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Mes articles préférés...

Pour vous simplifier la tâche et vous éviter d'avoir à feuilleter tout mon blog, tout en ne ratant pas l'essentiel, voilà la liste de mes articles préférés, classés dans l'ordre de préférence (la mienne, donc n'hésitez pas à en lire plusieurs quand même, selon vos préférences...) :

  1. The end
  2. Du blog à l'humiliation (6 chapitres) : ch.1, ch.2, ch.3, ch.4, ch.5, ch.6 (Quelle soirée!!!)
  3. Un jeu de cartes, un pari (3 chapitres) : ch.1, ch.2, ch.3 (Attaché et humilié sur mon lit)
  4. Une journée à la plage (En mini-jupe et bikini-string) et sa conséquence
  5. La sieste (Découpage de vêtements), ses illustrations vidéos (1 et 2) et 2 compléments (1 et 2)
  6. Nu sur le pallier (Trahi et bluffé), et son illustration vidéo
  7. L'ascenseur (Quelle humiliation)
  8. Humiliations en boîte (I et II)
  9. Une autre humiliation en boîte
10. Soirée en public et Soirée en boîte (Déshabillé par des filles)
11. Travesti dans la rue de mon quartier
12. Dans la cage d'escaliers (Nu)
13. The girl next door (Scène tirée du film, nu dans la rue)
14.
Kidnapping (Relâché nu)
15. Les vestiaires (A la douche au milieu des filles)
16. Déshabillé (Dans un lieu public)
17. Humilié devant tous les étudiants (ligotté nu aux casiers...)
18. Mecs habillés en filles (En public)
19. Une chtite vengeance bien humiliante (Nu en ville)
20. Aux toilettes... (Vol de pantalon)
21.
La sieste II (Maquillage,...)
22. Le piège : le site de rencontres
23. Attaché nu dans la nature
24. Essayage (De tous types de vêtements)
25. Vol de vêtements
26. Vol de vêtements 2
27. Papier toilette (Momifié, sans autres vêtements... Gare à la pluie)
28. A la laverie
29. Emballé et Duck taped (Attaché en public avec du ruban adhésif ou du papier cellophane)
30. Illustration d'une visite à un salon Erotica (Volontaire imposé)
31. Soirée en public (exhibé devant tout le monde)
32. A disposition (Attaché à un banc)
33. Cul nu dans la rue (Vol de vêtements)
34. Enterré nu à la plage
35. Pantsing : 2 nouvelles vidéos (Pantalon baissé en public)
36. Encore des vidéos de pantsing
37. Pantsing toujours
38. La photo... (Strip poker et diffusion sur le net)
39. La douche (Surpris par une amie)
40. Au ski (En jupe)
41. Pipi culotte
42. Un pari perdu, une vidéo (Nu à la plage)
43. La douche au sport (Vol de vêtements)
44. Spitting (Crachats dans la bouche)

Dimanche 18 septembre 7 18 /09 /Sep 00:00

Voilà la dernière partie du récit... Si quelqu'un trouve un moyen pour m'aider à vivre une soirée dans ce style, n'hésitez pas...

 

Arrivés sur le pallier, Stéphanie demande à tout le monde d'enlever ses chaussures pour éviter de salir l'appartement. Ceci fait, tout le monde entre, mais la transpiration due à la marche laisse des traces sur le carrelage, et Stéphanie saute sur l'occasion pour dire que ça ne va pas. C'est alors ma fête puisque c'est à moi ou plus particulièrement à ma langue que va revenir la tâche de laver les pieds de ces demoiselles. L'une après l'autre, elles s'asseyent donc face à moi, et me tendent leurs pieds que je suis dans l'obligation de lécher avec application, en passant partout (y compris entre les orteils), quelle que soit l'odeur dégagée. Si cela est supportable avec les filles qui portaient des sandales, ça l'est beaucoup moins avec celles qui portaient des bottes, et surtout des baskets, ce qui est notamment le cas d'Aurélie et de Mélanie, qui me tendent à leur tour leurs pieds, un grand sourire aux lèvres.

Ce travail étant terminé, Marion se plaint d'avoir froid aux pieds. Stéphanie lui répondit alors :

-   Ok, vous allez pouvoir remettre vos chaussures, mais il faut d'abord les laver. On n'a qu'à demander à notre esclave de le faire.

-   Ca tombe bien, j'avais justement marché dans une merde de chiens juste avant de rentrer, répond Mélanie.

Après avoir lavé les pieds, me voilà donc obligé de laver les chaussures de toutes les demoiselles. Mais Mélanie bluffait, j'en suis sûr… enfin j'espère. Ma langue commence donc son travail, méticuleusement, et s'occupe de nettoyer les chaussures, le dessus mais aussi la semelle. Je prends les chaussures dans l'ordre où elles me sont données, et je dois avouer que terminer par les baskets de Mélanie ne m'enchante guère, car la crainte qu'elle ait dit la vérité va croissant. Quand enfin j'arrive à cette dernière paire, je me rends malheureusement compte qu'elle n'avait pas bluffé, mais les quelques violents coups de pieds que je reçois dans le cul me font vite oublier mes réticences. Et les baskets de Mélanie y passent comme les autres, pendant que j'essaye de retenir les hauts le cœur provoqués par le goût très gênant de cette substance brunâtre présente sur la semelle.

La soirée se termine enfin, et j'ose demander à récupérer les photos, ou bien à ce qu'elles soient détruites.

-   Tu rêves, répondit Mélanie, mais ne t'inquiètes pas tu les auras, j'ai ton adresse mail. Et de toute façon, tu ne seras pas le seul à les avoir.

-   Comment ça ?

-   Bon je vous rappelle la consigne les filles. Envoyez-moi toutes les photos que vous avez prises, et je ferai un album de photos numériques complet que je vous renverrai à toutes. Il vous suffira alors de le publier sur tous vos blogs et sites persos, afin d'en faire profiter tout le monde. Vous pourrez aussi l'envoyer à toutes vos correspondantes sur le net, en n'oubliant pas de mettre notre esclave en copie pour qu'il puisse voir le nombre de filles qui auront vu ses photos, avec un message du genre : "Voici des photos d'une soirée géniale. Ce mec s'est trop pris la honte, mais pour que ça continue, transférez ce message à toutes vos correspondantes sur le net, en n'oubliant pas de mettre cet esclave (….@….com) en copie afin qu'il voit le nombre de filles qui auront vu ces photos.".

-   Vous n'allez quand même pas faire ça ? (D'autant que c'est ma vraie adresse mail qui a été donnée, et non celle avec laquelle j'échange sur mes fantasmes...)

-   On va se gêner… De toutes façons, tu n'es qu'un esclave et tu n'as donc pas ton mot à dire. De plus, on fera une petite séance vidéo au club la semaine prochaine. Interdite aux moins de 18 ans bien sûr.

-   Comment ça vidéo ?

-   Ben oui. Tu n'as pas vu les caméras dans la chambre, le salon et la salle de bains, et celle que tenait Noémie dans ses mains quand on est allés en ville ? Toute la soirée a été filmée, et il ne nous reste plus qu'à faire le montage.

N'en croyant pas mes oreilles, je faillis fondre en larmes, quand tout le monde éclata de rire.

-   C'était une blague pour la vidéo… Mais pour les photos, on ne va pas se gêner. Bon allez il est temps que tu t'en ailles.

Stéphanie me reconduit alors à la porte, mais je lui fais remarquer que je suis encore nu avec des chaussures à talons.

-   Oui, on sait, répond Mélanie. Tu récupèreras tes fringues demain au club, et si tu es sage, c'est-à-dire si tu arrives nu avec juste tes chaussures, on t'enlèvera les cadenas.

Stéphanie ouvre alors la porte, me pousse sur le pallier et referme la porte à clefs derrière moi. Ne comptant pas me laisser faire, je sonne alors longuement, mais on ne m'ouvre pas, et au bout de quelques secondes, la sonnerie a dû être coupée, car elle ne retentit plus. Je me rends alors compte que je n'ai pas le choix, à moins de tambouriner à la porte au risque d'ameuter tout l'immeuble. Comme je ne suis pas fier de ma situation, je me résigne donc à rentrer chez moi, nu et en talons. Le trajet est d'autant plus long que j'ai mal aux pieds et que j'essaye de me cacher au maximum des passants. Quand enfin j'arrive chez moi, je suis bien obligé de me coucher avec ces chaussures qui me traumatisent les pieds.

Le lendemain, après une nuit passée essentiellement à gamberger sur cette soirée, je me conforme donc aux consignes et arrive nu au club, avec ces chaussures que je ne peux toujours pas enlever. Ma part du marché étant respectée, on me rend alors mes vêtements. Une fois habillé, je suis sommé de pisser dans mon pantalon si je veux qu'on me détache mes chaussures. J'ai beau souligner que c'était pour la soirée uniquement que j'avais promis mes services, je ne peux faire autrement que d'obéir, si je veux enfin être libéré de cet instrument de torture.

La fin du week-end et les jours suivants ne sont que doutes et craintes, et heures passées devant mon ordinateur pour voir si elles mettront leurs consignes en pratique ou pas… En effet, si Mélanie envoie les photos à toutes les filles de la soirée, et à ses autres correspondantes, ça fera déjà une vingtaine de filles qui les auront, et si celles-ci respectent la consigne et l'envoient à une dizaine de correspondantes en moyenne, ça fera deux cents, puis deux mille, et ainsi de suite… je sais bien comment fonctionnent les chaînes de messages du type "Tw : …". Pourvu donc qu'elles ne le fassent pas.

Par AVS59 - Publié dans : Récits
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Samedi 17 septembre 6 17 /09 /Sep 00:00

Avant-dernière partie du récit...

 

L'ascenseur n'étant bien entendu pas assez grand, cette ballade commence par l'expérience douloureuse que constitue la descente à pieds de quinze étages en talons hauts. Mais ce n'est rien à côté de ce qui m'attend, puisqu'à peine arrivé dans la rue, j'observe les regards des passants qui me croisent ainsi accoutré, des porte-jarretelles à la robe, dont la longueur est telle qu'on aperçoit presque le bas de mes fesses. Après un bon quart d'heure de marche douloureuse (pour les pieds), à subir les regards moqueurs et les commentaires désobligeants des passants, on arrive enfin au centre ville, qui malheureusement est encore bien vivant (on est samedi soir, c'est normal). On s'arrête alors au milieu de la rue, et Marion me dit :

-   Pisse dans ta jupe.

Je la regarde d'un air interloqué, et elle me répète alors ce qu'elle vient de dire, sur un ton beaucoup plus directif encore. Réalisant alors que j'ai bien compris et que je n'ai pas le choix, je me lance honteusement dans cette tâche, alors que les regards de tous les passants amusés se tournent vers moi, attirés par mon accoutrement et par ce groupe de filles qui m'entourent avec un rire moqueur. Je me retrouve alors avec une énorme tache sur la jupe, et la très désagréable sensation de porter des sous-vêtements mouillés. Heureusement la ballade se termine, et on entre alors dans un bar.

L'ambiance y est plutôt sympa, la musique aussi, et visiblement une table avait été réservée pour nous, car à part cette grande table, il n'y a plus une seule place disponible. Bien entendu, mon arrivée est saluée par des rires et des sifflements, mais sinon ça se passe plutôt calmement. Jusqu'au moment où Marion m'ordonne, suffisamment fort pour que tout le monde entende dans le bar :

-   Debout, sur la table !!!

Je m'exécute péniblement alors que tous les regards se tournent vers moi.

-   Regarde, ils ont tous envie de te voir à poil. N'est-ce pas ?

Un oui massif se lève dans le bar, et immédiatement Marion déchire ma robe, et je me retrouve en sous-vêtements sexy.

-   Elle n'est pas belle comme ça ? Vous en voulez plus ?

Au oui général qui monte de la salle, Marion s'empresse de détacher violemment mon bustier, pendant qu'Aurélie déchire mes bas et que Mélanie s'occupe de mon string. Me voilà donc nu (ou presque puisque j'ai encore les sandales), dans un bar, debout sur la table, au milieu d'une bonne centaine de personnes (à vue d'œil), dont la plupart utilisent un appareil photos ou un téléphone portable pour immortaliser le moment. On me fait alors mettre à quatre pattes sur la table, avant de me remettre le collier que j'avais auparavant. Stéphanie sort alors la laisse de son sac, la fixe à l'anneau du collier, me fait descendre de la table sous les rires des clients, et attache l'autre bout de la laisse au pied de sa chaise. La soirée continue donc ainsi, moi, nu à quatre pattes aux pieds de la table, certains clients me caressant le dos ou la tête en passant.

Tellement pris par la honte de la situation, je ne réfléchis pas trop à ce qui va se passer après. C'est au moment où les filles payent leurs consommations et se préparent que je commence à me demander comment on va rentrer. Visiblement, les filles ne se posent pas la question puisque Mélanie attrape l'extrémité de la laisse et me traîne vers la porte d'entrée. Pris de panique, j'ose signaler que je suis nu. Mal m'en a pris puisque tout ce que cela m'a apporté, c'est un coup de pied, provenant d'une chaussure très pointue, dans le derrière.

Je suis donc malgré moi le groupe de filles qui s'engagent à l'extérieur, et je me retrouve alors nu, à quatre pattes, tenu en laisse, avec des chaussures à talons aux pieds, au beau milieu de la rue où les passants se retournent en rigolant. Je suis alors poussé par mes maîtresses à avoir un comportement semblable à un vrai chien, et donc en particulier à faire mes besoins dans la rue. D'un côté, ça tombe bien puisque la pâtée pour chiens a du mal à passer, mais en même temps, faire mes besoins devant tout le monde en levant la patte me gêne terriblement. Je m'exécute toutefois, n'ayant de toutes façons pas d'autre choix. Après une vingtaine de minutes de marche, on arrive enfin de nouveau à l'appartement. Je ne sens plus ni mes genoux, ni mes pieds.

Arrivés sur le pallier...

A bientôt pour la fin de l'histoire...

Par AVS59 - Publié dans : Récits
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Vendredi 16 septembre 5 16 /09 /Sep 00:00

Suite encore...

Je suis alors libéré, et on me fait bien comprendre que, pendant toute la soirée, si une fille a besoin d'aller aux toilettes, on recommencera. On me rattache alors mains et pieds entre eux, et on me laisse le bandeau sur les yeux. Au bout de quelques instants, je sens quelque chose me chatouiller les lèvres. Deux doigts me serrent alors les narines, et j'ai à peine ouvert la bouche que cet objet s'y insère. La forme, la taille et la matière ne me laissent guère de doute sur la nature de l'objet : ce doit être un gode ceinture. On m'enlève alors mon bandeau, et  ma vue confirme cette impression. Juste à cet instant je sens une vive douleur au niveau de l'anus, et je me rends compte que le même objet se trouve alors enfoncé entre mes fesses.

-   Suce, m'ordonne alors Marine, à qui est harnaché le gode qui est dans ma bouche.

Je m'exécute alors, pendant que je sens derrière moi des mouvements de va et vient, dont la douleur initiale laisse progressivement place au plaisir. La sonnerie retentit alors, et je me demande qui vient, sachant que je suis nu et dans une position très humiliante au milieu du salon, dans lequel se trouve la porte d'entrée. Sans s'en inquiéter, Stéphanie va ouvrir. Je peux alors apercevoir un jeune homme d'une vingtaine d'années, qui ne semble pas surpris en me voyant ainsi. Surpris au début, je comprends vite qu'il a été appelé par les filles. Très vite, il baisse son pantalon, et présente son sexe à la place du gode que manipulait Marine. Refusant d'ouvrir la bouche, je subis alors le même traitement que précédemment, accompagné d'une fessée magistrale, et je finis par laisser ce sexe pénétrer dans ma bouche. On m'ordonne à nouveau de sucer, et de bien tout avaler et nettoyer à la fin.

Me voilà donc en train de lécher, sucer et astiquer ce sexe inconnu, m'appliquant en espérant que ça permette de terminer plus vite. Pendant ce temps, le plaisir apporté par les va et vient entre mes fesses me fait presque oublier ce que je suis en train de faire. Jusqu'à ce que j'aperçoive à nouveau le flash d'un appareil photos. Quand enfin je sens que le jeune homme va jouir, la crainte de ce qui va arriver me fait me contracter fortement, et le resserrement de mon anus autour du gode augmente le plaisir, et je finis par jouir en même temps que lui, sans même avoir été touché, ce qui provoque à nouveau une hilarité générale et une déferlante de flashes.

- Il doit bien aimer ça en fait…

Je me force alors à avaler tout ce qui arrive dans ma bouche, et à méticuleusement nettoyer le sexe de ce jeune homme, même si la baisse d'excitation due à mon éjaculation a nettement augmenté l'écœurement provoqué. Pensant enfin en avoir terminé, et plus honteux que jamais, je baisse la tête dès que le sexe a quitté ma bouche. Je sens le gode quitter mon anus, mais alors que je baisse tout juste ma garde, le sexe du jeune homme me pénètre violemment. Visiblement, son sexe doit être bien plus gros que les jouets utilisés auparavant, car je ressens d'abord une douleur, qui se transforme au gré des va et vient en un plaisir intense. Je bande à nouveau très fort, ce qui a le don de faire rire les demoiselles :

-   Eh, mais on dirait vraiment qu'il aime ça…

Cela dure encore bien 5 minutes, jusqu'à ce que le jeune homme se vide en moi pour la deuxième fois, avant de se retirer et de s'en aller.

-   Bon, c'est pas tout ça, mais il faudrait peut-être songer à y aller…

Où ça y aller ? C'est quoi ces histoires ? On ne va quand même pas continuer la soirée à l'extérieur ? Malgré tout, je n'ose rien dire, et j'attends craintivement les ordres qui vont m'être donnés.

-   Rhabille-toi ma belle, me lance alors Mélanie d'un ton moqueur, tout en m'envoyant ma robe et les autres vêtements que je portais en début de soirée. Et après assieds-toi ici.

Je m'exécute, et je me retrouve assis sur une chaise devant une glace, entouré de plusieurs filles qui en profitent pour me maquiller. Rouge à lèvres, far à paupières, fond de teint, vernis à ongles pour les mains et les pieds,… j'ai droit à la totale. On me mettra même deux bagues, un pendentif, et une paire de boucle d'oreilles à clipper. Pour terminer les préparatifs, on ferme mes sandales à l'aide de petits cadenas, de telles sorte que je n'ai absolument aucun moyen de m'en séparer.

-   C'est bon, elle est prête, on peut y aller.

L'ascenseur...

A bientôt pour la suite...

Par AVS59 - Publié dans : Récits
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Jeudi 15 septembre 4 15 /09 /Sep 00:00

3ème partie du récit...

 

La crainte de ce qui va m'arriver alors fait monter en moi une bouffée de chaleur, et mon sexe est à nouveau dans une érection presque douloureuse. Marion, une jolie blonde aux yeux bleus, dont la jupe cache tout juste les fesses, s'approche alors de moi et soulève ma jupe. La vue de la bosse dans ce string juste assez grand pour accueillir mon sexe fait naître de nouveaux éclats de rire.

-   Eh ben ça l'excite dirait-on.

-   C'est bien parce que c'est quand même plus joli à voir comme ça.

-   Bon les filles on attaque ?

-   Oui dépêchons.

Sans avoir le temps de dire ouf, je suis mis à terre d'un croche-pieds magistral, mes jambes et le haut de mon corps étant maintenus au sol par Marion et Stéphanie. Les prises sont efficaces, et je suis complètement immobilisé. Une belle rousse, apparemment prénommée Lisa, se charge alors de m'ôter mon tablier et ma robe, sous les applaudissements des autres invitées. On me relève alors, et je suis alors là, en bustier, string et porte-jarretelles, sans oublier les talons hauts, à la merci des appareils photos qui sont à nouveau de sortie, me flashant par devant et par derrière, dans l'hilarité générale. J'essaye alors de masquer mon visage avec mes mains, mais non seulement cette tentative s'avère inutile, mais en plus elle provoque l'agacement de Marion qui me projette à nouveau à terre.

Je suis à nouveau immobilisé, et Stéphanie propose alors à Mélanie de venir terminer le travail, ce qu'elle s'empresse d'accepter. Mélanie est une très belle jeune fille de 18 ans, brune, sportive, mais surtout c'est aussi une bonne copine, drôle et intéressante, toujours pleine de vie et de joie… en bref, elle me plaît beaucoup. Le fait que ce soit elle qui s'approche de moi renforce encore mon sentiment de honte, mais aussi fait monter mon excitation à son comble. Mélanie se charge donc de détacher lentement mon bustier, l'enlève, puis s'occupe de mes bas et porte-jarretelles, après avoir soulagé mes pieds en ôtant mes sandales. Me voilà avec pour tout vêtement un string qui ne contient plus que très difficilement mon sexe dans une érection phénoménale.

-   A poil, à poil, à poil…

Là, plus de doute, je vais y passer. Je suis remis debout, Marion me tenant les mains dans le dos, et les filles comptent alors ensemble jusqu'à trois. A trois, Mélanie se charge de baisser d'un coup mon string qui laisse apparaître mon sexe, dans un fou rire général, et au milieu des flashs qui se multiplient à nouveau. A ma grande crainte, c'est Aurélie qui se charge d'alimenter l'appareil de Mélanie en photos.

Me voilà donc totalement nu au milieu de ces quinze filles, le sexe en l'air, et les mains maintenues dans le dos, puis bientôt attachées solidement devant moi par une paire de menottes. Elles me demandent alors si j'ai faim, et comme je n'ai rien mangé et surtout ayant peur de leur réaction si je refuse, j'acquiesce. On me demande alors de me mettre à quatre pattes, et on me passe un collier avec un anneau autour du cou. De la même manière que mes mains sont attachées entre elles, mes pieds se retrouvent aussi liés. Même à quatre pattes, mes déplacements sont ainsi difficiles. Je suis alors Stéphanie jusque dans la cuisine, et je la vois vider une boîte de pâtée pour chiens dans une gamelle qu'elle pose devant moi, en m'ordonnant de surtout bien tout manger. C'est alors un défilé de jeunes filles qui passent à tour de rôle dans la cuisine pour se moquer de moi et immortaliser en photos ce moment, où un mec nu avec un collier mange de la pâtée dans une gamelle. Bien que ce soit écœurant à souhait, je m'applique pour bien lécher la gamelle jusqu'à la dernière miette, afin d'éviter toutes représailles. Quand j'ai terminé, je reviens au salon, toujours à quatre pattes.

-   Tu dois avoir soif maintenant, non?

Ayant très peur de ce qui m'attend, j'ose un non discret. Malheureusement, comme je pouvais m'y attendre, une main s'écrase violemment sur mes fesses nues.

-   Tu n'as aucun droit de répondre non à quiconque ici. Et de toute façon, tu n'as pas le choix, mes toilettes sont en panne, et je commence à avoir besoin de faire pipi.

Je cherche autour de moi qui a pu dire cela, mais je me doute que ce doit être Stéphanie. C'est en effet elle qui me met une laisse et me traîne jusque dans la salle de bains, où je dois m'allonger sur le dos dans la baignoire, avant que mes mains et mes pieds ne soient attachés à des crochets présents dans les murs. De mon côté, je suis presque paniqué, mais en même temps excité en me disant que je vais voir les parties intimes de ces filles, et en particulier de Mélanie. Malheureusement on me passe rapidement un bandeau sur les yeux, puis on me bouche le nez avec une pince à linge, de telle manière que je suis obligé de conserver la bouche ouverte. D'un coup, je n'entends plus rien. Contrairement à ce que j'aurais pu penser, le fait de ne rien voir n'enlève rien à mon excitation, même si j'ai très peur de la suite des évènements. J'entends enfin la porte s'ouvrir puis se refermer, et je suis alors très surpris d'entendre une fille dire à voix basse :

-   Tu n'as qu'à te mettre là, comme ça tu verras tout, sans me voir moi.

La honte s'empare alors un peu plus de moi, car non seulement je vais me faire pisser dessus, mais en plus devant témoin(s). Et si c'était Aurélie ou Mélanie d'ailleurs. Toujours est-il que je sens la baignoire vibrer, puis quelques secondes plus tard, je reçois un jet puissant sur le ventre. Comme je le craignais, ce jet remonte progressivement jusqu'à se déverser dans ma bouche. Le nez bouché, ma seule solution pour pouvoir à nouveau respirer est d'avaler le tout. C'est à ce moment que j'entends une nouvelle fois les bruits de déclenchement d'un appareil photos. Non, pas ça quand même…

 

Mais bon, je ne peux rien faire, et son jet est interminable. Je veux bien croire qu'elle devait avoir besoin. Quand j'entends à nouveau la porte s'ouvrir, je me rends compte que je n'ai pas fini de boire, puisqu'une autre jeune fille prend la place. Je vais ainsi subir successivement quatorze jets plus ou moins odorants et acides, me rendant alors compte qu'Aurélie ou Mélanie étaient alors forcément passées par là. Avant que ne sorte la dernière, la voix de Mélanie demande à cette jeune fille de prendre sa place, et je comprends alors que c'était elle qui devait assister à tout et prendre les photos… La catastrophe.

 

-   A mon tour maintenant… dit-elle alors dans un éclat de rire.

Je ne peux malheureusement pas voir la couleur de mon visage, mais je peux nettement imaginer que la honte procurée doit le rendre rouge vif. Mais je n'ai pas beaucoup le temps de penser à tout ça, puisque rapidement, un grand flot se déverse directement dans ma bouche. Et elle doit avoir beaucoup bu dans la journée, ou bien elle se retient depuis longtemps, car c'est de loin celle qui va déverser le plus de liquide sur moi, et le tout dans ma bouche.

 

Je suis alors libéré, et on me fait bien comprendre...

La suite au prochain épisode...

Par AVS59 - Publié dans : Récits
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Mercredi 14 septembre 3 14 /09 /Sep 00:00

Voici donc la suite de mon récit...

 

Je me sens toujours aussi mal à l'aise, mais je me place debout à côté de la porte, en attendant les premières arrivées. C'est alors que commence un "défilé" de jeunes filles, toutes plus jolies les unes que les autres, qui ne peuvent retenir au mieux un sourire en me voyant ainsi habillé. Je me charge ainsi de ranger les vestes d'au moins une dizaine de demoiselles, et je me demande combien vont encore arriver quand arrive la première grosse surprise et la première vraie honte de la soirée : la sonnette retentit une nouvelle fois, et j'ouvre donc la porte comme je le fais déjà depuis un moment, quand je vois sur le pallier deux visages parfaitement connus, puisque Aurélie et Mélanie font du sport dans le même club que moi. Elles ne peuvent se retenir d'éclater de rire, pendant que de mon côté j'aimerais me cacher ou me réveiller de ce cauchemar. Ayant repris leur sang froid, les filles me jettent leur veste, que je n'ai d'autre choix que de ranger avec les autres, et ferment la porte à clé derrière elle, emportant la clé dans leur poche. Mon idée de m'enfuir en vitesse devient alors pure illusion., et quand on me demande d'approcher de la table où sont disposés les verres, je le fais d'un pas hésitant, autant du fait de la honte que je viens de recevoir que de ces chaussures à talons dans lesquels je commence à avoir mal aux pieds, essayant toujours de conserver un équilibre minimum.

Je n'ose alors plus lever la tête, de peur de croiser les regards d'Aurélie ou de Mélanie, quand j'entends Stéphanie annoncer :

-   Asseyez-vous les filles. Par contre, je n'ai pu trouver que onze chaises, donc avec les trois places dans le canapé, il va quand même manquer un siège. Je propose donc qu'on demande à notre esclave de se mettre à quatre pattes pour remplir cette fonction.

Sachant que je n'ai de toutes façons pas d'autre solution, je me mets donc à quatre pattes, et les filles s'asseyent, laissant le soin à Aurélie de s'asseoir sur mon dos. La direction dans laquelle je suis installé faisant de plus que Mélanie se trouve juste dans mon champ de vision, j'ai très vite le réflexe de baisser la tête afin d'éviter son regard, dans lequel j'ai le temps d'apercevoir un mélange de fierté, de puissance et de moquerie.

L'apéritif est donc servi, les filles trinquent, et c'est parti pour de longues conversations de filles. De mon côté, malgré la position désagréable, surtout dans la durée, l'excitation est toujours à son comble. J'entends alors Aurélie prononcer les mots suivants :

-   On m'avait bien dit dans le mail que c'était à toi le blog et qu'on allait bien s'amuser en répondant à ton annonce. Et bien là c'est clair, on va bien rigoler… toi certainement moins…

Les filles éclatent de rire, et je me demande alors qui a bien pu me découvrir et me dénoncer ainsi. Malheureusement, mes réflexions sont de courte durée, puisque interrompues rapidement par un ordre de Stéphanie me demandant de débarrasser les verres et de dresser la table pour le repas. Aurélie se lève alors, et, après avoir eu bien du mal à me relever, entre mes genoux endoloris et mes talons qui me font très mal aux pieds, je m'exécute. C'est alors que j'entends les premiers bruits d'appareils photos, et que je suis mort de trouille en apercevant que Mélanie en tient un dans ses mains. Pourvu qu'elle ne les montre pas au club…

Stéphanie propose alors à tout le monde de passer à table, autour de laquelle se trouvent à présent quinze chaises, ce qui me prouve que l'excuse trouvée auparavant pour que je serve de chaise était bidon. La table se trouvant sur un tapis, les filles sont invitées à se déchausser avant de s'installer, pour ne pas salir le tapis. De mon côté, je peux très bien conserver mes talons, puisqu'ils n'ont pas servi à l'extérieur et ne sont donc pas sales. Je fais donc le service, avec toujours autant de mal à ne pas tomber, et quand j'ai terminé, il m'est demandé de m'allonger sous la table et d'y rester jusqu'à la fin du repas.

Me voilà donc allongé sous la table, au milieu des quinze paires de pieds, nus ou en chaussettes, qui dispensent un mélange d'odeurs à la fois écœurant et envoûtant. Je ne sais combien de temps durera le repas, puisque j'ai un peu perdu la notion du temps au milieu des discussions entre ces jeunes filles qui ne cessent de me donner des coups de pieds, de me chatouiller avec ceux-ci, ou de les approcher de mon nez. Quand enfin la fin du repas arrive, je me relève péniblement et je me charge de débarrasser la table, pendant que les filles s'installent confortablement pour discuter. A la fin de cette tâche, je reviens au salon et m'apprête à m'asseoir quand j'entends :

-   Non mais ça ne va pas??? Qui t'a permis de t'asseoir?

Je me relève donc immédiatement et Mélanie reprend de plus belle :

-   Ah on va enfin pouvoir s'amuser un peu.

La crainte de ce qui va m'arriver alors...

La suite pour bientôt...

Par AVS59 - Publié dans : Récits
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