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Mes articles préférés...

Pour vous simplifier la tâche et vous éviter d'avoir à feuilleter tout mon blog, tout en ne ratant pas l'essentiel, voilà la liste de mes articles préférés, classés dans l'ordre de préférence (la mienne, donc n'hésitez pas à en lire plusieurs quand même, selon vos préférences...) :

  1. The end
  2. Du blog à l'humiliation (6 chapitres) : ch.1, ch.2, ch.3, ch.4, ch.5, ch.6 (Quelle soirée!!!)
  3. Un jeu de cartes, un pari (3 chapitres) : ch.1, ch.2, ch.3 (Attaché et humilié sur mon lit)
  4. Une journée à la plage (En mini-jupe et bikini-string) et sa conséquence
  5. La sieste (Découpage de vêtements), ses illustrations vidéos (1 et 2) et 2 compléments (1 et 2)
  6. Nu sur le pallier (Trahi et bluffé), et son illustration vidéo
  7. L'ascenseur (Quelle humiliation)
  8. Humiliations en boîte (I et II)
  9. Une autre humiliation en boîte
10. Soirée en public et Soirée en boîte (Déshabillé par des filles)
11. Travesti dans la rue de mon quartier
12. Dans la cage d'escaliers (Nu)
13. The girl next door (Scène tirée du film, nu dans la rue)
14.
Kidnapping (Relâché nu)
15. Les vestiaires (A la douche au milieu des filles)
16. Déshabillé (Dans un lieu public)
17. Humilié devant tous les étudiants (ligotté nu aux casiers...)
18. Mecs habillés en filles (En public)
19. Une chtite vengeance bien humiliante (Nu en ville)
20. Aux toilettes... (Vol de pantalon)
21.
La sieste II (Maquillage,...)
22. Le piège : le site de rencontres
23. Attaché nu dans la nature
24. Essayage (De tous types de vêtements)
25. Vol de vêtements
26. Vol de vêtements 2
27. Papier toilette (Momifié, sans autres vêtements... Gare à la pluie)
28. A la laverie
29. Emballé et Duck taped (Attaché en public avec du ruban adhésif ou du papier cellophane)
30. Illustration d'une visite à un salon Erotica (Volontaire imposé)
31. Soirée en public (exhibé devant tout le monde)
32. A disposition (Attaché à un banc)
33. Cul nu dans la rue (Vol de vêtements)
34. Enterré nu à la plage
35. Pantsing : 2 nouvelles vidéos (Pantalon baissé en public)
36. Encore des vidéos de pantsing
37. Pantsing toujours
38. La photo... (Strip poker et diffusion sur le net)
39. La douche (Surpris par une amie)
40. Au ski (En jupe)
41. Pipi culotte
42. Un pari perdu, une vidéo (Nu à la plage)
43. La douche au sport (Vol de vêtements)
44. Spitting (Crachats dans la bouche)

Lundi 12 septembre 1 12 /09 /Sep 00:00

Voilà un récit que j'ai écrit, et qui reprend plus ou moins un de mes fantasmes (voir l'article intitulé "Soirée" dans la partie "Soumission"), tout en s'adaptant à ma vie. C'est donc une expérience qui pourrait m'arriver, je fantasme dessus, et j'espère pouvoir la vivre, mais en même temps j'espère qu'elle ne m'arrivera pas à cause des conséquences... Il y aura plusieurs parties, je ne publie que la première aujourd'hui...

Bonne lecture à tous, et à vos commentaires... Et si quelqu'un trouve un moyen de me faire vivre cette expérience ou une autre semblable, mais sans que je le sache afin de m'intenir l'effet de surprise et donc l'intérêt, n'hésitez pas... Contactez-moi...

 

Cela fait déjà quelque temps que mon blog sur mes fantasmes existe, quand un jour je reçois un message d'une jeune demoiselle, intéressée par celui intitulé "Soirée". En effet, pour l'anniversaire d'une copine, une soirée entre filles est prévue.

 

Me voilà alors bien excité par cette réponse, mais, méfiant, je demande un peu plus d'informations personnelles à cette jeune fille… 19 ans, étudiante en psycho, elle s'appelle Marie, est blonde aux yeux verts, 1m72 pour 55 kgs. Tout ça est bien intéressant, mais de peur d'une farce ou quelque chose comme ça, je demande l'adresse de la fête (de toutes façons il faudra bien que je l'aie pour m'y rendre), et surtout le nom de famille de notre hôte. Ce qui me rassure un peu, c'est qu'elle n'hésite pas à me les transmettre, et ce qui me rassure franchement, c'est que cette personne se trouve effectivement dans les pages blanches.

 

Rendez-vous est donc fixé pour le samedi suivant. Le jour J, je me rends sur place, en pensant que je n'avais même pas demandé combien de convives seraient présentes. Mais bon tant pis, l'occasion est trop belle, je fonce. Arrivé devant la porte, je me mets un bandeau sur les yeux avant de sonner 3 fois, comme cela avait été convenu.

 

 

 

J'entends la porte s'ouvrir, une main douce se saisir de la mienne pour me faire entrer. Je suis alors conduit dans une chambre, dans laquelle on me permet d'enlever mon bandeau dès que je serai seul dans la pièce. Entendant la porte se refermer, je retire donc mon bandeau pour apercevoir sur le lit la tenue que je dois passer avant de ressortir de la pièce : une très jolie robe noire, qui me semble à ce moment-là très courte, mais aussi un bustier rouge vif en dentelle, ainsi que le string assorti, sans oublier les bas et porte-jarretelles. Ma plus grande surprise est alors de découvrir une paire de sandales noires, à talons très hauts, et qui, de par leur pointure, semblent m'être destinées. Le tout est accompagné d'un petit tablier blanc, et je suppose alors que je vais être utilisé comme soubrette et femme à tout faire.

 

A ce moment, la tension est à son comble, et je me demande si je dois continuer ou bien m'enfuir pendant qu'il en est encore temps. Malheureusement, je réfléchis vite qu'il m'est impossible de partir puisque la soirée se déroule au quinzième étage d'un immeuble, et que la chambre ne possède qu'une seule porte. Je me dis donc que je n'ai pas le choix, et je me décide donc à me changer. Outre la sensation bizarre que représente la fermeture du bustier, dans lequel j'ai pris la peine d'insérer les faux seins qui étaient préparés, c'est surtout la sensation de la ficelle du string, qui me passe entre les fesses, qui me gêne. Mais cette gêne est de courte durée puisque arrive le moment d'enfiler les sandales. C'est incroyable, comment ont-elles pu connaître ma pointure ? Ou bien ont-elles simplement pris la pointure la plus commune pour un homme (je chausse du 43) ? Toujours est-il qu'elles me vont parfaitement, et que je me retrouve posé sur des talons hauts (ils doivent faire au moins 10 cm), peinant à trouver un semblant d'équilibre. Je noue alors mon tablier et me voilà fin prêt pour attaquer la soirée.

 

 

Comme on me l'avait demandé, je frappe alors à la porte de la chambre, pour qu'on vienne m'ouvrir. Je vais enfin découvrir à quoi ressemble la maîtresse des lieux, et la pression monte encore d'un ton. Mon sexe a bien du mal alors à se faire une place dans le morceau de tissu qui me sert de string. La poignée de la porte descend alors, et je vois apparaître dans l'entrebâillement une jeune fille, brune, cheveux longs et lisses, yeux marrons. Elle doit mesurer environ 1m70, ou peut-être un peu plus, car j'ai du mal à me faire une idée avec ces talons qui me font voir les choses de haut. Elle retient difficilement un éclat de rire, ce que ne pourra même pas faire sa copine, une jolie brune elle aussi, qui se tient assise dans le canapé. J'entre alors dans le salon, dans lequel la table est dressée pour l'apéritif, et je suis Stéphanie jusque près de la porte d'entrée, sans avoir le temps de compter le nombre de verres, tout en me rendant compte qu'il risque d'y avoir du monde. Elle m'indique alors un petit cagibi contenant un porte-manteaux, dans lequel je devrai accrocher les vestes des convives, au fur et à mesure qu'elles arriveront et que je leur ouvrirai la porte.

Je me sens toujours aussi mal à l'aise, mais...

 

La suite au prochain numéro... 

 
Par AVS59 - Publié dans : Récits
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Jeudi 1 septembre 4 01 /09 /Sep 00:00

Voilà un texte trouvé sur le site : http://pageperso.aol.frpinnedbygrrls/index.html. Je l'aime beaucoup, et j'aimerais subir le même genre de vengeance : la surprise de l'inconnue qui n'en est pas une, la honte provoquée par la découverte de tels fantasmes par une connaissance, la présence de la caméra, la crainte d'être exposé,... le comble de l'excitation... Et encore, elle a été sympa et n'a pas dévoiler son anatomie à la caméra. lol

Donc si il y a une (ou des) amatrice(s) de ce genre d'expérience, n'hésitez pas à me contacter. Sinon laissez vos commentaires...

 

 

 

 

J'étais au lycée à l'époque, et avec mes copains, nous avions pris l'habitude de nous moquer d'une fille de ma classe, entre autre en raison de sa petite taille.

Elle s'appelait Elodie, avait les cheveux longs et chatains et mesurait à peine 1m50, ce qui n'était pas grand chose face à mes 1m80. Elle était devenu notre souffre-douleur, et même si elle ne répondait rien à nos moqueries, on sentait que ça la rendait furieuse. Ces moqueries duraient déjà depuis plusieurs mois quand ça se produisit.

 

A cette époque, je m'intéressais déjà à la domination soft des filles sur les hommes et au bondage. J'avais donc créé mon site internet perso ( http://membres.lycos.fr/grego120/ ), sur lequel je décris les pratiques qui m'excitent avec des photos et je donne mon adresse email pour les filles intéressées.

 

Or, Elodie avait découvert ce site et m'avais demandé par email de lui envoyer une photo de moi, ce que je fis. C'est comme ça, en me reconnaissant sur la photo, qu'elle découvrit mes fantasmes et décida de se venger de moi. De mon coté, j'ignorais bien sur que c'était elle.

Afin de ne pas se faire démasquer, elle ne m'envoya pas de photos d'elle et donna de fausses informations sur elle. Puis, à ma grande joie, elle accepta de me dominer pour seulement 40 euros, alors que j'étais près à payer le double, et me demanda un rendez-vous.

Sa seule condition était que nous ne devions en aucun cas être dérangé, ce à quoi je lui répondit que, de toute façon, mes parents partait en voyage et que je serais seul chez moi pendant trois jours.

Mais tout de même inquiet de sa demande, je lui fis remarquer que j'hésitais un peu à me mettre à sa totale merci et sans aucune possibilité d'aide extérieure. Elle me répondit que je devais avoir confiance en elle et qu'après tout, on ne se connaissait pas et qu'elle n'avait pas de raison de me faire du mal, n'est ce pas?

 

 

Alors je décidai que j'avais tort de m'inquiéter, et de plus, le risque ne faisait que m'exciter un peu plus. J'acceptai sa proposition et le rendez-vous fut donc fixé le mercredi suivant à 15h, chez moi. L'attente me parut interminable et ne fit qu'augmenter un peu plus mon excitation, quand le jour arriva finalement. Anxieux depuis mon réveil, je sursautai en entendant la sonnerie retentir vers 14h55. Très troublé de l'entendre plus tôt que prévu et très excité, j'ouvris la porte; et je reconnu Elodie, de ma classe.

"Salut. Je suis un peu en avance, non?" me dit-elle.

"Quoi? C'était toi?!" répondis-je, interloqué.

"Oui, je voulais te faire la surprise. Alors on commence?"

"Heu, je sais pas si..."

"Ne me dis pas que je suis venu ici pour rien! Allez, tu vas voir, ça va te plaire!" dit-elle malicieusement.

Je la contemplai rapidement. Effectivement, je la trouvais très sexy : elle avait ses cheveux chatains détachés et portait un débardeur noir qui faisait ressortir sa poitrine. Mais ce qui m'excitait le plus, c'était son survetement gris. Plus d'une fois j'avais fantasmé sur ce même pantalon destiné au cours de sports, dans lesquelles nous étions dans le même groupe. En effet, il moulait efficacement ses fesses et ses cuisses, mettant ainsi leur jolie forme en valeur.

Bien sur, c'était volontaire de sa part car en effet, je lui avais appris, dans les emails que nous avions échangé, ce qui m'excitait le plus chez une dominatrice amateur, au point de vue habillement ou attitude pendant une cession de domination. (j'adore les filles en survêtement)

Alors, au comble de l'excitation, j'oubliai toute crainte et, ne pensant plus aux conséquences éventuelles, je lui répondis :

"bon d'accord, allons dans ma chambre."

 

 

Après avoir découvert mon lit, un lit une place standart, elle me poussa dessus et s'empressa de prendre les cordes sur mon bureau afin de m'attacher le plus vite possible de peur que je ne change d'avis, même si je ne me rends pas compte tout de suite de son empressement à m'immobiliser.

Située debout à ma droite, elle attacha d'abord mon poignet gauche à l'extrémité d'une corde d'environ 1m50, en faisant un double noeud qu'elle serra très fort, et qu'elle renforça d'un troisième; puis elle passa l'autre extrémité de la corde sous le coté gauche de mon lit et alla la chercher à quatre pattes sous le coté droit, et elle la tira, pour finalement ressortir environ 30cm de corde, juste assez pour attacher mon poignet droit avec. Ce qu'elle fit en serrant avec force, tout en s'assurant que mes bras étaient le plus tendus possible, presque perpendiculaires au lit et dirigés vers le sol.

Elle refit exactement la même chose avec mes jambes, qui se retrouvaient écartées comme un V inversé, sans que je puisse les joindre.

Après avoir fini, elle se releva et contempla son ouvrage, les mains sur les hanches et le sourire aux lèvres.

Après plusieurs tentatives d'évasion, je me rendis compte que j'étais totalement immobilisé et donc à la merci de la fille qui me détestait le plus au monde.

"ça fait des mois que je rêve de vivre une situation comme celle là!" me dit-elle, avec un sourire sadique.

ma grande surprise, elle quitta ma chambre pour aller fermer la porte de ma maison à clef, afin d'être sure qu'on ne soit pas dérangé et elle débrancha également le téléphone en passant devant. En son absence, je commençais à m'inquiéter de ma situation, tout en sentant mon excitation être de plus en plus forte. Elle revint peu après et referma lentement la porte de ma chambre derrière elle, en me regardant d'un air espiègle qui me fit très peur.

"je t'ai pas trop manqué, j'espère?"

 

Elle enleva ses chaussures et sortit alors une caméra du sac à dos qu'elle avait amené et la positiona sur mon bureau, en la dirigeant vers moi.

"Heu, Elodie, je préfère pas." dis-je, horrifié mais impuissant.

"Je l'ai emprunté à une amie" me répondit-elle, "ça peut filmer pendant une demi-heure, elle m'a dit."

"Non, arrete!" Ordonnai-je, commençant à découvrir avec horreur son plan de vengeance, mais bien trop tard.

"Je suis certaine que ça va intéresser pas mal de monde" dit-elle en déclenchant le mécanisme de marche, provoquant l'apparition de la lumière rouge d'enregistrement.

 

Alors, elle se tourna vers moi, fit mine de se recoiffer avec coquetterie et s'avança vers moi. Je ne pu m'empecher de jeter un regard sur son survetement gris et moulant, à cause duquel j'étais maintenant piégé, trahi par mon fantasme pour cet habit sexy.

 

Elle se mit d'abord à genoux à coté de moi, puis lentement, elle m'enjambea en me regardant droit dans les yeux, pour finalement se retrouver à califourchon sur mon ventre, callant ses fesses confortablement.

"Tu fais pas le fier, hein?!" me dit-elle, "tu as eu tort de me faire confiance, maintenant tu est à ma merci! regarde, je peux te faire ce que je veux."

Sur ces mots, elle commença à me tapoter les joues sans que je puisse faire quoi que ce soit.

Bien que je me sentais paniquer, j'étais plus excité que jamais de sentir son poids pesant sur mon ventre.

 

"allez, je veux bien continuer, mais éteint cette caméra!"lui dis-je, saisissant cette dernière chance de ne pas subir sa vengeance.

Pour seule réponse, elle m'assena une forte claque qui me surpris totalement.

"Tu n'es pas en position de me donner des ordres." répondit-elle ensuite.

"Dis-moi, t'es fort en apnée?" ajouta t'elle, après une courte pause.

"Quoi? Hé, attend!"

 

Elle mit alors sa main gauche sur ma bouche, m'empechant ainsi de parler et de respirer par la bouche, puis avec sa main droite, elle serra mon nez entre son pouce et son index.

"tu te rends compte que moi, une fille de très petite taille, je peux tuer un grand gaillard comme toi seulement avec deux doigts?" se moqua t'elle, en me regardant suffoquer lentement.

Totalement immobilisé; je n'eus pas d'autres solutions que d'attendre en espérant qu'elle relacherait l'emprise. Elle me regarda, en haussant les sourcils et la bouche ouverte comme si elle accomplissait un travail de précision.

Au bord de l'asphyxie, je devins tout rouge, ce qui lui valu de m'adresser un sourire de satisfaction, alors que je sentis ses fesses gigoter sur mon ventre.

Elle se trémoussait sur moi et se pencha en avant afin de renforcer son emprise fatale, alors que, affolé, je tentai de bouger dans tous les sens, malgré les cordages et le poids de son corps.

Elle relacha finalement son emprise, et j'inspirai de très grande goulée d'air. Pendant que j'essayais de me remettre en respirant bruyamment, elle me caressa les cheveux en éclatant de rire.

"T'es pas très endurant! Heureusement que je suis là pour t'entrainer!" dit-elle, amusée de voir l'affolement dans mes yeux provoqué par une telle remarque.

 

Sur mon ventre, elle sentait les mouvements de mes poumons et elle se rendit compte quand j'eu fini de récupérer mon souffle.

Horrifié, je la vis remettre sa main gauche sur ma bouche. Mais cette fois, elle décida de pincer mon nez entre son pouce et son petit doigt, ce qu'elle fit immédiatemment en souriant de toute ses dents.

"Je m'amuse comme une folle!" dit-elle, alors que j'étais de nouveau en train d'étouffer entre ses mains.

Je tentais de tirer de toutes mes forces sur les liens qui m'immobilisaient mais ils étaient solides et ne cédaient pas.

"Inutile d'essayer, tu ne peux pas t'échapper! C'est humainement impossible!" remarqua t'elle, ravie de constater mes vaines tentatives.

De nouveau, je devins tout rouge, alors qu'elle jeta un rapide coup d'oeil vers la bosse sur mon entrejambe, derrière elle.

"Oh, mais tu m'as l'air d'aimer ça, dis moi!" Rigola t'elle ,"Et bien tant mieux, moi aussi ça m'excite de te sentir impuissant sous moi."

Alors que mon visage commençait à passer du rouge au bleu, je tentai de l'éjecter de mon ventre, mais je ne parvint qu'à la soulever de quelques centimètres. Elle s'empressa de mettre tout son poids sur mon ventre et je me retrouvais de nouveau coller au lit, à regarder son grand sourire tout en priant pour qu'elle ne décide pas de m'étouffer définitivement. Elle devait lire dans mes pensées car elle me dit :

"Allons, ne panique pas! Tu n'as pas confiance en moi?" Puis elle éclata d'un grand rire, tout en relachant l'emprise de ses mains, qu'elle posa sur ses hanches, à mon grand soulagement.

Pendant que je tentai péniblement de reprendre mon souffle, elle se fit un chignon avec beaucoup de soin.

 

Après l'avoir terminé, elle se pencha en avant, passa ses bras derrière ma nuque et pressa ma tête avec force entre ses deux seins.

 

"Mmmh, viens là mon bébé" dit-elle d'une voix tendre.

Je sentis d'abord l'odeur de son parfum, puis je ne sentit plus rien du tout : elle pressa si fort que j'étouffais de nouveau. Alors, je gigotais dans tous les sens, inutilement.

"Allons, ne panique pas! Fais moi confiance!" entendis-je.

Mais malgré sa remarque, prononcée d'un ton apaisant, je me débattais de plus belle, à bout de souffle.

"Si tu veux que je te laisse respirer, arrete de te débattre pendant 5 seconde!" me dit-elle avec autorité.

Entendant cette remarque, et malgré le fait que mon étouffement devenait insupportable, j'obéi à son ordre et je l'entendis compter.

"Un, deux..."

Je luttais de toutes mes forces pour ne pas céder à la tentation de me débattre.

"Trois..."

N'ayant rien d'autre à faire, je ne pu que gémir pour la prévenir que j'étais à bout, mais elle continua à compter, imperturbable.

"Quatre... Et cinq!" Dit-elle en lachant ma tête et en repositionnant ses fesses contre mon ventre.

Je pris alors une très grande goulée d'air, puis une autre, heureux de m'en être sorti.

"Tu vois? Quand tu m'obéis, tout se passe bien." Fit-elle remarquer.

 

Je la senti bouger alors que je continuais à reprendre mon souffle, péniblement. Elle s'avança sur mon corps, passa ses mollets sur mes bras attachées et coinça ma tête entre ses jambes, alors qu'elle posa son jolie derrière sur mon torse.

"Alors, Mon pantalon t'excite? Alors tu dois aimer le voir d'aussi près" dit-elle, en serrant ma tête entre ses cuisses.

En effet, j'étais aux anges de sentir le contact de ses cuisses sur ma tête et celui de ses fesses sur mon torse.

Alors, elle reposa ses mains sur ma bouche et pinça encore mon nez, alors que je lui lançai un regarde inquiet. Elle répondit par un sourire alors que j'étouffais de nouveau. Ma tête étant bloquée, je ne pu tenter de la bouger. Au bord de l'asphyxie, je regardai son visage angélique, traversé par un sourire démoniaque.

"Même topo que tout à l'heure : Arrete de te débattre pendant 5 seconde et je t'autoriserai à respirer."

Au prix d'un effort surhumain, je cessai de bouger, alors qu'elle compta les 5 secondes qui me parurent une éternité. J'y parvins, par miracle, et elle relacha.

"Tu es encore tout rouge!!" constata t'elle, hilare.

 

Elle se leva ensuite et, debout à coté du lit, elle remarqua que la bosse sur mon entrejambe avait atteint son maximum. En effet, je n'avais jamais connu une telle excitation!

Elle se dirigea vers son camescope posé sur le bureau de l'autre coté de ma chambre, et vérifia qu'il enregistrait toujours.

Satisfaite, elle se dirigea ensuite vers moi et m'annonça : "Puisque je t'excite tant, je vais te donner l'occasion de voir mon corps de plus près!"

 

 

Sur ces mots, elle se mit à genoux sur les bords du lit à coté de ma tête, enjamba ma tête pour se retrouver face au reste de mon corps, ses genoux sur mes bras attachés.

Délicatement, elle posa ses fesses sur mon visage, et s'y retrouva assise confortablement, mon nez calé entre ses fesses.

Je me débattais de toute mes forces, conscient qu'une caméra était en train d'enregistrer cette humiliation totale, mais mes liens étaient trop solides.

Pendant ce temps, elle fredonna un air de musique tout en prenant un magazine posé sur ma table de nuit. Elle le posa sur mon torse et entama la lecture, alors que de mon coté, je disposai de juste assez d'air pour respirer. Je décidai donc de ne plus me débattre, de crainte qu'elle ne change la position de ses fesses sur mon visage en représaille et qu'elle ne m'étouffe pour de bon.

Pendant 5 bonnes minutes, je l'entendis tourner les pages tranquillement alors que je sentai mon pénis se dresser de nouveau, en raison de ma très forte excitation.

Elle était assise sur mon nez et ma bouche alors que je pouvais voir le haut de ses fesses et une partie de son chignon.

Elle reposa ensuite le magazine mais resta assise sur mon visage.

"Tu sais, je souffre beaucoup quand vous vous moquez sans arret de moi. Mais maintenant, c'est toi qui va connaitre la souffrance! " dit-elle, en penchant légèrement son corps pour poser ses deux mains sur mes parties génitales. Je tentai de serrer mes jambes mais elle étaient immobilisées par les liens.

 

 

Soudain, sans prévenir, elle donna une tape sur mes testicules, ce qui me fit grogner de douleur. Elle redonna ensuite une tape beaucoup plus forte, suffisante pour me faire hurler de douleur, mais ma voix était étouffée sous son derrière. Après que j'eu fini de gémir, elle redonna une tape au même endroit, relançant mon gémissement.

Elle me tortura ainsi pendant environ cinq très longues minutes, puis de ses deux mains, elle serra très fort mes testicules pendant une minute, durant laquelle je poussai un long gémissement ininterrompu. Torturé et humilié, je l'entendis rire de mon calvaire.

Finalement, elle se leva et s'assit sur le lit à droite de ma tête. Elle passa sa cuisse droite sous ma tête, comme un oreiller, et posa sa cuisse gauche devant mon menton, sur mon cou. Elle crocheta ses chevilles, coinçant ma tête dans un ciseau fatal.

 

Soudainement, elle serra ses cuisses de toute ses forces, m'étranglant en même temps. J'essayais de dégager ma tête mais sans succès. Je la tournais de tous les cotés. Je pouvais voir à gauche ses chevilles crochetés, et ses chaussettes blanches, qui allaient bien avec son pantalon gris, et à droite, ses fesses bombées.

Tout en maintenant sa prise, elle prit ma tête avec ses mains, la tourna vers la droite face à ses fesses, et tira. Mon nez se retrouva de nouveau dans son derrière alors que je commençais à étouffer entre ses cuisses. Je l'entendis alors gémir de plaisir. De temps en temps, elle relacha légèrement pour resserrer de plus belle juste après, prolongeant ainsi mon étouffement sur plusieurs minutes.

Enfin, elle relacha sa prise et se leva. Elle alla voir le temps d'enregistrement sur la cassette, puis elle vint s'asseoir sur mon ventre, face à ma tête.

"Il reste environ cinq minutes d'enregistrement. Qu'est-ce que je vais bien pouvoir te faire d'autre?" se demanda t'elle à elle-même. Elle hésita, puis me fis un sourire, m'indiquant ainsi qu'elle avait une idée, ce qui me fit très peur.

 

 

Toujours à califourchon sur mon ventre, elle se pencha pour avoir sa tête 20cm au dessus de la mienne, qu'elle bloqua avec ses mains.

"Ouvre la bouche!" ordonna t'elle.

Je refusai d'abord, puis elle m'assena une gifle.

"Ouvre la bouche, ou je recommence à te torturer!!" me menaça t'elle.

Tremblant à l'idée de resubir les mêmes souffrances que celles d'avant, j'ouvris la bouche. Elle approcha la sienne de 10cm afin de mieux viser la mienne, et elle cracha lentement. Je sentis le filet de salive entrer dans ma bouche, puis je la ferma. Toujours sa tête au dessus de la mienne, je la vis sourire à la caméra, alors que j'avalai sa salive. Pour me récompenser de lui avoir obéi, elle me caressa la joue, ajoutant un peu plus à ma complète humiliation.

 

Elle se pencha ensuite en arrière, les fesses sur mon estomac, et elle retira ses chaussettes. Elle plaça ensuite ses pieds nus 10cm au dessus de ma bouche, tout en posant sa main droite sur mes parties génitales.

"Lèche mes pieds!" ordonna t'elle, alors que je sentai la pression de sa main droite sur mes testicules.

Je soulevai alors ma tête afin de lêcher ses pieds 10cm au dessus, afin de ne pas avoir à subir de nouvelles tortures.

"Bien... Continue...Bien..." dit-elle, satisfaite, tout en caressant mes testicules.

Je continuais à lecher ses pieds et ses doigts de pieds, alors qu'elle souriait à la caméra, ravie de montrer qu'elle m'avait "dressé".

Je lechais ses pieds depuis déjà 3 minutes, quand la lumière rouge sur la caméra disparut.

 

Elle se leva ensuite, remit ses chaussettes et ses chaussures et rangea sa caméra dans son sac.

Elle ouvrit mon portefeuille sur mon bureau et pris la totalité de l'argent qui s'y trouvait, environ 250 euros, qu'elle mit dans la poche arrière de son pantalon gris, en me regardant méchamment.

"Je vais aller mettre cet argent et cette cassette en lieu sûr. A tout à l'heure." dit-elle en fermant la porte.

Je tentai de me libérer, afin de la rattraper, mais même sans le poids de son corps sur le mien, j'étais totalement immobilisé. Après de nombreuses tentatives infructueuses, je renonçai et je m'assoupi, complètement épuisé.

 

 

Je l'entendis revenir plusieurs heures après, sans son sac. Elle me libéra de mes liens et m'annonça : "J'ai bien caché la caméra, alors inutile de la chercher! Si t'essayes de la récupérer, ou si tu refuses de m'obéir quand je te donne un ordre, elle circulera! Si tu m'obéi, elle restera en lieu sûr. A partir de maintenant, t'es mon esclave. T'en fais pas, je serais une bonne maitresse pour toi."

Je me levai enfin du lit, pour me retrouver en face d'elle et de ses 1m50. Elle décida de tester ma soumission :

"Enfonce ta tête entre mes fesses." m'ordonna t'elle en se retournant.

Conscient que je n'avais absolument pas le choix, je me mis à genoux et je lui obéi, en enfonçant mon visage dans son survetement sexy et inspirant à fond.

"Bien... Très bien..." Dit-elle en me caressant la nuque, " A partir de maintenant, en privé, tu m'appellera maitresse, Compris? Bon, j'y vais. Si tu es sage, je t'enverrai une copie de la cassette."

Sur ces mots, elle s'en alla en riant, satisfaite de sa victoire totale.

 

 

Depuis ce jour, j'ai évidemment cessé de me moquer d'elle.

Régulièrement, elle m'a demandé d'accomplir certaines choses, comme de faire ses devoirs ou de lui donner de l'argent. Plusieurs fois, elle m'a aussi demandé de me soumettre en lui lechant les pieds, en la laissant s'asseoir sur mon visage ou en accomplissant le moindre de ses désirs.

J'ai cessé de la voir par la suite, mais depuis, je cherche une fille qui accepterait, en échange d'argent, de me dominer comme je l'ai été ce jour là.

 
Par AVS59 - Publié dans : Récits
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Mardi 30 août 2 30 /08 /Août 00:00

Un autre article trouvé sur le site : http://forum.aceboard.net/index.php?login=22384.

Encore une fois, j'aimerais beaucoup vivre une situation similaire, alors s'il y a des amatrices, n'hésitez pas à me contacter... Sinon vous pouvez toujours laisser vos commentaires...

 

La semaine dernière, j’ai eu le privilège de discuter sur le net avec Maîtresse JENNY LOVE, elle me racontait combien elle était déçue par ma dernière histoire. Nous avons longuement discutés puis j’ai eu la chance d’être invité à la rejoindre dans un bar pour avoir l’honneur de lui payer un verre. Au cours du chat, nous nous sommes aperçus que nous avions des amis en commun et qu’elle et ma petite amie Catherine étaient allées dans la même école. Nous nous sommes donc rendus au bar ensemble pour fêter ces retrouvailles. Nous avons pris un café à une table en attendant la venue de Maîtresse JENNY LOVE. Dire que j’étais excité serais peu dire, j’étais comme un fou, moi être invité par Maîtresse JENNY LOVE, je n’aurais même pas osé en rêver, le plus dur était de ne pas le faire voir à Catherine. Après une petite demi-heure elle est entrée à son tour dans le bar, malgré le monde qu’il y avait, sa grande perspicacité a fait qu’elle nous a repérés en un clin d’œil. Maîtresse JENNY LOVE était superbe, elle portait une paire de cuissardes qui mettaient en valeur ses magnifiques jambes, une petite jupe et un bustier en cuir ainsi qu’une petite veste noire. Une vraie déesse. Ne sachant pas trop comment la regarder, je baissais la tête pour laisser mon regard posé sur ses magnifiques cuissardes. Au fur et à mesure qu’elle s’approchait de moi, mon cœur battait de plus en plus fort. Catherine s’est levée pour l’embrasser, après quelques années, elles étaient folles de joie de se retrouver. Puis à mon je me suis levé pour la saluer, mais au moment où je tendais la joue pensant lui faire la bise, je me suis pris une magistrale paire de claques. Catherine se met alors à éclater de rire :

- Eh bien dis donc, tu n’as pas changée, tu sais toujours aussi bien y faire avec les hommes………hihihihi

Plus un bruit dans le bar, tout le monde s’est retourné vers moi. J’étais honteux comme jamais au cours de ma vie, me faire gifler par une femme devant ma petite amie et une vingtaine de personnes inconnues c’était trop, j’ai essayé de répondre à mon tour, mais à peine ai-je commencé à lever le bras qu’elle me balance un coup de genoux entre les deux jambes :

- Non mais, pour qui te prends-tu, me lance Maîtresse JENNY LOVE, d’abord tu cherches à m’embrasser puis maintenant tu ose essayer de lever la main sur moi. Tu vas le regretter amèrement.

Dans ce bar très chic, il y a une majorité de femmes, et à ces mots, quelques applaudissements et cris d’encouragements pour Maîtresse JENNY LOVE se font entendre en même temps que tout le monde vient assister de plus près à la scène. De son côté Catherine ne sais plus trop comment réagir, perdue entre l’admiration qu’elle a pour Maîtresse JENNY LOVE et la gène d’être arrivée en ma compagnie et de me voir me faire ridiculiser de la sorte. Malgré la douleur, j’arrive à tenir debout et voyant ce qui se passe, j’essaie de me tenir fièrement droit :

- Vas-y Jenny, crie une femme, le dernier s’est enfui, celui le loupe pas

- Oui, encore un coup, dans les couilles !!!!

Maîtresse JENNY LOVE regarde Catherine qui acquiesce et j’ai à peine le temps de comprendre se qui se passe que la pointe de sa botte droite atterrit directement dans mes couilles. Cette fois la douleur est trop forte, je tombe au sol, la tête la première. Je suis sonné, les mains sur les parties. Au dessus de moi, Maîtresse JENNY LOVE et Catherine partent dans un énorme fou rire :

- Eh bien, dit Maîtresse JENNY LOVE, c’est quoi cette lopette ? Tu ne vas pas me dire que tu sors avec ?

- Pour tout t’avouer, on se connaît depuis quelques semaines en vérité.

- Attends un peu, on va s’amuser si çà te dis.

- Vas-y fait toi plaisir, je te le prête, fais en ce que tu veux

- Bien, va demander une corde à la patronne du bar

En quelques instants, Maîtresse JENNY LOVE me saisit fermement les poignets pour me les attacher dans le dos. J’ai si mal aux couilles et le fait d’être tombé la tête la première fait que je suis sonné et que je n’ai d’autre choix que de me laisser faire. Ensuite Maîtresse JENNY LOVE enlève sa culotte et me la met dans la gorge avant de me bâillonner avec une seconde corde. Une fois fait Maîtresse JENNY LOVE me jette un verre d’eau dans la figure. Je reprends mes esprits et prends conscience de la situation, tout le monde est attroupé autour de nous et rigole du spectacle. Je me relève tant bien que mal et malgré la douleur et commence à me débattre pour essayer d’enlever mes liens. La honte me monte aux joues, je me sens humilié comme jamais dans ma vie. Tout le monde rigole de plus belle et scande le nom de Maîtresse JENNY LOVE. Ne voulant pas en rester là, je me dirige vers ma tortionnaire ne sachant pas trop ce que j’allais faire. Bien mal m’en a pris, de nouveau Maîtresse JENNY LOVE me balance un coup de botte identique au précédent. Je m’écroule de nouveau sous les applaudissements de la foule.

- Eh bien, reprend Maîtresse JENNY LOVE, on dirait que tu as du mal à comprendre ma petite carpette, je vais te faire voir qui commande une bonne fois pour toute !!!!

Sur ce elle commence à me donner des coups de pieds dans le ventre et à chaque fois qu’elle le peut dans mes couilles. « 1…….2……..3……… » Tout le monde s’amuse à compter les coups de pieds qui pleuvent de tous les côtés. Après une vingtaine de coups de pieds Maîtresse JENNY LOVE s’arrête enfin pour se reculer et admirer le spectacle. Je ne sais plus ce qui est le plus dur à ce moment, la douleur des coups, le regard de la foule ou celui de Catherine sur moi, gisant au sol, la petite culotte de Maîtresse JENNY LOVE dans la bouche. Tranquillement Maîtresse JENNY LOVE va au bar pour se désaltérer :

- Eh bien, çà m’a donné soif tout çà. Bien entendu, tu met ce verre sur le compte de la carpette….et même une tournée générale !!!!!!!

Et tout le monde applaudit la magnifique Maîtresse JENNY LOVE pendant que je reste au sol à gémir de douleur.

- Tu vois Catherine, c’est comme çà que tu dois t’y prendre avec cette lopette. Il sera à tes pieds, tu n’auras qu’à te reposer et lui t’obéira pour exaucer le moindre de tes désirs.

- Eh bien, répond Catherine, si j’avais su, j’aurais repris contact avec toi beaucoup plus tôt, tu n’as pas idée du nombre de salauds que j’ai connu, et celui là n’a pas l’air beaucoup mieux.

- Eh bien, attend un peu, je n’en ai pas fini avec lui, encore un petit traitement dont j’ai le secret et il te léchera les pieds quand tu voudras.

Sitôt elle se lève et s’approche de nouveau de moi. Cette fois je commence à vouloir me sauver, mais avec la douleur et mes liens je n’arrive qu’à trébucher.

- Eh bien, eh bien, on dirait que tu commence à comprendre, mais attends un peu j’ai encore envie de jouer un peu.

Maîtresse JENNY LOVE s’assied alors sur mon ventre et commence à m’enlever ma ceinture. J’ai beau essayer de me débattre, en quelques secondes, elle me baisse mon pantalon et fais admirer à tout le monde mon caleçon à fleur. La honte me reprend de plus belle, mais ce n’est rien car une fois mon pantalon complètement enlevé, tout le monde se met à crier « à poil, à poil, à poil !!!! ». Et bien entendu, Maîtresse JENNY LOVE prend un immense plaisir à répondre à la demande.

- Mais dites donc, dis Maîtresse JENNY LOVE d’un air amusé, on dirait qu’il aime ce qu’il lui arrive, regardez un peu messieurs dames, il a le sexe tout dur. Je ne suis même pas sure qu’il bande autant pour sa petite amie….

Et Maîtresse JENNY LOVE attrape mon sexe pour bien le faire voir à tout l e monde. De l’autre main, elle s’amuse à me donner des claques sur mes testicules encore douloureuses des coups de pieds de tout à l’heure. Seuls des gémissements sortent du bâillon.

- Oh, on dirait qu’il veut dire quelque chose, dit Maîtresse JENNY LOVE en ironisant.

Elle se lève et m’enlève alors mon bâillon, puis la petite culotte de la bouche. J’ai les couilles en feu et je n’arrive pas à sortir le moindre mot malgré mon envie de crier, seule ma bouche s’ouvre :

- Regardez, il réclame quelque chose. Je suis sure de savoir ce qu’il veut !!!

Alors Maîtresse JENNY LOVE met une chaise près de ma tête, s’assied et enlève ses cuissardes. Puis elle pose son pied sur mon visage :

- Lèche, carpette !!!! Lèche ou sinon je remet mes bottes et ce que tu viens de subir ne sera rien du tout à côté !!!!!!

Imaginant bien ce dont elle est capable, je commence à lécher la plante de ses pieds.

- Regardez un peu, il bande encore plus fort, il aime vraiment çà. Tiens, Catherine, déchausses toi et viens essayer, tu vas voir comme c’est agréable.

Et à mon étonnement, Catherine se déchausse et avec un grand sourire vient s’asseoir à la place de Maîtresse JENNY LOVE qui remet ses cuissardes. Alors que j’hésite à lécher les pieds de ma copine, Maîtresse JENNY LOVE pose son talon aiguille sur mon cou :

- Lèche, j’ai dit, ou sinon !!!!!

Alors je m’exécute, honteux au possible mais finalement connaissant un plaisir que je n’aurais jamais soupçonné. De son côté Maîtresse JENNY LOVE s’amuse à me marcher dessus, m’enfonçant ses talons aiguille dans le ventre, les cuisses, les couilles…..et à chaque fois que je pousse un gémissement, elle appuis un peu plus fort :

- Est-ce que quelqu’un veut profiter de la carpette, lance Maîtresse JENNY LOVE, allez-y mesdames, c’est gratuit. Faites vous plaisir !!!!

Et je me retrouve à lécher les pieds de cinq femmes que je ne connais absolument pas. L’une d’elle a pas mal transpiré dans la journée et le goût de ses pieds est très prononcé mais passé quelque haut le cœur, cela fini par me plaire, si ce n’était les gens qui s’amusent à me piétiner à la demande de Maîtresse JENNY LOVE qui observe le spectacle de mon corps livré au public en compagnie de Catherine. Après plus d’une heure de ce traitement, Maîtresse JENNY LOVE se lève. Elle me remet sa petite culotte dans la bouche et me bâillonne de nouveau la bouche. Une fois fait, elle prend une nouvelle corde qu’elle me passe autour des couilles dont elle se sert pour me promener à l’autre bout du bar. Arrivés près des toilettes elle m’ordonne de me mettre à genoux puis attache la corde à un anneau décoratif enfoncé dans le mur à trente centimètres du sol. Elle tire au maximum pour que la corde soi bien tendue afin que je ne puisse ni me relever, ni me coucher au risque de m’arracher les couilles :

- Nous prenons ta carte bancaire, dite Maîtresse JENNY LOVE, nous allons faire les boutiques avec Catherine et discuter du passé et de ton avenir d’esclave par la même occasion. Surtout tu ne bouges pas hein………hihihihi

Et les deux femmes sortent du bar sous les applaudissements de tout le monde, me laissant seul dans ce coin sombre au fond du bar. De temps en temps quelqu’un me lance une brimade par rapport à ce qui vient de se passer, toutes les occasions sont bonnes pour venir m’humilier de plus belle ou me donner des coups de pieds, et les plus virulentes sont les femmes. Chaque nouveau client qui entre est mis au courant de la raison pour laquelle je suis là ainsi attaché. Cela dure tout l’après midi, le soir Maîtresse JENNY LOVE et Catherine viennent me récupérer sans m’adresser la moindre parole. Elles me détachent, j’ai les genoux en feu et un mal fou à me tenir debout. Pour rentrer à l’appartement qui se trouve à trois kilomètres, Maîtresse JENNY LOVE me traîne derrière elle avec la corde encore attachée à mes couilles laissées à la vue de tous les passants, tel un chien que l’on traîne en laisse. Voilà comment, alors que je pensais juste boire un verre avec Maîtresse JENNY LOVE, j’ai vécu ma première journée d’humiliation

 

A vous d'imaginer la suite. Sinon une suite possible se trouve sur le site indiqué au début de l'article. Et de mon côté j'attends des amatrices pour s'muser avec moi dans ce style.

 
Par AVS59 - Publié dans : Récits
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Mardi 30 août 2 30 /08 /Août 00:00

Voilà une histoire trouvée sur un blog, racontée par une jeune fille qui a été trompée par son ex et qui a décidé de se venger. Un de mes fantasmes serait de me retrouver à la place de cet ex (Monsieur Fruits et Légumes), ou dans une situation plus ou moins similaire, d'autres humiliations pouvant se mêler à cette "vengeance".

Si une ou plusieurs jeunes filles sont intéressées par me faire vivre une situation plus ou moins similaire (pas besoin que ce soit une vengeance, ou bien on pourrait imaginer une vengeance du fait que j'ai refusé de vous rendre un service), qu'elles me contactent...

 

lundi, 28 février 2005 Quand je me venge de Monsieur Fruits et Légumes

Je l'avais promis et comme vous le savez, je tiens toujours mes promesses. Je vais donc vous raconter ma vengeance envers Monsieur Fruits et Légumes . Il m'avait trompé et bien que je voulais le quitter, on ne trompe pas une chaussure, au risque de se retrouver à poil sur le pas de ma porte. Ce n'est pas éthique et surtout ce n'est pas gentil. Ca fait mal à la fierté de la chaussure. Après mûre réflexion, grattages de tête et autres questions existentielles, j'ai trouvé, avec l'aide d'une copine, l'idée de vengeance. Je voulais quelque chose qu'il n'oublie pas.

Connaissant son attrait pour les expériences sexuelles un peu hors du commun. Et surtout connaissant l'attrait des hommes pour le triolisme, nous l'avons donc invité ma copine trop top canon et moi à une petite séance censée ne pas être très très catholique. Arrivé chez moi, il en a fallu ni une ni deux pour que ce cher Monsieur Fruits et Légumes se foutent à poil. Poussant le vice plus loin (et surtout pour notre super plan), nous lui avons bander les yeux et lier les mains. A ce moment-là, l'appareil photo a mitraillé une première fois.

Ensuite, nous lui avons fait croire que nous le guidions vers ma chambre, mais en réalité nous nous dirigions vers ma porte ouverte attendant sa sortie. Autant dire que c'était très dur de garder notre sérieux. Arrivés sur le pallier, nous lui avons délié les mains, nous avons pris des photos. Il avait enfin compris le pot au rose. Pour finir, nous avons fermé la porte et jeter ses fringues par la fenêtre. Je le vois encore à cacher ses parties avec ses chaussettes... Pauvre garçon, mais comme je le dis toujours, on ne trompe pas une chaussure, question de principes. Œil pour œil, dent pour dent !

Par AVS59 - Publié dans : Récits
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Mardi 30 août 2 30 /08 /Août 00:00

Bonjour à toutes et à tous.

Aujourd'hui, une nouvelle rubrique vient agrémenter ce blog : la rubrique "Récits". Vous y trouverez des histoires, réelles ou imaginaires, trouvées sur le net ou écrites par moi ou des internautes, en rapport bien sûr avec le thème des fantasmes. Certains récits sont publiés aussi dans d'autres catégories, car ils correspondent à un de mes fantasmes, d'autres ne seront que dans cette catégorie.

Vous pouvez donc bien sûr les lire et en profiter, mais aussi me proposer vos propres récits à publier sur ce blog. Si une aventure dans ce genre vous est arrivé, ou si vous vous sentez des talents d'écrivain érotique, n'hésitez pas à m'envoyer vos textes (en cliquant ici). S'ils correspondent à l'esprit du blog, je les publierai.

De manière générale, n'oubliez pas de laisser vos commentaires aux différents articles, et n'hésitez pas à ajouter un lien vers ce blog sur vos sites personnels si vous l'appréciez. De plus, si vous voulez être prévenus de la mise en ligne de nouveaux articles, inscrivez-vous à la Newsletter en y entrant votre adresse mail.

Pour finir, je sais qu'il y a des problèmes d'affichage des photos dans les articles, mais ce problème est indépendant de ma volonté, il est lié à over-blog, et j'espère en cours de réparation. Toutefois, toutes les photos qui devraient être présentes dans les articles, et même d'autres, sont visibles dans mes albums photos. Il vous suffit de repérer la catégorie dans laquelle est publié un article et d'aller dans l'album nommé de la même façon pour trouver les photos correspondantes (certes peut-être dans le désordre et accompagnées de photos se rapportant à d'autres articles, mais elles sont là).

Bonne lecture et bonne participation à toutes et tous.

 
Par AVS59 - Publié dans : Infos
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