maintenant une magnifique robe en cuir très courte. Elle tient en main plusieurs cordes, et s'approche vers le sommet du lit de manière décidée. La vision de sa tenue et de son matériel m'excite encore plus. Je me doute de ce qu'elle va faire des cordres, et je ne sais pas pourquoi, mais je lui fais confiance et je la laisse faire. Elle m'attache donc chaque main à un pied du lit, puis me regarde avec un grand sourire amusé et sadique à la fois. J'ai peur et je suis excité en même temps, mais de toute façon maintenant que mes mains sont attachées, je ne peux plus rien faire. Elle s'approche alors de mes chevilles et leur fait subir le même sort que mes poignets. Me voilà alors attaché en croix sur mon lit, totalement livré. le fait qu'elle m'ait laissé mon boxer a tendance à me rassurer sur ses intentions.
Elle ressort alors de la chambre pour revenir quelques minutes plus tard. Je ne vois pas ce qu'elle est allée chercher, puisqu'elle garde ses mains dans le dos. Elle pose alors ce matériel par terre au bas du lit, de manière à ce que je ne puisse toujours pas le voir. Elle ôte alors sensuellement son string, ses fesses tournées vers mon visage de manière à ce que la faible longueur de sa robe me permette d'imaginer son sexe à la limite de celle-ci. Elle me met alors son tring dans ma bouche en guise de baîllon, puis monte sur moi à califourchon, à hauteur de ma poitrine, ses fesses tournées vers moi. Elle se penche alors en avant, et mon regard est tout de suite attiré par son sexe entièrement épilé qui apparaît devant mon visage. De toute façon ses fesses et son corps en général m'empêchent de voir grand chose d'autre, et en particulier je ne vois toujours pas le matériel qu'elle ramasse maintenant au sol.
C'est alors que je ses un matériau froid se glisser sous mon boxer, sur le côté gauche. Je peine à savoir de quoi il s'agit, mais la suite ne laisse plus de doute : ce sont des ciseaux. D'un coup, elle découpe donc le côté gauche de mon boxer, puis s'attaque rapidement à mon côté droit. Il ne lui reste alors plus qu'à tirer sur le morceau de tissu pour me mettre définitivement nu. L'excitation monte alors encore d'un cran.
Elle remonte alors un petit peu, et j'ai ses fesses au niveau de ma bouche. Vue l'odeur qu'émet son sexe, j'imagine qu'elle doit être aussi excitée que moi. C'est alors que je remarque qu'elle étale une substance plus ou moins liquide et chaude sur le haut de ma poitrine. J'imagine déjà du chocolat fondant qu'elle m'étalerait sur la corps avant de le lécher, mais quelques secondes plus tard seulement, elle pose une bande de tissu au même endroit, et tire d'un coup sec... Je laisse échapper un cri de douleur, masqué par son string qui obstrue toujours ma bouche. Ce n'était visiblement pas du chocolat, mais bel et bien de la cire. Mais que fait -elle ? Elle ne va quand même pas me faire ça ? Elle ne va pas m'épiler ? Surtout qu'avec moi il va y avoir du travail.
Elle me dit alors d'un air sournois... "Alors comme ça tu aimes que les filles soient intégralement épilées ? Eh ben tu vas voir ce qu'elles doivent endurer pour te faire plaisir".
Je sais à ce moment-là que je n'y échapperai pas... Que vais-je dire dans les vestiaires au prochain entrainement de hand ? C'est la honte tout le monde va se foutre de moi... Mon invitée reprend alors où elle s'était arrêtée. Mais malgré la crainte des conséquences et malgré la douleur provoquée, je bande encore et toujours et même de plus en plus fort. Après le torse et les bras, puis les jambes, elles me fait prendre une position très inconfortable afin de pouvoir s'occuper des quelques rares poils qui parsèment mon dos. Heureusement qu'il n'y en a pas beaucoup, et que c'est donc moins douloureux, car l'inconfort de la position accroît la difficulté. Une fois cela terminé, elle s'arrête un moment, et je me dis alors que j'ai peut-être échappé au pire puisqu'elle n'a pas touché à mes fesses et mon sexe. Mais mon soulagement est de courte durée, puisqu'elle s'attaque quelques secondes plus tard à mes fesses, n'hésitant pas à aller au plus profond, jusqu'au bord de mon anus. Cette zone est très sensible, et malgré mon baîllon, il n'est pas possible qu'elle n'entende pas mes gémissements de douleur. Pourtant elle continue, puis finit par me faire remettre sur le dos.
Je suis soulagé de reprendre une position plus confortable, mais je crains fortement la suite. J'ai envie de lui demander d'arrêter là, mais mon baîllon m'en empêche. Je sens alors la cire chaude couler à la base de mon sexe toujours douloureusement tendu, puis une douleur brève mais intense au moment où elle décide de retirer la bande. Cela se répète encore une dixaine de fois avant que le travail ne soit entièrement terminé, et je bande toujours aussi fort malgré la douleur provoquée au niveau de mon sexe. Je ne sais pas combien de temps la séance a duré en tout, mais cela doit bien faire deux heures que je suis là, nu, attaché au lit, en train de souffrir. Je n'en peux plus, mais ce doit être terminé. En effet, elle se tourne alors vers moi en me regardant toujours avec ce regard sadique, puis me retire le string de ma bouche. Visiblement contente d'elle, elle ne me laisse pas le temps d'articuler un mot et plaque son sexe trempé sur mes lèvres en m'ordonnant de le lécher. Je m'exécute alors avec plaisir, jusqu'à l'entendre rapidement partir dans un moment de plaisir intense.
Elle me détache alors, puis me dit que je peux me rhabiller. De retour au salon, la discussion reprend comme si de rien était, si ce n'est par nos regards complices et heureux. La seule allusion qui est faite à ce qu'il vient de se passer est quand je lui demande craintivement qu'est-ce que je vais bien pouvoir dire dans les vestiaires au porchain entraînement. Sa seule réponse est alors de me dire que ce n'est pas son problème.
Le ton de sa réponse et la honte que j'imagine vivre dans cette situation à venir font reprendre mon érection de plus belle. Quand elle décide de prendre congé une heure plus tard, celle-ci n'est toujours pas redescendue, malgré que nous ayions discuté de tout sauf de sexe, et je profite alors de ce moment pour me masturber, et j'ai alors un orgasme inimaginable en un temps record.


Voilà, c'est une expérience que je n'ai pas encore eu l'occasion de vivre, mais c'est un fantasme que j'aimerais bien réaliser, donc mesdemoiselles, si vous vous sentez l'âme d'une torsionnaire et si l'expérience vous tente, n'hésitez pas à me contacter...
Par AVS59 - Publié dans : Soumission
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Samedi 4 février 6 04 /02 /Fév 13:24

Bonjour à tous… Le scénario de self-bondage présenté dans l’article précédent m’a donné tellement envie, que je l’ai réalisé… Et comme promis, je viens vous faire profiter de cette expérience.

La taille de ma chambre ne me permettant pas de déplacer suffisamment mon lit, je me suis donc replié sur le salon, dans lequel je me suis décidé à déplacer la table, certes moins lourde, mais sur un revêtement de sol rugueux ne facilitant pas le déplacement.

Après avoir déposé la clé au sol, je me suis allongé pour estimer la longueur de ficelle (je n’avais pas de corde) nécessaire entre la table et mes chevilles, puis j’ai attaché celle-ci à un pied de la table. Je commençais déjà à être très excité par la situation, et je me suis empressé de passer un anneau autour de mon sexe, pendant que la taille de celui-ci le permettait encore, afin de retarder à accentuer plus tard un éventuel plaisir.

J’ai ensuite passé une ficelle autour de ma taille, puis après l’avoir fait contourner et enserrer mon sexe sous le string que j’avais mis pour l’occasion, je l’ai nouée à hauteur du bas de mes fesses, afin de pouvoir plus tard passer les menottes dans la boucle ainsi formée.

Mes menottes étant pour poignets et chevilles, j’avais décidé de me compliquer encore un peu la tâche en déposant au sol la clé pour les chevilles et en fixant celle pour les poignets à une des menottes de chevilles, de telle sorte que je ne pouvais donc la récupérer sans avoir libéré mes chevilles. J’ai donc accroché cette clé, puis refermé les menottes sur mes chevilles, avant de fixer celles-ci à la ficelle reliée à la table.

J’ai ensuite attrapé mon cadenas de vélo, qui m’a servi à serrer fortement mes jambes l’une contre l’autre en faisant 3 tours au niveau de mes mollets et genoux. Une ceinture a terminé mon ligotage des jambes en les enserrant en haut des cuisses. Je commençais alors à être très excité par la situation, et mon sexe commençait déjà à me faire mal dans mon string. J’ai alors passé la partie poignets des menottes dans la boucle de la ficelle qui enserrait mon sexe, et j’ai placé une ceinture autour de ma poitrine, de telle sorte que je puisse encore difficilement y glisser mes bras. J’y étais presque, et la tension était à son comble.

Je me suis alors allongé, un dernier petit coup d’œil à la clé, et je me suis placé mon masque sur les yeux, de telle sorte que j’étais plongé dans le noir absolu. Il me restait alors à passer mes bras dans la ceinture, ce qui ne fut pas chose aisée, et je me demandais d’ailleurs à ce moment-là si j’arriverais à me libérer même sans les menottes. J’ai ensuite passé ma main gauche dans la première menotte que j’ai refermée sans trop de difficultés, ce qui ne fut pas le cas de la seconde. En effet, la longueur de chaîne entre les menottes de chevilles et de poignets et la position de la boucle dans la ficelle à ma hanche maintenaient les menottes de poignets très bas, et j’arrivais tout juste à atteindre la seconde menotte avec ma main droite. Le peu de liberté de mouvement que me laissait alors la ceinture me donnait toutes les difficultés du monde pour attraper et fermer la menotte avec la main gauche. Tant et si bien qu’il me fallut bien 5 minutes avant de réussir à la refermer. Pendant ce temps, l’excitation provoquée par tous ces liens et la situation dans laquelle je me mettais, accentuée par les efforts que j’étais en train de fournir pour fermer cette dernière menotte et donc le manque d’oxygène provoqué ont fait monter mon plaisir de telle sorte qu’au moment même où je réussissais enfin à m’attacher, j’ai joui une première fois avec une force que je n’aurais même pas pu imaginer.

Heureusement que la menotte était maintenant fermée, car je ne sais pas si j’aurais eu la force de continuer sinon. Mais là je n’avais plus le choix. J’ai alors commencé à essayer d’avancer. Heureusement la rugosité du sol me permettait d’avoir des appuis, mais c’est cette même rugosité qui a fait qu’après seulement deux ou trois mouvements l’irritation provoquée me faisait mal partout, et mon string était descendu, laissant mon sexe frotter lui aussi sur ce sol. Chaque mouvement était alors encore plus pénible, et je commençais à douter, ce qui avait le don d’augmenter encore mon excitation et la douleur de mon sexe.

Quand enfin après de nombreux efforts, ma tête rencontra un obstacle, je fus à la fois étonné et paniqué de me rendre compte que ce n’était absolument pas la bouteille d’eau mais la baie vitrée. Les diverses idées qui me sont alors passées par la tête m’ont alors fait jouir une seconde fois, et à ce moment j’aurais aimé avoir un baillon pou masquer mes cris de plaisir.

J’ai supposé alors que la clé devait se trouver quelque part sur ma droite, étant donnée la disposition de la pièce et de la clé au départ. Mais se déplacer latéralement était, à cause de mes liens, encore plus difficile que d’avancer. Au bout de plusieurs nouvelles minutes d’effort, mon sexe n’ayant par ailleurs rien perdu de son ardeur, ma tête a enfin heurté la bouteille et mes mains n’ont alors eu aucune difficulté à attraper la clé.

Le soulagement n’allait malheureusement être que de courte durée. En fait, je me suis vite rendu compte que mes mains n’arrivaient pas à atteindre mes chevilles, même en pliant mes jambes au maximum. Le soulagement a alors cédé à la panique, et c’est dans un nouveau cri de plaisir que j’ai essayé de trouver une solution. La seule que j’ai trouvée était alors de réussir à me mettre à genoux, le poids de mon corps me permettant alors de plier suffisamment les genoux pour que mes mains atteignent mes chevilles. Mais c’était plus facile à dire qu’à faire, et le seul moyen que je voyais pour réussir à me mettre à genoux malgré mes liens était de m’aider du canapé, qui ne devait pas être loin. En prenant garde à ne surtout pas lâcher la clé, j’ai alors entrepris un dernier déplacement, et, en m’allongeant sur le côté puis en m’aidant de ma tête pour appuyer sur le canapé, je réussis enfin après plusieurs tentatives à me redresser et à me mettre à genoux. J’avais mal partout, mais la fin approchait.

Même s’il me fallut alors quelques tentatives infructueuses avant de réussir à trouver le trou de la serrure, la libération de la cheville détenant la clé pour les poignets ne fut pas la tâche la plus difficile, et l’ouverture des menottes de poignets non plus. Le soulagement me fit alors jouir une quatrième fois, et il ne me restait alors plus que deux difficultés à surmonter : réussir à sortir mes bras de la ceinture, ce qui ne fut pas une mince affaire, puis trouver où j’avais mis la clé du cadenas de mon vélo que j’avais oublié de préparer, et cela en sautant à pieds joints puisque mes jambes étaient fortement serrées entre elles. A cause des efforts précédemment réalisés, ce ne fut pas chose facile, mais je finis par y arriver. J’étais enfin parvenu à me libérer, et un rapide coup d’œil à l’heure me fit constaté qu’il s’était quand même passé une heure entre le moment où je m’étais masqué les yeux et celui où j’ai eu fini de me libérer.

Je suis alors resté un long moment allongé au sol, les yeux fermés, pour profiter au maximum de ce moment de relâchement et de soulagement, puis je me suis préparé à aller me coucher, en n’oubliant pas de prendre une cinquième fois du plaisir en repensant à l’aventure que je venais de vivre.

 

 

Voilà, je tenais à vous faire partager cette expérience (personnellement je ne pensais pas pouvoir jouir cinq fois dans la même soirée, et encore moins dans une heure de temps et avec cette intensité, mais ce fut un vrai délice), alors n’hésitez pas à faire part de vos commentaires.

Par AVS59 - Publié dans : Récits
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Lundi 30 janvier 1 30 /01 /Jan 08:06
Voilà un échange de messages trouvés sur le groupe msn : http://groups.msn.com/SecretsdeSecretaires. Très joli récit, très excitant, et j'essaierai peut-être un de ces jours de mettre ce scénario en pratique... Auquel cas je vous raconterai le déroulement de cette séance ici même... Mais en attendant régalez-vous avec ce texte...
 
Scénario de self-bondage...
 
 
Well, un sacré bout de temps que je ne dépose plus de message ici.
Trop de n'importe quoi.
L'esprit des débuts de SecretsdeSecretaires a changé, dommââge !
Même Jeanne fait faux bond, la gââârce !
Vous vous demandez ce que je deviens ?
Toujours secrétaire le jour et libidineuse le soir, perverse le week-end !
Its'nt !
Je viens lire aussi ce qui se passe sur MON site, well, faut pas l'oublier que c'est moi qui l'a créé.
Mon old cheap Quelqu'un me manque ces derniers temps, c'est qu'il a les doigts agiles, mais je compense en me faisant mes propres plaisirs.
Tout a commencé il y a trois mois, juste avant les fêtes qui font grossir.
Une admiratrice anonyme m'a proposée un scénario.
Quelque chose de spécial qui m'a de suite beaucoup amusée.
Ne serait-ce le moment pour élever le niveau de ce site de me proposer quelques scénarii semblables, si ils me plaisent et que je me sens presque jouir en les lisant, je vous ferais rapport de leur mise en réalité.
Well, voici un avant goût !
 
 
 

 
Chère Anamary, 
Je te suis depuis 2.000 dans la première version de SecretsdeSecretaires.
Je te sais jouisseuse, un peu sado, parfois maso, très jouisseuse de toi-même, je sais aussi que tu aimes te faire peur dans des situations sexuelles compliquées, aussi je vais te proposer quelque chose de très simple mais néanmoins diablement efficace pour te faire planer.
Le self-bondage.
Tu vas jouir dans l'émotion, comme moi ma choutte, tu penseras à moi lorsque tu seras en sueur et que tu hoquèteras de spasmes de jouissances sans savoir si tu arriveras à te libérer. Peut-être que non. C'est ça le challenge, que tu oses le faire sans savoir si tu t'en sortira. Mois je jouis déjà rien qu'à t'imaginer ! 
Ce que je vais te proposer est un de mes ligotages préférés et il m'est toujours très difficile d'arriver jusqu'au bout sans jouir... On verra s'il te fait le même effet. Je vais t'apprendre à distance à avoir des goûts semblables aux miens, tu devrais y trouver ton bonheur. Va savoir si tu y arrives si nous ne pourrions le faire ensemble, la première réussissant à se détacher empéchant l'autre de finir de se détacher, et cela pour une très longue période ! 
Tu dois disposer de quelques cordes et d'un moyen de t'entraver les poignets au moyen d'une serrure ou d'un cadenas (menottes, bracelets, chaînes, ...). 
Tu dois déposer la clef de tes bracelets à environ 5 mètres de ton lit, sur le sol. 
Tu te ligoteras les jambes l'une contre l'autre aussi solidement que possible (chevilles, genoux, cuisses), j'aime bien personnellement ajouter à cela un ligotage des orteils, mais comme c'est une de mes lubies, je te laisse libre de choisir la tienne. 
Tu attacheras ensuite une corde au pied de ton lit et l'autre bout de celle-ci entre tes chevilles. 
Tu ajusteras alors la longueur de cette corde de façon à ce que lorsqu'elle sera tendue et que toi même tu seras tout étirée à plat ventre sur le sol, il te resteras encore entre 50cms et 1 mètre entre ta tête et la clef.  Pour parcourir cette dernière distance, tu devras tirer sur tes chevilles pour déplacer ton lit (vérifie auparavant que c'est possible et qu'il y aura bien la place pour que ton lit puisse se déplacer de cette distance). 
Après tout cela, tu t'attacheras une courte corde sur elle-même (en cercle). Cette corde devra passer autour de ta taille dans ton dos, passer devant entre tes cuisses et remonter vers l'arrière. La longueur de cette corde devra être telle que la boucle passant entre tes cuisses ne remonte pas plus haut que le bas de tes fesses (prends garde à positionner les noeuds dans ton dos). La boucle émergeant sous tes fesses servira à faire passer la chaîne connectant tes menottes ou bracelets et servira à t'empêcher de remonter tes bras vers le haut. 
Quelques détails à rajouter et ce sera presque prêt : Si tu as un bâillon, mets-le. Pour améliorer le ligotage des bras, j'aime bien placer autour de mon buste une ou deux ceintures de cuir (ça pourrait être des cordes aussi). Tu devras ensuite faire passer tes bras dans ces ceintures, ce qui les maintiendra plaquées contre ton dos et cela te donnera un délicieux sentiment d'immobilisation. 
Mais avant de faire ça, tu te banderas les yeux solidement car tu vas devoir retrouver la clef à l'aveugle... 
Lorsque tout sera prêt tu te coucheras à plat-ventre au pied de ton lit, tu passeras tes bras dans les ceintures (il te faudra un peu te contorsionner pour y arriver), tu trouveras à tâton la boucle de corde émergeant d'entre tes cuisses, sous tes fesses, puis tu passeras la chaîne de tes bracelets dedans et... tu refermeras le cadenas. 
Tu seras ainsi ma prisonnière à distance ! Il ne te restera plus qu'à ramper sur le sol jusqu'à la clef... Tu verras, c'est fabuleux ! 
Lorsque je m'amuse comme cela, seule le soir ou devant mon amante, le must c'est de me ligoter la base des seins, je suis sure que ça te rendra ce scénario encore plus intéressant, essaie si tu l'ose ! et dis-moi ensuite sur Messenger ce que ça t'a fait, veinarde ! 
J'attends avec impatience le récit de ton aventure. 
Bises 
Carla/Ibiza
 

 


 


Ma chère Carla
Well, voici le rapport d'exécution de ton scénario qui, tu le verras, m'a procurée quelques frayeurs, fait perdre quelques litres de sueur, et m'a finalement donnée beaucoup de plaisir. Il est long, mais j'ai vécu hier une expérience forte, et te livre les choses comme elles sont venues.

Après avoir pensé toute la journée à ton scénario, je n'ai pu m'empêcher, en fin de journée, de commencer quelques préparatifs, afin que tout soit prêt, plus tard dans la soirée, au moment de commencer. 
J'ai fait quelques essais de me libérer de mes menottes les mains dans le dos, c'était excitant. Je n'ai pu m'empécher de me deshabiller complètement et de le refaire en me regardant dans un grand miroir. Me voir me contorsionner m'a émoustillée et j'ai joui comme une damnée. Well, merci, déjà ! Ne disposant pas de suffisamment d'espace dans ma chambre, j'ai choisi d'effectuer un autre essai dans ma salle de séjour, en ligotant mes chevilles et en liant l'autre extrémité à un canapé deux places. J'étais nue à ce moment là (détail aura son importance), je me suis étendue à plat-ventre sur le sol, en maintenant mes mains dans mon dos, et j'ai pu vérifier d'une part que j'arrivais à me déplacer et d'autre part qu'en fléchissant mes jambes, je parvenais à déplacer le canapé. A part le contact froid du carrelage qui m'a choqué au début, pas de difficulté particulière. J'ai ensuite repéré la corde qu'il faudrait utiliser, et l'endroit ou il faudrait déposer la clé des menottes, de manière à ce qu'il me faille déplacer le canapé de plus d'un mètre une fois la corde tendue. J'ai ensuite cherché une ceinture, et repéré le trou qu'il fallait utiliser afin de pouvoir y passer mes bras à l'intérieur, de manière à ce qu'ils soient plaqués contre mon dos. J'ai ensuite laissé sur le canapé mes différentes cordes, cette ceinture, mes menottes en métal, mon baillon boule, et de quoi me bander les yeux : deux rondelles de coton style "Demak'up" à placer sur mes yeux, et un masque de repos noir, comme j'en utilise parfois dans les avions. 
Tout était prêt, et peux-être ne me croiras-tu pas si je te dis que la simple vue de ces ustensiles semblant attendre la suite me procurait déjà une certaine excitation. Bien plus tard, le moment de commencer arriva. Après avoir tout revisualisé à de nombreuses reprises dans mes pensées, depuis la lecture de ton scénario jusqu'à la situation dans laquelle j'allais me placer, j'ai voulu me vêtir comme les héroines de mes photos de bondage préférées. Ton scénario ne précisait rien à ce sujet, j'ai donc pris cette liberté. Bien que cela ne soit pas vraiment de saison, j'ai passé une guépière noire, des bas noirs à coutures, mes escarpins noirs les plus hauts (12 cm), et enfin des gants noirs longs. Outre le coté esthétique, ces gants qui montent presque jusqu'à mes épaules ont l'avantage de protéger mes poignets des menottes. 
Je suis allée placer la clé des menottes à l'endroit prévu, puis j'ai noué la longue corde à un pied du canapé, après avoir vérifié que rien ne gênerait le  déplacement.  J'ai ensuite ligoté étroitement mes chevilles avec une longue corde, de manière à pouvoir effectuer une velture, puis je l'ai fait passer sous les talons de mes escarpins, les maintenant ainsi à mes pieds. J'ai ensuite ligoté mes genoux en les serrant au dessous puis au dessus à l'aide d'une unique longue corde. Pour finir avec mes jambes, une dernière corde servant plus à accentuer la sensation de pression qu'à m'entraver, à été serrée en haut de mes cuisses,  juste au dessus de mes bas, par dessus les jarretelles. J'ai ensuite noué l'extrémité de la longue corde reliée au canapé à celle ligotant mes chevilles. 
Je me suis ensuite appliquée à trouver la bonne longueur de la corde qui allait être nouée en boucle pour passer autour de ma taille, puis entre mes jambes, de  manière à ce que la boucle dépasse de peu entre mes fesses. Il m'a fallu quatre tentatives, qui de plus ont été laborieuses, pour trouver la bonne longueur, car la corde qui me serrait le haut des cuisses me gênait beaucoup pour passer la boucle entre mes jambes. Mais je n'ai pas voulu la défaire, et j'ai finalement réussi à la placer correctement. 
Puis, j'ai passé la ceinture autour de ma taille. J'ai ensuite serré le baillon boule derrière ma nuque. A ce moment là, il ne restait plus qu'à me bander les yeux et passer les menottes dans mon dos. J'ai longuement regardé les clés, sur le sol au fond de la pièce, et me suis imaginée en train de ramper jusque là-bas. Mes jambes serrées par les cordes, et la boule dans ma bouche, me procuraient déjà une excitation étonnament intense. J'étais déjà toute mouillée, its'nt ! 
J'ai placé le masque sur mes yeux, puis glissé par dessous les rondelles de coton sur mes paupières fermées. En essayant d'ouvrir les yeux j'ai pu vérifier que l'aveuglement était total. J'ai glissé mes bras dans mon dos sous la ceinture, avec quelque difficulté, puis j'ai trouvé les menottes à taton sur le canapé. J'ai ensuite du bout du doigt repéré de quel coté était le trou de serrure de chaque bracelet (ce qui n'est pas évident avec les gants), et verrouillé le premier sur mon poignet gauche, le trou du coté de mes mains. Ensuite, j'ai cherché avec ma main droite l'extrémité de la boucle de corde entre mes fesses, et j'y ai passé le bracelet droit. Quelques secondes de réflexion, puis je l'ai verrouillé sur mon poignet. 
Je ne sais comment l'exprimer, mais rien que ce deuxième clic, alors que j'étais encore assise sur le canapé, m'a fait avancer d'un pas dans l'excitation... 
Cette fois, j'y étais vraiment...
 

J'ai alors réalisé que j'avais oubliée de m'occuper de mes seins. Non pas en les ligotant à la base, comme tu l'avais suggérée, car la guépière m'en aurait empêchée, mais j'avais imaginée dans la journée de placer une corde au dessus, dessous, puis en la croisant, de manière classique. Mais il était trop tard à présent. Pas très grave, puisque j'étais quand même très étroitement ligotée. Il me restait, avant de commencer mon "voyage", à m'allonger à plat ventre au sol, ce qui était loin d'être un jeu d'enfant avec les talons, les jambes liées étroitement, et les mains dans le dos. Je me suis accroupie, et le reste du mouvement a du ressembler plus à une chute qu'à quelquechose de contrôlé. J'ai pu ensuite m'étendre complètement.  
J'ai dans un premier temps pu constater l'efficacité de mes liens. La position dans laquelle je me trouvais m'excitait de plus en plus, mes bras maintenus par la ceinture, la boucle de corde et les menottes étaient vraiment collés à mon dos. Et si je tirais sur mes bras, je sentais la pression de la corde entre mes jambes excitant mon clito... 
Et la première frayeur !!! Quand j'ai commencé à vouloir avancer, j'ai réalisé que mes escarpins n'avaient aucune adhérence sur le carrelage ! Lors de mon essai de la fin de journée, j'étais nue, je pouvais plier mes orteils et pousser sur mes pieds afin d'avancer. Mais là, ces escarpins pointus, dans lesquels mes orteils n'allaient pas jusqu'au point, et à la semelle de cuir lisse, glissaient complètement sur le sol.  Avant d'aviser, une pensée m'a traversée l'esprit, quelquechose comme "tu voulais du bondage, cette fois tu y es, ma grande..."  Et à la peur s'est mêlée une sensation qui ne devait pas être loin de l'orgasme. Pourtant, je n'en étais qu'au début... 
Well !
La corde sous les talons m'enpêchait d'enlever les escarpins, ce qui est fou car je n'avais pas du tout prévu ça, et je l'avais mise là plus par habitude, ou pour imiter certains clichés, que par réelle utilité. J'ai eu envie de dénouer mes chevilles, mais mes mains étaient tellement plaquées à mes fesses que je pouvais à peine toucher les cordes du bout des doigts, même en pliant les jambes à fond. Certainement pas les défaire. Quelques autres tentatives ne m'ont pas vue avancer d'un pouce. J'ai donc changé de stratégie. En roulant sur le coté, j'ai vu que je pouvais m'appuyer sur mon épaule dénudée, plier un peu mes jambes, puis effectuer un sursaut pour placer mon épaule quelques centimètres plus loin. Après quelques minutes (je crois) d'efforts, le constat était le suivant : la progression était plus lente et plus laborieuse que dans mes prévisions, l'effort que je faisais pour chaque sursaut me faisait déjà transpirer abondamment surtout avec les bas, guépière etc, mon souffle s'était accéléré et je salivais encore plus que d'habitude derrière mon baillon et surtout,  je commençais à avoir mal à la hanche. 
Je m'accordais donc un peu de repos à plat ventre. J'en profitais pour réaliser que prise par l'excitation, je n'avais absolument aucune idée de l'heure de début du scénario. Dommage, car j'aurais aimé confronter la durée réelle et celle ressentie. J'ai repris ensuite ma progression, sans problème particulier, si ce n'est ceux cités ci-dessus, qui ont causé plusieurs pauses. Enfin, j'ai senti mes chevilles retenues par la corde tendue. J'étais totalement en nage, et il me semblait que je luttais ainsi depuis au moins une bonne heure. 
Je me suis accordée une dernière pause à plat ventre, puis j'ai plié mes jambes pour tirer à moi le canapé. Et là, deuxième grosse frayeur, car au lieu de le sentir venir à moi, j'ai reculé en glissant sur le sol !!! Après avoir progressé à nouveau sur le coté, deuxième tentative, et même sanction. En fait, je faisais les frais de mes pulsions fétichistes : lors de mes essais, j'étais nue, et mon corps adhérait au carrelages. Mais là, mes bas et ma guépière glissaient sur le sol, et mon poids ne suffisait plus pour hisser le canapé. 
Quelle imprudente ! 
J'ai senti un frisson monter, fait de panique et d'excitation, j'étais là, en sueur sur le carrelage, prisonnière, et j'ai jouie comme je l'avais rarement fait dans mes expériences sexuelles. 

 

Une fois calmée, et mon souffle repris, la solution est venue, comme précédemment, de mes épaules : en me plaçant sur le coté, je pouvais appuyer sur mon épaule dénudée, alors qu'à plat-ventre ce n'était pas le cas. Et ainsi, en forçant progressivement pour plier mes jambes, j'ai senti que j'arrivais à déplacer le canapé. Ce n'était pas parfait, je glissais encore un peu, mais ça marchait. Probablement à cause de l'adhérence de mon épaule sur le carrelage. J'ai effectuée comme ça plusieurs tractions, avant de reprendre ma progresion. Puis j'ai avancée, en rampant sur le coté, jusqu'à ce que la corde soit à nouveau tendue. Je n'avais senti ni la clé, ni le tabouret placé sur le côté, qui devait me servir de repère. Je devais donc à nouveau tirer un peu le canapé. 
Mais une dernière difficulté m'attendait : j'ai senti d'un coup le canapé se bloquer. Je savais qu'aucun objet n'entravait sa progression, j'avais vérifié. J'ai compris alors qu'un de ses pieds devait buter sur un join du carrelage. Mais quelques efforts supplémentaires m'ont permis de débloquer la situation. Enfin, mon épaule à touché le tabouret repère, et quelques centimètres plus loin, j'ai pu mettre la joue sur la clé. J'étais exténuée, mais heureuse, car je redoutais une dernière difficulté surprise dans la recherche de la clé. 
Quelques dizaines de centimètres de mou suppléntaire gagnés dans la corde, et j'ai pu hisser mes fesses, donc mes mains, au niveau de la clé. En me mettant sur le côté, j'ai pu les saisir sans trop tatonner. Mais ultime, mais non des moindres, difficulté : impossible d'accéder à la serrure des menottes. La boucle jouait parfaitement son rôle, en maintenant mes mains vers le bas. Mais surtout, je crois qu'à force de ramper, la ceinture était descendue au maximum sur mon bassin, et appuyait de plus en plus fort sur mes poignets, et les plaquant contre moi. Ce qui me donnait très peu de liberté pour plier mes mains et accéder à la serrure. Cette dernière montée d'adrénaline, ainsi que la pression de la corde entre mes jambes quand je tirais dessus, m'a conduite au septième ciel une deuxième fois... 
Puis j'ai repris mes contorsions, et du batailler pendant une éternité. Mes doigts, et mes poignets me faisaient mal. J'ai du mettre en fait une vingtaine de minutes, je pense, avant de me libérer. Trempée, exténuée, mais rassurée. J'ai glissé le bras libre sous la ceinture, et arraché mon bandeau. Puis débouclé la ceinture, et ramené mon autre bras avant de le libérer de sa paire de menottes pendante. Enfin, j'ai enlevé le baillon qui me faisait mal à la machoire, un filet de salive s'en échappant.  Je suis restée là un moment, à récupérer, les jambes toujours ligotées. J'étais trempée. Même mes bas étaient trempés sur mes jambes. Quelques minutes plus tard, j'ai oté les gants, et fini de me libérer, puis me suis débarassée de mes dessous humides. 
Après une bonne douche méritée, je suis allée me coucher sur mon lit, ou, je pense que tu le comprendras ; la remémoration de cette expérience m'a conduit tout naturellement à me caresser de mes mains libres cette fois, d'où... une derniere montée de plaisir. 
J'écris ce rapport ce soir, je n'en ai pas eu la force hier soir. Je suis par contre pressée de te faire partager cette expérience extraordinaire que tu m'as faite vivre. Ce scénario était certes banal pour toi, je pense que tu te places dans des situations plus complexes. Mais pour moi, et avec les imprévus rencontrés, ce fut une aventure inoubliable. Bien vite que nous le fassions ensemble, un même soir, dans la même pièce, j'en suis déjà de nouveau toute excitée
Merci

Kissssssssssssssss  

Anamary

Par AVS59 - Publié dans : Récits
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Lundi 16 janvier 1 16 /01 /Jan 09:27

J'ai regardé hier le film "The girl next door". Une scène m'a beaucoup excité, et j'aimerais bien la vivre dans la peau de Matthew, alias Emile Hirsch.

Après avoir vu "par hasard " sa nouvelle voisine (Danielle, alias Elisha Cuthbert) se déshabiller dans sa chambre, celle-ci passe le chercher et l'emmène faire un tour du quartier en voiture, et exige comme compensation qu'il se déshabille lui-aussi. Il s'exécute donc un peu penaud et se place en slip devant la voiture dans le champ des phares. Malheureusement cela ne suffit pas à Danielle qui exige de tout voir. Après un premier refus, elle commence à klaxonner. De peur que tout le quartier ne vienne voir la scène, Matthew s'exécute alors finalement. Le voilà alors totalement nu dans la rue dans le champ des phares de la voiture... Se demandant ce qu'il va se passer ensuite, il voit la voiture démarrer rapidement et doit donc s'écarter pour ne pas se faire écraser. Danielle s'arrête alors pour ramasser le slip, puis redémarre en trombe, laissant le pauvre Matthew totalement nu, en pleine rue, qui plus est dans son propre quartier...

J'aimerais donc beaucoup vivre cette situation, quelle que soit la raison pour laquelle on me ferait mettre nu devant la voiture (pas besoin que ce soit ma voisine, et pas besoin que je l'ai vue se déshabiller avant, ça peut être la suite d'un pari perdu, ou bien n'importe quoi d'autre...). Alors si une fille a envie d'abandonner un mec nu dans la rue, qu'elle n'hésite pas à me contacter pour essayer de vivre ce fanstasme...




Ici l'article avec l'extrait du film en vidéo

Par AVS59 - Publié dans : Exhibition
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Mercredi 11 janvier 3 11 /01 /Jan 12:40

De retour après de bonnes fêtes et des vacances bien méritées, je profite de mon passage sur mon blog pour vous souhaiter à toutes et tous mes meilleurs voeux pour l'année 2006, qu'elle soit pleine de désirs et de plaisirs coquins.

J'ai fait mon possible pour que les photos dans les articles s'affichent, ça devrait marcher pour le grande majorité des articles maintenant.

Sinon n'hésitez pas à laisser vos commentaires si mon blog vous plait (ou ne vous plait pas d'ailleurs), ou à me contacter pour me proposer votre aide pour réaliser mes fantasmes que vous y trouvez ou pour me proposer de publier vos fantasmes ou récits.

A très bientôt pour de nouveaux articles, et encore une fois...

Bonne année 2006 à toutes et tous

Par AVS59 - Publié dans : Infos
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