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Mes articles préférés...

Pour vous simplifier la tâche et vous éviter d'avoir à feuilleter tout mon blog, tout en ne ratant pas l'essentiel, voilà la liste de mes articles préférés, classés dans l'ordre de préférence (la mienne, donc n'hésitez pas à en lire plusieurs quand même, selon vos préférences...) :

  1. The end
  2. Du blog à l'humiliation (6 chapitres) : ch.1, ch.2, ch.3, ch.4, ch.5, ch.6 (Quelle soirée!!!)
  3. Un jeu de cartes, un pari (3 chapitres) : ch.1, ch.2, ch.3 (Attaché et humilié sur mon lit)
  4. Une journée à la plage (En mini-jupe et bikini-string) et sa conséquence
  5. La sieste (Découpage de vêtements), ses illustrations vidéos (1 et 2) et 2 compléments (1 et 2)
  6. Nu sur le pallier (Trahi et bluffé), et son illustration vidéo
  7. L'ascenseur (Quelle humiliation)
  8. Humiliations en boîte (I et II)
  9. Une autre humiliation en boîte
10. Soirée en public et Soirée en boîte (Déshabillé par des filles)
11. Travesti dans la rue de mon quartier
12. Dans la cage d'escaliers (Nu)
13. The girl next door (Scène tirée du film, nu dans la rue)
14.
Kidnapping (Relâché nu)
15. Les vestiaires (A la douche au milieu des filles)
16. Déshabillé (Dans un lieu public)
17. Humilié devant tous les étudiants (ligotté nu aux casiers...)
18. Mecs habillés en filles (En public)
19. Une chtite vengeance bien humiliante (Nu en ville)
20. Aux toilettes... (Vol de pantalon)
21.
La sieste II (Maquillage,...)
22. Le piège : le site de rencontres
23. Attaché nu dans la nature
24. Essayage (De tous types de vêtements)
25. Vol de vêtements
26. Vol de vêtements 2
27. Papier toilette (Momifié, sans autres vêtements... Gare à la pluie)
28. A la laverie
29. Emballé et Duck taped (Attaché en public avec du ruban adhésif ou du papier cellophane)
30. Illustration d'une visite à un salon Erotica (Volontaire imposé)
31. Soirée en public (exhibé devant tout le monde)
32. A disposition (Attaché à un banc)
33. Cul nu dans la rue (Vol de vêtements)
34. Enterré nu à la plage
35. Pantsing : 2 nouvelles vidéos (Pantalon baissé en public)
36. Encore des vidéos de pantsing
37. Pantsing toujours
38. La photo... (Strip poker et diffusion sur le net)
39. La douche (Surpris par une amie)
40. Au ski (En jupe)
41. Pipi culotte
42. Un pari perdu, une vidéo (Nu à la plage)
43. La douche au sport (Vol de vêtements)
44. Spitting (Crachats dans la bouche)

Vendredi 23 juin 5 23 /06 /Juin 16:08

Je sais, ça fait un moment que je n'étais pas là, mais il faut avouer que je n'ai pas énormément de temps, et surtout que je n'ai pas de nouveaux fantasmes à vous faire partager tous les jours. En voici en tous cas un, et si vous avez envie de m'aider à le réaliser (avec Mel et Aurélie ou non, cela peut être quelqu'un d'autre), n'hésitez pas à me contacter...

A bientôt j'espère...

Ca fait déjà un moment que je demande à Mel de jouer avec moi sur msn et qu’elle me promet qu’on le fera une autre fois… Ce jour-là, pour la provoquer un peu et lui donner envie de jouer, je lui lance un défi. Le lendemain, on doit en effet se rendre à la plage avec une bande de copains, et je lui propose donc que le gagnant choisisse le maillot de bains et la tenue du perdant pour y aller. Comme je le pensais, elle accepte alors de suite et choisit le démineur, parce qu’elle n’aime pas les autres jeux. Je suis alors très confiant, car je ne suis plutôt pas mauvais à ce genre de jeux où la logique et la déduction ont une part importante. On décide de jouer en 5 parties gagnantes. Mais à ma grande surprise, Mel se débrouille pas mal du tout non plus, la partie est très serrée, et c’est elle qui s’impose 5 parties à 4. Elle s’empresse alors d’éteindre sa cam, un grand sourire vicieux aux lèvres, et de prendre congé en me donnant rendez-vous le lendemain matin vers 9h30 chez moi, soit une demi-heure avant l’heure de départ prévue.

La nuit passe alors tranquillement, alors que je me demande lequel de mes maillots elle va bien pouvoir choisir. Le lendemain, je suis prêt quelques minutes en avance, et j’en profite donc pour étaler sur mon lit mes maillots de bains, ainsi qu’une partie de mes vêtements, afin de lui faciliter le choix. Pile à l’heure, elle arrive, accompagnée d’Aurélie. J’ouvre la porte et je suis surpris que Mel porte un sac à dos. Mais je me dis que c’est son sac pour la plage et qu’elle a préféré ne pas le laisser traîner dans la voiture. La vue de mes maillots étalés sur mon lit fait apparaître chez les filles un sourire malicieux. Mel dit alors :

« Je vois que tu as tout préparé, c’est bien, mais ce n’était pas nécessaire, on a apporté tout ce dont tu as besoin ».

Elle me tend alors le sac à dos, que je m’empresse d’ouvrir. Je ne comprends pas trop quand je vois sur le haut du sac un haut de bikini :

« Tu as dû te tromper de sac, ou bien tu as oublié ton maillot dans celui-ci ? »

Aurélie me répond de suite :

« Non il n’y a pas d’erreur, tu as demandé à Mel de choisir ton maillot et tes fringues pour aujourd’hui, alors les voilà »

A la fois surpris et dépité, je leur réponds :

« Vous n’allez quand même pas me faire porter un bikini ? »

Elles confirment alors que c’est bien ce qu’elles veulent, et me disent que de toutes façons tous les copains qui viennent avec nous sont au courant et vont bientôt arriver, et que je n’ai donc pas le choix si je suis honnête et que je respecte mes engagements. Si je ne respecte pas ma parole, non seulement je n’irai pas à la plage avec eux, mais en plus je risque de perdre plusieurs amis.

Je me résigne alors à m’enfermer dans ma chambre pour enfiler le maillot et le reste des fringues, en me disant que le ridicule ne tue pas. Je m’efforce tout d’abord de mettre le haut de bikini, en y insérant les faux seins qui se trouvent à côté de lui dans le sac, puis je commence à enfiler le bas quand je me rends compte que ce n’est pas un simple bikini, mais bel et bien un bikini-string. Je finis alors de l’enfiler, et je sors en colère dans ma chambre pour engueuler les filles et leur dire qu’il est hors de question que j’aille sur la plage dans cette tenue. Malheureusement, à peine sorti, je suis assailli par 2 flashes d’appareils photos, un de face et un derrière moi. Le moment de surprise passé, je me reprends alors et continue de dire ce que j’avais à dire. Mais la réponse de Mel ne se fait pas attendre :

« J’ai allumé ton ordinateur, et j’ai préparé un mail. Si tu ne finis pas de t’habiller et si tu ne viens pas, j’y insère la photo et je l’envoie à tous mes contacts, en leur demandant de faire suivre. Et imagine si je l’envoie à 20 personnes, et qu’ensuite, chacune d’elle fait de même,… Au bout de 3 mails, il y aura déjà 8000 personnes qui t’auront vu ainsi. Et je te laisse imaginer le nombre de sites sur lequel ta photo va vite apparaître. »

Complètement dépité, je réalise vite qu’il vaut sans doute mieux qu’une centaine de personnes me voient en bikini-string sur la plage, que plusieurs centaines de milliers grâce au Net. Je retourne donc dans ma chambre pour finir de m’habiller, et je sors du sac un petit haut blanc en laine, fait de très grandes mailles, qui font qu’il ne cache absolument rien. Me disant que pour cela, ça aurait pu être pire, et qu’elles avaient donc peut-être été plus sympas sur le reste des fringues, après le coup du maillot. Mais je me rends vite compte que je me suis trompé quand je sors du sac une mini-jupe, vraiment très courte, en toile blanche légère. Je l’enfile à contre-cœur, et cela confirme qu’elle arrive tout juste en-dessous du bas de mes fesses.

Peu fier, je sors alors rejoindre les filles. Aurélie dit alors à Mel :

«  Tu vois, je t’avais bien dit qu’elle serait assez transparente et qu’on verrait tout. »

Ni une, ni deux, je comprends tout de suite ce qu’elle veut dire, et me regarde dans le miroir de la salle de bains, dans lequel ma crainte se confirme, puisque le tissu de la jupe laisse apparaître absolument tout ce que je porte en-dessous, malgré la couleur bleu ciel du string. Je m’apprête de nouveau à refuser, quand Mel me montre son appareil photos, pour me rappeler ce qui se passerait dans un tel cas. Je me tais donc, et c’est Aurélie qui prend la parole, en me disant que j’ai oublié quelque chose. J’ai beau réfléchir, je ne vois pas. Elle me signale alors que je suis pieds nus, et je sors alors mes sandales. Aurélie reprend alors :

« Tu chausse bien du 43 c’est ça ? »

Je confirme alors, et Mel m’indique que par conséquent, mes chaussures sont aussi dans le sac. Etant donnée ma pointure, je ne me fais malgré pas trop d’inquiétudes sur ce point. Mais je déchante vite, en sortant du sac une paire de sandales à talons hauts (à vue d’œil, je dirais au moins 8 cm), et à longues lanières prévues pour remonter le long de la cheville et du mollet. Surpris, je retourne vite les chaussures, et je vérifie malheureusement qu’il s’agit bien d’une pointure 43. Ecœuré mais n’ayant pas trop le choix, je m’assieds sur le lit, et m’affaire à les enfiler quand on sonne à la porte. Mel me dit alors de finir de me préparer pendant qu’elle va ouvrir, ce sont sans doute les autres qui arrivent. J’ai juste le temps de finir de nouer les chaussures et de me relever difficilement avant que la porte de l’appartement s’ouvre, et laisse place aux 4 copains et 3 copines qui doivent nous accompagner. Ils éclatent de rire en me voyant, puis se mettent à me siffler et à me faire la bise. Mel propose alors de partir, maintenant que je suis prêt et que tout le monde est là. Je demande une dernière fois, penaud :

« Vous n’êtes pas sérieux, vous n’allez quand même pas me faire sortir comme ça ? »

Les regards et rires qui s’ensuivent me confirment malheureusement que si. Quand je m’apprête alors à prendre mon sac à dos avec ma serviette et ma crème solaire, Mel me fait comprendre que ce n’est pas la peine, car tout est disponible dans le sac qu’elle a ramené et qui contenait les vêtements. Je vais donc le chercher. Tout le monde sort, et, n’ayant pas trop le choix, je les suis. Heureusement, les voitures sont garées juste en bas de l’immeuble, et je n’ai croisé aucun voisin dans les couloirs. Après une petite heure de route, la mer est en vue. Malheureusement, il fait très beau, et il y a donc foule en ce week-end. Les places de parking sont rares, et nous sommes obligés de nous garer à l’écart, à au moins 2 kilomètres de la plage. Le stress monte alors d’un coup, car non seulement je vais m’exposer à la vue de tous, mais en plus, il va falloir que je marche pendant plus de 2 kilomètres avec ces chaussures qui me font déjà mal aux pieds rien qu’en étant assis.

A peine sortis de la voiture, les premiers regards surpris et hilares se tournent sur moi, et les premiers appareils photos immortalisent ce jour. Nous voilà partis vers la plage, et j’essaye tant bien que mal de tenir debout, tout en évitant de faire de trop grands mouvements pour ne pas trop faire voler la jupe. Au bout de quelques minutes, je me rends compte qu’Aurélie distribue un tract à chaque personne prenant des photos de moi. Je lui demande alors ce que c’est, et elle m’en tend un sur lequel je peux lire :

« N’oubliez pas de lui transférer les photos que vous prenez de lui à esclave59000@hotmail.com, et de le mettre en copie quand vous les envoyez par mail à vos contacts, et n’hésitez pas à les afficher sur vos blogs et sites personnels, en lui envoyant les adresses. »

Je me sens alors tellement mal que je suis incapable de réagir. Le chemin se continue ainsi jusqu’à notre arrivée sur la plage, où nous nous installons dans un endroit très fréquenté. Tout le monde se met alors en maillot, et on m’incite à faire de même. Tellement soulagé de pouvoir quitté mes chaussures, je m’exécute rapidement. Puis vient l’heure de la baignade, un des moments les moins gênants, car je suis dans l’eau et on ne voit donc pas mon string, et peu mon haut de bikini.

Après quelques minutes, nous sommes de retour sur la plage, et chacun se fait tartiner de crème solaire. Je m’allonge sur la serviette rose qui m’a été donnée par les filles, qui se proposent pour m’étaler la crème qu’elles sortent de mon sac. J’accepte volontiers, plutôt excité par cette idée. Le moment est agréable, mais je suis surpris par leur éclat de rire dès qu’elles ont fini. N’arrivant pas à comprendre pourquoi, je laisse tomber et profite du soleil. Mais je ne sais pas trop comment me mettre, à cause de la présence des nombreuses personnes qui sortent encore leur appareil photos et à qui Aurélie distribue encore et toujours ses tracts. En effet, me mettre sur le ventre a le mérite de masquer mon visage, mais tout le monde peut voir mes fesses et le fait que je porte un string, alors que me mettre sur le dos cache le string, mais mon visage peut apparaître sur les photos avec mon bikini. Je change donc régulièrement, en me faisant le plus discret possible.

Vient alors l’heure du retour. Je me rhabille donc, et nous repartons pour une demi-heure de torture pour mes pieds. Le retour se passe tranquillement, et je retrouve avec plaisir mon appartement, tandis que les autres repartent chez eux. Je m’empresse alors de me déshabiller, puis je m’apprête à aller sous la douche quand je passe devant le miroir, dans lequel je m’aperçois étonnamment bronzé. Je retourne chercher le flacon de crème, sur lequel je vois : crème autobronzante. Je retourne alors me voir dans la glace, et je suis anéanti et voyant clairement les marques du string et du haut de maillot de bain. Je sais alors que je n’ai pas fini d’être humilié, car, faisant du sport, un certain nombre de personnes vont très certainement voir ces marques de bronzage.

Je me résigne car je ne peux de toutes façons rien faire, et je prends ma douche. Après le dîner, je me décide à aller voir mes mails, comme d’habitudes, et je m’aperçois alors très vite que ma messagerie est surchargée. Je passe alors plus de 3 heures à lire les 300 mails reçus, contenant des photos de moi dans la journée, et à visiter les dizaines de blogs et sites personnels sur lesquels ces photos s’affichent. Je décide alors d’aller me coucher et je m’endors difficilement…

Par AVS59 - Publié dans : Humiliation
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Mardi 18 avril 2 18 /04 /Avr 15:02

Bonjour à toutes et à tous… Un autre petit scénario qui m’excite beaucoup et que j’aimerais bien mettre en pratique, même s’il y a des jours où je me dis que je n’oserais jamais… Donc si il y a une (ou des) amatrice pour m’aider à vivre cette expérience, n’hésitez pas à me contacter….

 

 

 

 

Une demoiselle rencontrée sur Internet, un défi idiot que j’ai accepté de relever, un échec, et me voilà obligé de la laisser faire de moi ce qu’elle veut pendant 2 heures, ici dans sa chambre de la résidence étudiante où elle vit. Rapidement, elle m’enlève mon tee-shirt et m’attache les mains dans le dos avec une paire de menottes. On frappe à la porte et deux de ses copines viennent la rejoindre. La situation est quelque peu gênante, mais cela ne fait que commencer.

Les filles s’empressent en effet d’enlever le reste de mes vêtements, me bandent efficacement les yeux avec un bandeau, et me baillonnent avec une de mes chaussettes.

Puis elles me guident alors en me poussant à avancer. Une porte s’ouvre, et je me demande où on m’emmène, car à part la salle de bains, l’appartement ne comprend pas d’autres pièces. Après quelques pas, je comprends vite que ce n’est pas la salle de bains (à moins qu’elle soit immense), et que je suis dans le couloir de la résidence. J’essaye alors de me débattre et de ne plus avancer, mais dans le noir, à un contre trois, et avec mes bras dans le dos pour me faire souffrir dès que je me débats un peu trop, la partie est inégale, et je n’ai d’autre choix que d’avancer, lentement mais sûrement.

Quand enfin on s’arrête, je n’attends que quelques secondes avant d’entendre une porte d’ascenseur. Ma première pensée est d’imaginer qui peut bien en sortir, mais l’absence de bruit et le fait qu’on me fasse avancer à nouveau me laisse penser que l’ascenseur était vide. Mais ce qui se prépare est peut-être encore pire, puisque visiblement on veut m’emmener dans une autre chambre ou bien même dehors. Mais alors que je suis maintenant dans l’ascenseur, la porte ne se referme pas. J’imagine qu’une des filles maintient donc la porte ouverte. Pendant ce temps, une seconde fille me sert fortement les bras l’un contre l’autre dans mon dos, à tel point qu’elle me fait mal, et je sens une menotte s’ouvrir. J’aimerais en profiter pour m’échapper, mais mes bras me font tellement mal que je n’ai pas la force de les écarter pour me débattre. Une main féminine se saisit alors de ma main qui n’est plus menottée, qui touche au passage une paroi métallique, qui doit être une des parois de l’ascenseur, pour lui refermer la menotte après l’avoir déplacée de quelques centimètres. On me relâche alors, mais en essayant de me mettre dans une posture un peu plus agréable, je me rends compte que je suis maintenant attaché à une rampe située dans l’ascenseur (une main de chaque côté).

J’entends alors les filles me dire « A tout à l’heure » dans un fou rire, puis la porte de l’ascenseur se refermer et l’ascenseur monter. Est-ce que ce sont elles qui se sont amusées, est-ce que c’est quelqu’un d’autre qui l’appelé et qui va monter ? Je n’en sais rien, mais la honte est à son comble au moment où les portes s’ouvrent à nouveau. Quand elles se referment et que l’ascenseur reste sur place, je me rends compte que personne n’est monté, et que ce sont les filles qui l’avaient envoyé plus haut. Mais de toute façon le problème n’est que repoussé, car j’ignore pour combien de temps je suis là, mais j’imagine bien qu’on en va pas me libérer dans 30 secondes.

Une minute plus tard, l’ascenseur redescend, mais plus longtemps que pour la montée précédente, et ma honte monte encore d’un cran, surtout quand j’entends plusieurs voix, féminines et masculines, alors que l’ascenseur ralentit. Quand les portes s’ouvrent, les rires et remarques désobligeantes n’arrangent pas les choses, et je suis d’autant plus frustré que je ne peux pas voir les personnes qui sont en train de me voir nu. L’ascenseur remonte alors, tandis que les discussions et remarques se poursuivent, jusqu’à un nouvel arrêt où il se vide.

Pendant près de 2 heures s’enchaînent alors montées et descentes, avec la même honte et la même angoisse à chaque fois, allers et retours à vide ou en charge, avec des filles et des mecs qui ne lésinent pas sur les remarques et moqueries, et n’hésitent pas à prendre des photos ou parfois même me toucher. Au bout d’une énième montée, j’entends des voix connues me demander si je me suis bien amusé. Je comprends alors que c’est terminé, et en effet les filles m’enlèvent mon bandeau et mon baillon, puis pendant que l’une me tient à nouveau fermement les bras, une autre m’enlève les menottes, pour me les refermer aussitôt la rampe évitée.

En tirant mes bras tendus vers le haut, les filles me forcent à me pencher en avant, et je sens ce que je devine vite être un tampon pénétrer profondément dans mon anus. Avant de m’abandonner là, la fille que j’avais rencontrée sur Internet me dit :

« Tes fringues sont dans ta voiture, les clés de ta voiture et des menottes sont dans ma boîte aux lettres, et les clés de ma boîte aux lettres sont attachées à la ficelle qui dépasse de ton cul. Bonne soirée. »

Avant que j’ai pu dire ouf, les portes de l’ascenseur se referment et il monte à nouveau. Heureusement, encore une fois personne ne monte, et j’appuie tant bien que mal sur le bouton du rez-de-chaussée. Je profite alors de la descente pour essayer, avec beaucoup de difficultés dues aux menottes, de retirer le tampon de mon anus en tirant sur la clé. Après une sortie douloureuse, j’arrive enfin au rez-de-chaussée, et j’ai la mauvaise surprise de croiser un groupe d’étudiant(e)s qui, avant de monter dans l’ascenseur, en profite pour se moquer encore une fois de moi, nu, les mains attachées dans le dos, sortant de l’ascenseur avec un tampon bruni à la main. J’essaye de ne pas m’attarder sur les téléphones qui me prennent en photo, et rejoins les boîtes à lettres.

Malheureusement, j’ignore le nom de la demoiselle chez qui je m’étais rendu (elle m’attendais devant la résidence à mon arrivée, et son nom ne figurait pas sur sa sonnette), et je suis donc obligé d’essayer la clé dans toutes les boîtes jusqu’à trouver la bonne. De dos, avec les mains liées, ce n’est pas évident, et ce n’est qu’au bout d’une trentaine de serrures que j’ai enfin trouvé la bonne, après avoir encore croisé quelques groupes d’étudiant(e)s hilares. J’attrape tant bien que mal les clés qui se trouvent dans la boîte, et me détache rapidement mes bras endoloris. Je laisse tout sur place et pars nu sur le parking pour rejoindre ma voiture dans laquelle je retrouve mes vêtements.

 

 

 

 

 

 

Mesdemoiselles, si vous voulez m’aider, contactez-moi

Par AVS59 - Publié dans : Humiliation
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Lundi 20 mars 1 20 /03 /Mars 09:10

Suite et fin de mon fantasme...

Pensant que c’est enfin terminé, je me détends un peu en attendant qu’on finisse de me libérer. Mais je comprends vite aux visages de mes visiteuses que je n’ai pas fini d’être humilié. Mélanie monte alors sur mon torse et maintient mon visage entre ses genoux. Pendant ce temps, une des filles que je ne connais pas approche un bâton de rouge à lèvres de mon visage, et entreprend de déposer ce maquillage sur mes lèvres. Vient ensuite le tour de mes yeux, puis Mélanie s’enlève, et me maintient la main gauche à plat, la paume contre le lit. Aurélie commence alors à me vernir les ongles d’un rose semblable à celui du rouge à lèvres. Mes deux mains puis mes deux pieds y passent.

Après un certain nombre de nouvelles photos, Aurélie dit :

« Voilà, on en a fini avec toi, mais on n’a pas fini de se marrer avec ce qu’il y a d’écrit sur toi, tes poils en moins, le maquillage, et toutes les photos qu’on a prises »

Mais une autre fille lui demande alors d’attendre, et lui chuchote quelque chose à l’oreille. Je l’entends ouvrir une boîte puis un plastique, puis se diriger entre mes jambes, dans un fou rire général. Mélanie demande alors d’attendre quelques secondes en précisant qu’elle va filmer. Quand elle est prête, je sens alors quelque chose de froid toucher puis pénétrer mon anus. La texture et la taille me font rapidement penser à un tampon, et mon idée est vite confirmée par le fait qu’on retire cet objet froid en laissant toutefois un objet plus doux à l’intérieur, avec un morceau de ficelle qui me chatouille l’entre-fesses.

Aurélie dit alors :

« Vous avez vu, il bande encore »

Un sourire aux lèvres, elles quitte alors la pièce, et revient avec un verre. Elle entreprend alors de me masturber rapidement et fortement, et mon excitation est telle que je jouis en quelques secondes, au milieu des rires. Aurélie soulève alors le verre, et je m’aperçois qu’elle s’est arrangée pour que mon sperme y entre intégralement. Elle me regarde alors avec un sourire vicieux, en demandant à Mélanie si elle filme toujours, ce que cette dernière confirme immédiatement. Elle retire alors la chaussette de ma bouche, et, imaginant bien l’idée qu’elle a derrière la tête, je cherche à lui implorer de ne pas le faire, mais ma mâchoire me fait tellement mal que je ne peux rien articuler. De toute façon, Aurélie serre très vite mon nez entre les doigts de sa main gauche, ce qui me pousse, après quelques tentatives de résistance, à ouvrir la bouche, dans laquelle elle s’empresse de verser le contenu du verre dans un nouveau fou rire, et sous les flashs des appareils photos. Aurélie prend bien garde à maintenir suffisamment longtemps mon nez bouché pour que je sois obligé de tout avaler.

Cette fois-ci, tout semble bien terminé, puisqu’Aurélie et Mélanie raccompagnent les autres à la porte d’entrée, puis reviennent couper mes liens, avant de quitter précipitamment mon appartement. Tout endolori, je prends alors quelques minutes pour me remettre, puis je me lève enfin avec pour idée de voir le résultat de ce défi, la peur me nouant l’estomac. J’arrive alors devant le miroir pour découvrir l’horreur. Je suis entièrement maquillé dans des teintes de rose, il me manque de longues bandes de poils un peu partout sur le corps, et il est écrit en gros sur mon front :

« J’aime sucer de grosses bites ».

D’autres textes et dessins tout aussi gênants parsèment par ailleurs tout mon corps, et j’essaye alors de laver tout cela, en me disant qu’elles n’ont quand même pas pu réellement utiliser un feutre indélébile. Malheureusement, l’eau et le savon ne font rien, et j’ouvre alors le placard en pensant au reste de démaquillant qu’avait laissé mon ex il y a quelques mois avant de partir, pensant pouvoir ainsi me démaquiller et sans doute effacer le texte.

Malheureusement, tout ce que je trouve est un papier, sur lequel je peux lire :

« Ne t’inquiète pas, on ne t’a laissé ni démaquillant, ni reste de cire pour finir ton épilation, et voilà le feutre avec lequel on t’a écrit dessus. Au fait, pense à venir à l’entraînement demain, sinon on affiche toutes les photos dans les vestiaires ».

Un rapide coup d’œil au fameux feutre ne laisse plus le moindre doute, et je me demande alors comment je vais pouvoir faire pour me débarbouiller et pour aller au hand le lendemain. Comme de toutes les façons je n’ai pas le choix, je me nettoie rapidement le visage à l’eau et au savon pour enlever le gros du maquillage, puis je m’habille pour partir acheter du démaquillant et de la cire, en essayant de masquer le plus possible mon front avec un bonnet, et mes ongles vernis avec des gants. Les dessins au feutre sur mes joues font tout de même bien rigoler les passants, et à la caisse, je n’arrive pas à saisir mon argent, ce qui fait que je dois enlever un gant, sous les éclats de rire des clients et des employées, mais je contiens ma honte, puis je rentre enfin chez moi, où j’entreprends de finir de me démaquiller, notamment les ongles, puis de finir de m’épiler intégralement (c’est moins ridicule que quelques bandes ici ou là) dans un exercice douloureux et difficile (notamment pour le dos et les fesses).

Malheureusement, même le démaquillant n’a qu’un effet limité sur les textes et dessins faits au feutre, et je suis obligé d’aller au hand le lendemain, même si je sais qu’on va encore beaucoup se moquer de moi, pour éviter que ce soit pire si tout le monde voyait les photos de la séance. Tout se confirme alors à cet entraînement, mais je suis soulagé de ne pas y voir de photos.

Mais le lendemain, je reçois des mails de plusieurs filles inconnues m’indiquant d’aller visiter quelques sites Internet, et un de Mélanie me disant de télécharger quelques fichiers photos et vidéos sur un logiciel de P2P. Toutes les photos de la séance étaient alors exposées sur Internet, et j’ai pu rapidement me rendre compte en recherchant les fichiers annoncés sur le P2P que le nombre de personnes les possédant déjà et les mettant en partage est impressionnant (plus de 2000 notamment pour le fichier nommé « Un pote attaché nu boit son sperme.avi »), et j’ai pu vérifier en le téléchargeant qu’il s’agissait bien de moi, visage découvert, un tampon entre les fesses, des textes nettement visibles sur mon corps, en train de boire mon propre sperme devant une dizaine de filles hilares. Je me suis alors empressé de le supprimer de mon ordinateur, voyant rapidement s’allonger la liste des personnes souhaitant le télécharger sur mon ordinateur, tout en étant bien conscient que je risquais de bien vite être reconnu par certaines personnes dans la rue. Quelle idée ai-je eue de proposer un tel défi ?

 

 

 

 

 

 

Voilà dont un des mes plus gros fantasmes en ce moment, et j’aimerais bien le réaliser (pas forcément avec Mélanie et Aurélie si d’autres filles sont intéressées). J’espère par ailleurs qu’Aurélie et Mélanie ne tomberont jamais sur ce site (même si parfois il m’arrive d’espérer le contraire en secret, tout en sachant que ce n’est que peu probable).

Donc les filles, si ça vous tente, n’hésitez pas à me contacter.

Par AVS59 - Publié dans : Humiliation
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Vendredi 17 mars 5 17 /03 /Mars 10:36

Voilà la suite de mon fantasme...

Enfin j’entends la clé tourner dans la serrure de la porte d’entrée, mais pas un seul autre bruit, et personne n’entre dans la chambre. J’essaye d’appeler, mais aucun son ne peut sortir de ma bouche obstruée. Au bout d’un petit moment qui me semble une éternité, la porte s’ouvre enfin, dans un « Surprise » repris en chœur par une douzaine de filles. J’en reconnais certaines car elles jouent elles aussi dans le même club que moi, mais d’autres me sont inconnues. Plusieurs d’entre elles portent un sac à dos, et cela a tendance à m’inquiéter encore plus.

Les filles sont d’humeur très joyeuse, et la première à sortir du matériel est Mélanie, qui prend une paire de ciseaux. Elle s’attaque alors au côté gauche de mon boxer. J’essaye alors de résister et de protester, mais mes liens et mon baillon m’en empêchent. Je savais que, selon les termes du jeu, elles avaient droit de m’attacher entièrement nu, mais, vu comme je les connaissais, je ne pensais pas qu’elles iraient jusque là. Pourtant c’est bien ce qui va se passer, puisqu’après avoir découpé le côté gauche sur toute sa hauteur, elle fait de même avec le côté droit, et n’a donc plus qu’à tirer sur le morceau de tissu pour me l’enlever entièrement.

Me voilà alors entièrement nu, solidement attaché aux quatre pieds de mon lit, devant une douzaine de filles hilares. La plupart d’entre elles sortent alors leur téléphone ou appareil photos et mitraillent la scène tout en rigolant. Aurélie me place alors un bandeau sur les yeux, de telle sorte que je ne vois plus du tout ce qui m’attend, ce qui déclenche de nouveaux ricanements et provoque chez moi une nouvelle montée d’inquiétude et d’excitation. J’entends alors des bruits de fermetures éclair et autre sacs. Quelques instants plus tard, je sens une violente douleur à un têton, puis à l’autre, puis au niveau de mon sexe, et ainsi de suite pendant un long moment. Elles sont en train de faire couler de la cire de bougie bouillant sur mes parties les plus sensibles, et je souffre énormément, sans pour autant perdre mon érection. Pendant ce temps, je sens une plume se balader sous la plante de mes pieds et bien que je ne sois pas très chatouilleux, le cumul de la douleur et de l’efficacité de la fille qui me chatouille rendent rapidement le moment encore plus insupportable, ce qui a pour effet de me faire me débattre, et donc de me faire mal aux poignets et chevilles à cause des liens.

Après quelques minutes de torture, cela s’arrête, et je sens alors un fluide beaucoup plus tièdes couler autour de mon sexe. Je ne sais pas ce que c’est, mais c’est beaucoup plus agréable… jusqu’à ce que l’on tire la bande de cire qu’on venait de me poser, ce qui a pour effet de déclencher un cri de douleur de ma part, à peine audible à cause de cette maudite chaussette. L’expérience se reproduit alors une bonne dizaine de fois, à différents endroits de mon corps, mes cris étouffés se perdant au milieu des bruits des appareils photos.

Je ne sais pas ce qui m’attend ensuite, mais j’imagine déjà ce à quoi je dois ressembler, avec des bandes de poils manquant ici ou là. Je sens alors une main se poser sur mon front, puis quelque chose de plutôt pointu et froid à côté. Les mouvements suivants me laissent supposer qu’on est en train d’écrire sur mon front, et je suis plutôt inquiet car je n’arrive pas à deviner les lettres, et car la pointe ressemble plus à un feutre qu’à un simple stylo. Lisant mon inquiétude, Mélanie éclate de rire en me disant :

« Ne t’inquiète pas, c’est juste un feutre indélébile ».

Après avoir terminé avec mon front, j’entends plusieurs filles réclamer le feutre, et je passe donc plusieurs minutes à subir les écritures un peu partout sur mon corps. On m’enlève alors mon bandeau, et j’essaye immédiatement de lire ce qui a été écrit et de voir les dégâts causés par la cire. Malheureusement, l’écartement de mes bras ne me permet pas de relever suffisamment la tête pour voir quoi que ce soit.

Pensant que c’est enfin terminé, je me détends un peu en attendant qu’on finisse de me libérer. Mais je comprends vite aux visages de mes visiteuses que je n’ai pas fini d’être humilié...

La suite pour bientôt...

Par AVS59 - Publié dans : Humiliation
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Jeudi 16 mars 4 16 /03 /Mars 09:07

Me revoilà… je ne vous oublie pas… mais c’est vrai qu’on a beau avoir une imagination débordante, on n’a pas de nouveaux fantasmes tous les jours. Comme en plus, je reçois en ce moment moins de récits par les sites auxquels je suis abonné… Donc je vous rappelle, n’hésitez pas à me proposer vos fantasmes originaux ou vos récits, réels ou imaginaires, pour que je les intègre sur mon blog, afin de le faire évoluer plus régulièrement.

 

 

 

 

En attendant, voici mon fantasme du moment… Contactez-moi si vous voulez m'aider à vivre une situation dans ce genre... Vous vous souvenez peut-être de Mélanie et Aurélie (voir le fantasme intitulé « Du blog à l’humiliation ») ?

Aujourd’hui, j’ai donc invité Mélanie et Aurélie à venir mater un film et à jouer un peu aux cartes, vu qu’elles aiment bien cela et moi aussi. Ce n’est pas la première fois qu’elle viennent pour ce genre d’après-midi sympa. Après avoir maté un dvd, nous commençons à jouer aux cartes, et on prend vite l’envie de mettre des enjeux aux parties. J’ai très envie de gagner un baiser de Mélanie, mais je sais que si je veux le mettre en jeu, il faudra qu’elles aient gros à gagner en contrepartie si je venais à perdre.

Je propose donc que si je ne gagne pas, les filles auront le droit de m’attacher aux quatre pieds de mon lit et de me torturer comme elles voudront pendant une heure. Je vais même plus loin si je termine troisième et dernier, puisque dans ce cas elle pourront choisir dans quelle tenue m’attacher, la séance durera 2 heures, et je leur donnerai en plus 30€ pour qu’elles puissent aller acheter du matériel si elles le souhaitent. Après avoir réfléchi quelques instants, elles décident d’accepter ces enjeux. C’est donc parti pour une bataille corse.

Tout se passe bien car je suis très concentré, puisque je tiens vraiment beaucoup a gagner ce baiser. Mon tas de cartes grossit à vue d’œil, et Mélanie n’en a bien vite plus. Mais, alors que je pense être près de gagner puisqu’Aurélie n’a plus que 2 cartes, elle récupère le tas du milieu, puis quelques instants plus tard, c’est au tour de Mélanie de récupérer des cartes. Tout est donc à refaire, mais je n’ai plus la même réussite. Au bout de quelques minutes, c’est à mon tour de ne plus avoir de cartes, et je commence à avoir un peu peur de la suite, tout en essayant de rester très concentré pour essayer d’en récupérer. Malheureusement, Aurélie a beaucoup plus de cartes que Mélanie, et au bout de trois tours de jeu, c’est définitivement terminé. J’ai perdu et je commence à regretter d’avoir proposé ce défi, car je sais qu’elles sont capables de beaucoup de choses pour bien délirer entre elles.

Il est alors 16h, et les filles me disent de m’allonger sur mon lit en ne gardant que mon boxer. Allongé sur le dos, en croix, me voilà bien vite attaché solidement par des ficelles, chaque membre étant relié à un pied du lit. Je suis à la fois craintif et très excité. Pour m’empêcher de crier ou d’appeler, Mélanie utilise une de mes chaussettes comme baillon en me la mettant dans la bouche. Puis les filles me disent à tout à l’heure, et ferment la porte derrière elles, emportant les 30€. L’attente est longue, très longue, la nuit commence à tomber, et je ne les entends pas revenir. Je commence à être plutôt inquiet, car cela ne devait durer que jusqu’à 18h.

Enfin j’entends la clé tourner dans la serrure de la porte d’entrée, mais pas un seul autre bruit, et personne n’entre dans la chambre. J’essaye d’appeler, mais aucun son ne peut sortir de ma bouche obstruée. Au bout d’un petit moment qui me semble une éternité,...

 

 

La suite pour bientôt...

Par AVS59 - Publié dans : Humiliation
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