Bonjour à tous,

je vous souhaite à tous de très bonnes fêtes de fin d'année, pleines de joies mais aussi de pensées coquines...

A bientôt sur mon blog.

AVS59

Eh oui me revoilà avec un petit récit provenant d'un groupe msn, et publié par le célèbre Quelqu'un, et qui pourrait ressembler à un fantasme pour moi, si toutefois un Pony boy peut exister... On n'en entend pas parler, mais ça me plairait bien de tenter l'expérience. Bonne lecture...

Pony girl...

Séance idéale de dressage...

Si une femme soumise désirerait devenir une PonyGirl, voici comment les choses pourraient se dérouler.

Après un échange plus ou moins long de messages sur le web puis au téléphone, nous nous donnons RDV dans un restaurant.

Lors de cette rencontre, si le courant passe toujours, nous nous rendons en un lieu pour nous ébattre en toute quiétude, un local ou un terrain privé en pleine campagne, pour assouvir nos fantasmes.

La transformation s'opère. Dans un premier temps, la parole lui est absolument interdite, et ce, pour la durée du jeu. Elle perd également la faculté de faire quoi que ce soit de ses dix doigts et en cela nous l'aidons en lui entravant, constamment, les mains devant, dans le dos, sur les hanches etc. Puis, entre deux barres parallèles en bois, nous attachons ses mains de part et d'autre de son corps. Nous la déshabillons. A partir de ce moment, c'est un animal, une ponygirl. Nous lui parlons comme à un cheval, un animal de compagnie, en terme familier et décrivons son anatomie avec des mots tels que : croupe, gueule, mamelles, panse, etc...  On peut lui flatter la croupe, le haut des cuisses, palper ses mamelles, la jument peut hennir, mais ne doit pas faire de commentaire ou parler. Une jument qui parle est très, très, sévèrement punie, c'est pratiquement la faute la plus grave du jeu. Une fois nue, en fonction des accessoires, nous allons maintenant harnacher la ponygirl pour la suite de la séance de dressage.

Un matin, un TGV Lille-Paris, dure journée de travail en perspective...

En plus on m'a de nouveau donné une place dans un carré... Ca m'énerve, il n'y a pas de place pour mettre ses jambes. La journée commence bien mal, jusqu'à l'arrivée, en diagonale de ma place, d'une superbe fille, portant mini-jupe et décolleté plongeant.

A partir de ce moment, je retrouve mon sourire, et je ne peux détacher mon regard d'elle et plus particulièrement de ses yeux. Quand elle lève la tête vers moi et que nos regards se croisent, à ma grande surprise elle soutient mon regard avec un magnifique sourire. Je sens alors un pied effleurer le bas de mes jambes, se frayant un chemin sous mon pantalon. D'abord surpris, je regrette rapidement de ne pas porter un pantalon plus large lui permettant de remonter plus haut.

Mais ne comptant pas laisser passer cette occasion, je fais un geste de la tête indiquant la direction des toilettes. Visiblement elle a compris la signification de ce geste, puisqu'elle me répond par un clin d'oeil. Le sexe tendu comme jamais, je me lève donc pour aller rejoindre les toilettes, et comme je l'espérais, elle me rejoint 2 minutes plus tard. S'ensuit alors un long baiser, durant lequel la belle inconnue entreprend de commencer à me déshabiller. Quand cela s'arrête, je suis en boxer, alors qu'elle est encore toute habillée. Elle commence alors à ôter son pull, et je me dépêche pendant ce temps de finir son travail en enlevant mon boxer qui n'arrive plus à retenir mon sexe. Son pull enlevé, elle porte encore un débardeur au-dessus de son soutien-gorge, et est donc encore toute habillée.

Sa main gauche attrape alors mon sexe et commence à me masturber. Au bout de quelques secondes, mon inconnue se baisse et approche son visage de mon sexe. Je suis aux anges, mais à ma grande surprise et à mon grand désespoir, elle se relève soudain, ouvre la porte et quitte les toilettes précipitamment. Il me faut alors quelques secondes pour remarquer ce qui se passe : en fait, elle est partie en emmenant tous mes vêtements. C'était trop beau...

Me voilà donc nu dans les toilettes d'un train, quand j'entends le contrôleur annoncer l'arrivée proche à Paris. Le train ralentit en effet progressivement, et finit par s'arrêter à quai. Je suis alors nu, sans aucune affaire, à 200 kilomètres de chez moi, pour l'instant à l'abri des regards dans un lieu public bondé. Que faire ?

A votre imagination...

J'attends vos commentaires, vos suites, ou éventuellement vos propositions pour m'aider à vivre une expérience dans ce genre...